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“Delphine, M. Fourreur aimerait vous voir dans son bureau aujourd’hui. Je vous ai programmée à 16 heures, s’il vous plaît, ne soyez pas en retard.”

“Oh ! Pétard !” C’est vendredi, et si le patron veut me voir l’après-midi même, ce n’est pas bon signe.

Sans compter que mon pervers de patron me poursuit de ses assiduités depuis que j’ai intégré son service il y a 7 mois. Je savais que je n’aurais pas dû accepter cet emploi tellement il flirtait lourdement lors de l’entretien d’embauche, mais comment pouvais-je refuser? La paye était trop bonne pour renoncer, surtout pour un poste de comptable débutante !

Lorsque mon mari et moi avons emménagé ici à la capitale, c’est devenu pénible. Ici, la vie est beaucoup plus chère qu’en province. C’est un écrivain de talent, mais la réalité d’un artiste fauché n’est pas aussi séduisante qu’on pourrait le penser. Je venais de réussir mon baccalauréat de comptabilité, mais étant une grande fille blonde, les gens ne me prennent pas au sérieux. Ils ne pensent pas que je sois intelligente, bosseuse et sérieuse.

Non, ils regardent ma poitrine, mes jambes, mes fesses, et se disent: “Putain, elle est bonne, cette salope !”

Les gens ne voient pas une comptable quand ils me regardent; ils voient juste une bimbo, et c’est ce que M. Fourreur a pensé de moi en m’engageant. Mais je travaille dur et je pensais que je me débrouillais bien, mais apparemment, ce n’est pas le cas, et maintenant j’ai peur de me faire virer.

J’ai passé la journée la tête basse, morose, essayant juste de rester occupée et de ne pas penser à ce qui m’attendait cet après-midi. Je ne peux pas perdre mon travail, alors j’ai décidé de faire face à tout ce dont on m’accuse, la tête haute. Je suis une bonne employée et je mérite mon salaire !

À 15H50, je me levais, rectifiais ma tenue, retouchant ma coiffure, mon maquillage, vérifiant les plis de ma jupe et de mon chemisier. Satisfaite de mon apparence, je me suis dirigée vers le bureau du patron, la boule au ventre, claquant des talons pour chasser mon angoisse. La secrétaire personnelle de M. Fourreur m’a faite entrer, avec un sourire narquois sur le visage. Cette garce sait probablement ce qui m’attend, mais je n’ai pas peur, je peux gérer ça !

“Vous avez souhaiter me voir, M. Fourreur?”

“Oui, Delphine, entrez et asseyez-vous. (il attend que je prenne place) J’ai été alerté d’une situation délicate, et je pense que nous devons discuter ensemble pour décider comment résoudre ce problème.”

Jusqu’ici ça va ! Assise dans le profond fauteuil en cuir, j’attends patiemment qu’il m’informe, perplexe quant à la situation qui pourrait éventuellement m’impliquer. J’ai regardé mon patron taper sur son ordinateur avant de tourner l’écran vers moi. Je pouvais voir clairement les écritures comptables de l’entreprise. Ce qui n’avait pas de sens pour moi, c’était qu’il existait un autre graphique qui montrait qu’une somme importante avait disparu chaque mois, totalisant un peu plus de 20 000 euros pour les 7 derniers mois. Mon esprit de comptable a rapidement réagi devant cette situation.

“Quelqu’un détourne de l’argent de la société! Vous avez raison, M. Fourreur, c’est un problème assez sérieux. Je peux revenir sur le budget de chaque mois et voir si je peux trouver où va l’argent, ce qui devrait nous aider à identifier qui est le voleur.”

“Ce ne sera pas nécessaire, Delphine, vous voyez, mon équipe a déjà passé en revue les chiffres et nous avons découvert qui est l’escroc. Mais vous l’avez probablement deviné maintenant.”

Je ne pouvais pas m’empêcher de remarquer que M. Fourreur souriait bêtement, arrogant et fier de lui.

“Nous avons découvert que vous étiez à l’origine de l’argent manquant, Delphine. Nous avons pu suivre les transactions via le système et nous avons découvert qu’elles provenaient toutes de votre terminal. C’est une violation de votre contrat et une infraction pénale très grave, détournement de fonds, abus de confiance, etc … J’aimerais entendre vos explications avant d’appeler la police?”

Je suis restée assise là, sous le choc. Mon terminal? Comment cela aurait-il pu venir de mon terminal? Je n’ai jamais rien volé dans ma vie ! Puis le reste de ses mots m’a frappé.

“La police !? Monsieur Fourreur, il y a évidemment une erreur, je n’ai pas fait ça ! S’il vous plaît, laissez-moi regarder les comptes, je peux prouver mon innocence ! Je ne peux pas me permettre de perdre mon travail, et si je suis soupçonnée de fraude, je ne pourrai plus jamais trouver de travail ! S’il vous plaît … Nous pouvons chercher à comprendre !”

Pendant que je parlais, M. Fourreur avait contourné son grand bureau pour se tenir devant moi, souriant niaisement. Mon patron est plutôt bel homme; il prend soin de lui, il a un corps athlétique et, debout devant moi, me dominant de toute sa taille, il est très imposant. En dépit de mes efforts pour me défendre, son attitude à la fois proche et hautaine m’impressionne. Il le sait, kuşadası escort et il en abuse pour pouvoir exercer son pouvoir sur moi. J’essaye de résister, mais ça marche.

J’ai trop peur de perdre mon travail. Mes lèvres tremblent et je me tortille dans mon fauteuil pendant qu’il me dévisage. Son assurance et sa détermination renforcent mon angoisse, je bafouille et perds pied. Sa voix chaude se fait apaisante:

“D’accord, Delphine, calmez-vous. Je serai le premier à admettre que mon équipe a commis une erreur. Vous ne m’avez jamais causé de problème auparavant, alors je suis prêt à vous donner une chance de prouver votre innocence. Mais je m’attends à votre entière coopération pendant cette enquête, ainsi que votre aide totale pour un autre problème que j’ai.”

Mes angoisses s’effacent d’un coup. Éperdue de reconnaissance, je m’exclame:

“Vraiment? Merci, monsieur, je ferai bien sûr tout ce qui en mon pouvoir pour vous aider. Je suis innocente de ce que l’on m’accuse ! Comment voulez-vous que je vous aide? Je suis prête à tout pour garder mon travail !”

“Je suis heureux de l’entendre, j’ai toujours admiré votre enthousiasme et votre détermination. Maintenant, voyons si vous êtes prête à coopérer. Déboutonnez votre chemisier, Delphine.”

Ses mots résonnent comme une gifle: “Quoi? Qu’est-ce que vous dites?” Je demande, soudain en colère. Comment ce pervers peut-il avoir un comportement aussi grossier? En me levant, j’attrape mon sac et me dirige vers la porte en fulminant: “J’informerai les RH de vos propos, M. Fourreur. De quel droit pouvez-vous traiter ainsi une employée?”

“Je peux vous dire tout ce que je veux, Delphine, parce que si vous sortez maintenant par cette porte, la sécurité vous attend devant l’ascenseur et elle vous retiendra jusqu’à l’arrivée la police qui vous arrêtera pour détournement de fonds, abus de confiance, grivèlerie, etc …”

Je me fige, une main sur la poignée de la porte. Tout ce que j’ai à faire, c’est tourner la poignée et partir. Mais je ne peux pas. Je me retourne, M. Fourreur n’a pas changé de place avec ce sourire vicieux toujours plaqué sur son visage, et je sais qu’il me tient. Il a toute une équipe d’hommes de loi prêts à me découper en petits morceaux.

Il a fabriqué toutes les preuves nécessaires pour que je ne puisse plus sortir du piège dans lequel il m’a emprisonnée. Je sens ma volonté défaillir devant la perversité de ce monstre. Je ne peux rien faire pour sortir de cette situation et il le sait. À nouveau, sa voix cajole:

“Maintenant, sois raisonnable, reviens t’asseoir ici, pour que nous puissions discuter de ce que tu devras faire pour garder ton travail.”

Désespérée, j’essaye de reprendre un peu de contrôle, je m’éloigne de la porte sans revenir m’asseoir.

“Qu’avez-vous à me dire, qu’on en finisse avec ça? Voulez-vous juste voir mes seins? Je ne suis pas surprise, un pervers comme vous n’en a probablement jamais vu dans la vraie vie ! Un homme, un vrai, ne se comporte pas avec les femmes comme le pervers asocial que vous êtes !”

À ma grande surprise, il commence à rire. Pas de colère sur son visage face à mes insultes, il reste juste là à rire de moi.

“Non, Delphine, je ne veux pas seulement voir tes seins. Mais si tu es si déterminée à aller au fond des choses, alors voici. Je te tiens maintenant, tu es mon jouet et j’ai tout ce dont j’ai besoin pour te faire enfermer pendant longtemps. Voilà pourquoi j’engage des bimbos blondasses comme toi, tu n’as aucune crédibilité. Personne ne croira ta version des faits, et surtout personne ne voudra te croire. Tu es beaucoup trop jolie, tous les mâles que tu croises n’ont qu’une idée en tête, te baiser. Avec ton physique, tu n’aurais jamais dû choisir comptabilité. Où ne jamais venir te jeter dans mes pattes. Maintenant tu m’appartiens et voilà ce que tu vas faire: tu vas devenir mon assistante personnelle, tu auras le bureau à côté du mien, tu m’apporteras le café quand je te sonnerai et tu passeras sous le bureau pour me sucer la bite pendant que je dégusterai mon café. Ensuite, quand tu m’auras bien sucé, tu me laisseras te baiser n’importe quel trou que je veux baiser, comme la bonne petite cochonne que tu es. Tu n’as aucun moyen de t’en sortir; personne ne te croira si tu racontes quoi que ce soit. J’ai les moyens de te traîner dans la boue et de briser ton ménage. Tu le sais, et c’est pourquoi tu vas déboutonner ton chemisier comme je te l’ai demandé, sortir tes seins de leur cage de dentelle, te mettre à genoux et ramper jusqu’à moi pour me sucer la bite. Est-ce que c’est parfaitement clair?”

Mon cerveau tournait dans le vide. Je n’ai aucun moyen d’empêcher cela. Il a absolument raison ! Je n’ai aucun pouvoir dans cette situation, et mon corps me trahit. Pendant qu’il m’humilie, qu’il me traîne plus bas que terre, et qu’il me soumet à sa volonté, je sens mon ventre trembler de désir et ma chatte s’humidifier.

Quand il m’a décrite toutes les façons kocaeli escort dont il veut m’utiliser, je me suis sentie rougir de honte tandis que mon corps espère, et attend de faire ce qu’il demande. Sans défense, je laisse tomber mon sac au sol, et mes mains commencent à déboutonner mon chemisier. M. Fourreur ne fais aucun geste et me regarde dégrafer mon chemisier, exposant mon soutien-gorge en dentelle blanche. Avant de continuer, je fais une dernière tentative pour me protéger.

“Si je fais ça … tout ce que vous voulez … si je suis votre assistante personnelle … et tout ce qui va avec … vous … promettez-vous de faire disparaître les accusations portées contre moi? Je suis une employée honnête et je jure n’avoir commis aucun acte répréhensible, je suis prête à vous le prouver. Promettez-moi de me protéger, que je ne serai pas congédiée ou arrêtée, et que mon mari ne saura jamais rien, jamais…”

En réponse, M. Fourreur déboutonne son pantalon, en tire une queue semi-raide, qu’il caresse distraitement en regardant ma poitrine.

“Je promets. Maintenant, sors tes nichons, à genoux et rampe jusqu’ici, salope. J’ai attendu assez longtemps pour ça.”

J’obtempère, d’abord sortir mes seins, puis tomber à genoux, enfin ramper vers lui, j’ai bien conscience de la façon dont mes seins se balancent sous moi, alors j’accentue un peu le balancement en tortillant des fesses. Levant les yeux vers mon suborneur, je décide de lui administrer une fellation dont il se souviendra longtemps.

J’humidifie mes lèvres avec le bout de ma langue en faisant monter ma salive. Avec sa bite à quelques centimètres de mon visage, j’augmente mon trouble en humant le parfum de mâle en rut qui émane de son sexe. Alors que je serre ma prise autour de son membre, je donne un premier coup de langue sur le gland violacé. J’examine son gland turgescent.

Quelques gouttes nacrées s’en échappent. Je n’y résiste pas. Je goûte par petites touches de ma langue gourmande la crête du gland tendu tandis qu’il me la pousse avec impatience. Hum… comme c’est bon ! C’est salé ! Ma langue trotte lentement autour du gland.

Sa queue m’excite à outrance tandis qu’il aspire à baiser ma bouche. Je sens mon corps s’embraser. Je suis chaude comme une chatte avide de son petit lait, et je le lape goulûment avec délectation. Puis je fais courir ma langue de haut en bas le long de la colonne de chair comme je le fais pour mon mari, avant d’engloutir sa viande d’un coup en m’écartelant la bouche.

Avec mes lèvres serrées, je le laisse profiter de l’humidité et de la chaleur de ma bouche autour de sa queue. Puis je commence à le sucer correctement. Aussi fière que je sois de mes compétences professionnelles, je suis tout aussi fière de mon aptitude de suceuse de bite et M. Fourreur commence à l’apprécier.

D’une main je serre doucement en massant ses boules. J’ai envie de me toucher la chatte, mais je suis entièrement absorbée par sa queue. Tellement absorbée que je n’ai pas vu M. Fourreur appuyer sur un bouton de son interphone pour appeler sa secrétaire.

Je m’arrête rapidement quand je l’entends entrer, seulement pour me rendre compte qu’elle tient un appareil photo dans ses mains, et que cette salope a le même sourire cynique qu’elle avait quand je suis arrivée. Une petite tape de mon patron derrière ma tête me ramène à mon ouvrage, tandis que sa secrétaire nous tourne autour, prenant des clichés de ma fellation sous tous les angles.

Ma libido reprend le dessus et bientôt j’oublie l’autre salope de secrétaire. J’ai envie qu’il me gicle dans la bouche. Cette idée me submerge et m’enflamme. Alors, je me mets à le pomper en cadence. Je m’enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J’en bave.

Agrippant fermement sa queue à la base pour le contrôler, retenant mon souffle, je me soulève légèrement pour aligner ma gorge avec son érection et soulager ma bouche, résistant au besoin instinctif de bâillonner. Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Je l’enfonce jusqu’à l’étouffement.

Elle m’excite; ça me rend folle. Je le pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas. Le gland glisse dans ma gorge et mes lèvres touchent son pubis humide. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m’active avec détermination et application.

Je peux sentir qu’il est sur le point de jouir, et tout ce que je peux faire, c’est espérer qu’il finira avant que je meure du manque d’oxygène. Il râle, ses mains s’accrochent dans ma chevelure, et il décharge de long jets de sperme au fond de ma bouche.

Animé de spasmes, il n’en finit pas d’inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide saumâtre et visqueux. Il faut que j’avale tout de lui. Sa charge est énorme, et je fais de mon mieux pour tout avaler, mais je peux sentir que ça déborde au-delà de mes lèvres, coulant vers mon konya escort menton et ma poitrine.

Maintenant repu, M. Fourreur se retire de ma bouche et range son outil dans son pantalon, d’un geste congédie sa secrétaire, et retourne s’asseoir à son bureau, me laissant à genoux sur le sol, avec ma bouche et ma poitrine dégoulinantes de sperme.

“Tu peux rentrer chez toi, maintenant, Delphine. Lundi matin, à 7H30, tu embaucheras dans le bureau voisin du mien. Puisque tu as passé avec succès ton test d’aptitude, tu recevras une augmentation. Mes félicitations pour ta promotion.”

Sans un autre mot, je me rhabille et rassemble mes affaires. Visiblement, dans sa bouche, c’est un compliment. Et je n’en aurai pas d’autre. Vivement lundi qu’il me baise, ce vieux pervers.

Lundi matin, 7H30 pétantes, je me suis présentée devant mon patron, toute fraîche, et pleine de bonnes intentions. J’avais bien réfléchi pendant le week-end aux possibilités de promotion qu’il me proposait, et je voulais sortir mon couple de la galère financière.

Il s’est levé pour m’accueillir, m’a embrassée en me pelotant et m’a entraînée dans le bureau voisin du sien. Surprise, ce fameux bureau voisin était en fait un lieu de repos, équipé d’une couchette et d’un cabinet de toilettes.

Mon patron s’est effacé pour me laisser entrer la première, il a profité de mon hésitation sur le pas de la porte pour me caresser les fesses en me propulsant à l’intérieur. Il n’a pas perdu de temps en vain cérémonial pour se dénuder le bas du corps, pantalon et slip. Après tout, on était là pour baiser, n’est-ce pas?

Je l’ai imité aussitôt. J’avais soigné la présentation de mes dessous, avec un ensemble coordonné, soutien- gorge à balconnet, minuscule culotte, et bas retenus par des porte-jarretelles. Dessus, une simple robe portefeuille, facile à dégrafer et rapide à ôter.

Mon expérience de vendredi m’avait apprise qu’il était capable de produire une importante quantité de sperme, et je n’avais pas beaucoup de tenues de rechange. D’ailleurs, j’avais eu beaucoup de mal à ravoir mon chemisier taché de foutre. Mon patron s’est installé, jambes écartées, dans un profond fauteuil, en disant :

«Approche, Delphine !»

J’ai saisi un coussin qui traînait sur la banquette-lit, je l’ai jeté à ses pieds, et je me suis agenouillée dessus. Son sexe est au repos. Je le saisi, décalotte le gland, et le prend en bouche immédiatement. Je fais ça avec mon mari, j’adore le sentir grandir dans ma bouche.

Je le garde simplement en bouche, et je le caresse en passant mes mains sur ses cuisses, son ventre. À ce moment, il commence à grossir dans ma bouche, je lui masse les bourses. Quand il devient trop gros, je le tête bruyamment en salivant généreusement. Mon mari adore cela. Les hommes fonctionnent tous de la même façon, j’applique la même technique sur mon patron, qui me confirme son contentement en respirant fort, et en appuyant sur ma nuque pour me maintenir en place.

Quelques minutes à peine, et il me repousse : «Stop, je ne vais pas tenir longtemps dans une bouche pareille !»

Il m’a penchée en avant sur la couchette, le ventre collé à mes fesses. Avant qu’il ne me pénètre, je lui ai présenté le préservatif que j’avais préparé, mais il a fait une drôle de tête et il a refusé. Selon lui, les vrais mâles n’acceptent pas d’utiliser cet artifice avec les femmes mariées, c’est à la femme de s’organiser. Il m’a dit que je pouvais encore renoncer à ma promotion, mais j’étais excitée maintenant, et je lui ai cédé.

Je lui ai juste fait promettre de se retirer au moment fatidique, et il a promis. Il m’a prise en levrette, agenouillée sur le lit, le visage enfoui dans les coussins pour étouffer mes hurlements. D’abord, il est plus gros que mon mari, ensuite il m’a pénétrée sans ménagement.

Je n’avais pas prévu cette entrée sauvage, je n’avais pas fait le nécessaire, mais cette façon de procéder, à la hussarde, m’a rapidement conquise. Je me suis conformée à qu’il attendait de moi, remuant des hanches en cadence, respirant fort en poussant de petits cris pour l’encourager.

Au moment où il m’a avertie qu’il allait se retirer, j’étais si proche de finir que je n’ai pas voulu. Je l’ai gardé en moi, et son orgasme a déclenché le mien. Vidée, je me suis effondrée sur le lit, pendant qu’il se rajustait.

À ce moment, sa secrétaire est entrée dans la pièce, a ouvert un placard avec une clé qu’elle portait autour du coup, farfouilla à l’intérieur, récupèra une clé USB qu’elle montra au patron.

«Je réalise le montage et je vous apporte le résultat pour le visionner ensemble.» Et elle s’éclipse.

Mon patron me montre les différentes mini-caméras dissimulées dans le décor : «Au cas où, si tu n’avais pas oublié toute tentative de porter plainte. Allez, Delphine, tu ne vas pas rester vautrée ici toute la journée. Au travail, va rejoindre ma secrétaire, elle te dira quoi faire.»

La secrétaire œuvrait dans le fond de son vaste bureau, dissimulée derrière un paravent, occupée à monter le film qu’elle voulait projeter au patron. Je me suis adressée à elle pour savoir quelle tâche me revenait. De son ton narquois et goguenard, elle m’a lancé :

«Prends ma place, réponds au téléphone et trie les dossiers qui sont sur mon bureau.»

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Les malheurs de Sophie – Chapitre 03

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LES MALHEURS LORS D’UNE PARTIE DE POKER

Présente à l’usine le lendemain à l’heure exigée, Sophie, comme chaque matin, s’apprête à se préparer pour apporter à son employeur un délicieux café. Elle a alors la surprise d’apprendre que M. Christophe est en voyage d’affaires pour toute la semaine. Soulagée, celle-ci passe quelques jours tranquilles, se concentrant uniquement sur son travail, même si elle croise de temps à autre Marcel et ne peut s’empêcher d’être mal à l’aise, proche de la nausée, tandis que le chef de production lui adresse des sourires narquois ou des paroles pleines de sous-entendus.

Le répit n’est toutefois que de courte durée. Le vendredi soir, vers 18h, le GSM de l’adjointe sonne :

– Bonjour, salope!

– Bonjour, Monsieur, répond-elle, ayant reconnu immédiatement la voix de son supérieur.

– Ce soir, j’organise chez moi ma traditionnelle partie de poker avec quelques amis. Mon épouse est allée chez sa mère et j’ai besoin de quelqu’un pour la remplacer, car c’est elle, habituellement, qui fait le service. Voici mon adresse… Sois là à 20h précises. Réserve ta soirée : je sais que ton compagnon est de toute façon absent jusqu’à samedi matin.

Sur ce, il raccroche, tandis que son adjointe, la boule au ventre, se prépare rapidement. Pénétrant, après avoir sonné, dans la maison de son chef, elle découvre que celui-ci est seul, même si une table de jeu a été préparée pour quatre personnes dans le salon, qui jouxte la cuisine. Immédiatement, après l’avoir à peine saluée, son patron lui donne ses instructions : – Monte les escaliers et va dans la chambre située sur la droite. Il y a une tenue qui t’attend et respecte les consignes qui sont notées sur le papier posé à côté de tes futurs vêtements de travail. Tu as 10 minutes!

Avant que le délai ne soit écoulé, Sophie, le feu aux joues, redescend. Elle est vêtue d’un costume de femme de chambre, noir et blanc, particulièrement révélateur. Celui-ci est composé d’une micro-jupe en dentelle noire, recouvrant un string ficelle de la même couleur et des bas autoportants. Ceux-ci restent apparents, car la jupette, trop courte, ne descend pas assez pour en cacher la lisière. La partie supérieure, elle, est composée d’un tablier à bavette. Le port du soutien-gorge ayant été interdit, si le plastron couvre les seins qui se trémoussent librement, toute personne a toutefois, sur les côtés, une vue particulièrement révélatrice de sa poitrine! La tenue est complétée par une paire de chaussures noires à talons hauts. Son boss lui adresse un dernier propos quelque peu railleur :

– Ma chère, tu es vraiment ravissante. Mes amis vont être charmés! J’espère qu’ils se déconcentreront lors de notre soirée, ce qui me permettra de remporter la mise.

Un bruit de sonnette se fait entendre! Et le Directeur d’aboyer violemment sur sa subalterne :

– Et bien, espèce de débile, ne reste pas planter là! Va ouvrir et conduit mes invités jusqu’à la table.

Elle s’exécute et bizarrement, lorsqu’ils entrent, se demande si elle ne les a pas déjà vus quelque part. Chacun des trois hommes jette un regard admiratif à la subalterne et complimente son patron d’avoir une si jolie bonne. Deux d’entre eux semblent avoir la cinquantaine, le troisième, lui, est plus proche de la vingtaine.

L’employeur, fièrement, fait les présentations, avec un léger fond d’ironie :

– Vous connaissez tous ma secrétaire. Mon épouse étant absente, elle a accepté, pour me faire plaisir, car elle m’est très dévouée, même en-dehors de ses heures de travail, de nous servir ce soir. Sophie, voici Jean, qui travaille au service des expéditions de notre usine ; Albert, qui bosse au sein de notre service comptabilité ; et enfin, Antonin, qui est à la chaîne de production depuis un an.

Chacun de ses collègues se penche pour serrer la main de l’assistante, qui rougit de honte, puis va les installer aux places prévues à la table de poker. Son patron demande à l’adjointe de se rendre à la cuisine et d’apporter les boissons, déjà préparées, à ses kahramanmaraş escort invités.

Profitant de l’absence de la femme, les individus interrogent leur chef quant à la présence incongrue de celle-ci et, surtout, de son apparence. M. Christophe se contente d’être vague :

– Elle aime s’exhiber devant des mâles, voilà tout. Et parfois, si on s’y prend bien, on découvre que c’est une véritable salope. On verra si vous savez y faire! Au fait, j’ai demandé qu’elle vous appelle par vos prénoms, mais en vous vouvoyant. Vous devez par contre la tutoyer! Et n’hésitez à avoir les mains un peu baladeuses, elle adore qu’on la touche!

La subalterne revient de la cuisine, avec les boissons, à savoir du vin blanc et de la bière. Elle sert les quatre joueurs. Alors qu’elle fait le tour de la table en distribuant les breuvages, chaque participant tient à lui adresser une remarque sexuelle ou à lui tapoter les fesses. Lorsqu’elle se penche pour servir le prénommé Albert, le chauve ventripotent de la comptabilité, celui-ci glisse sa main sous sa robe courte. La jeune femme s’apprête à le gifler, mais un simple regard noir de son patron la décourage de le faire. Elle adresse alors à un sourire nerveux au gros homme.

Ce dernier proclame haut et fort : – Sophie, tu as vraiment un très beau cul! Lorsque je te croise à l’usine, je n’avais jamais fait attention à ton corps! Ce ne sera désormais plus le cas!

Et les garçons de s’esclaffer de cette blague graveleuse. La partie de cartes dure depuis plus d’une heure, les mâles consommant de plus en plus de demis et de vin. Ils continuent à être de plus en plus effrontés, tandis que M. Christophe s’amuse à donner des ordres à sa subalterne. Disparaissant à son tour dans la cuisine, il prépare un Picon, dans lequel il glisse le même aphrodisiaque que celui utilisé lors de la promenade avec Marcel. De retour, il tend la boisson à son assistante :

– Depuis le temps que tu travailles, ma chère, il convient de te désaltérer! Bois!

Elle n’ose refuser, sachant de toute façon qu’il est vain de s’opposer. Assurant un nouveau tour de table, elle est cette fois la victime de Jean, le responsable du service des expéditions.

Celui-ci profite d’un moment d’inattention de la beauté naturelle, enroulent ses bras autour de son dos, déplace ses mains rapidement et les glisse sous le devant du tablier, caressant sans la moindre gêne chacun des deux seins puis les pétrissant. Elle parvient néanmoins à échapper à l’étreinte et se rue vers la cuisine. Son chef l’y rejoint et l’oblige à boire un deuxième verre, qui contient une nouvelle dose de stimulant.

Antonin, pendant ce temps, a allumé un joint et propose, au retour de son hôte et de sa bonne, de partager celui-ci. Le Directeur approche de la table de poker un tabouret de bar pris dans le salon et demande à la serveuse d’un soir de s’y installer, en lui tendant le cannabis : – Tu as l’air d’être un peu stressée! Il faut te détendre un peu! Prends! Ce n’est que du shit et je suis sûr que tu en déjà fumé! Exact, non?

– Oui, Monsieur.

Pendant une quinzaine de minutes, son adjointe est contrainte de tirer sur la fumette tout en prenant un troisième Picon, qu’elle peut boire cette fois par petites gorgées. Les mains d’Albert, son plus proche voisin, ont commencé à parcourir les bas autoportants de la fille, qui tente de les repousser doucement pour ne pas subir la colère de son employeur. Un nouveau quart d’heure s’écoule avant que son boss ne lui ordonne d’aller rechercher des boissons dans la cuisine pour ses invités.

Lorsqu’elle s’éloigne, son supérieur remarque que son pas est désormais mal assuré. Elle revient avec les breuvages et se réinstalle sur le siège en hauteur. Son patron se lève alors de sa chaise, passe derrière elle et lui parle, tandis qu’il commence à défaire lentement la bretelle arrière -la seule- de la tenue portée par son assistante :

– Sophie, mes invités sont très frustrés, car ils aimeraient beaucoup voir tes kastamonu escort seins. En tant qu’employée dévouée, il est normal que tu fasses plaisir à tes collègues!

Résignée, elle ne lutte pas et laisse la partie supérieure du tablier tomber sur ses genoux, dévoilant sa splendide poitrine aux quatre joueurs, tandis que M. Christophe commence à caresser celle-ci sans la moindre retenue. Ses tétons, sous l’effet de l’air frais et du puissant stimulant, sont désormais en totale érection.

La tête lui tournant, elle remarque à peine que son patron invite, d’un simple geste et d’un regard, le jeune Antonin à enclencher la caméra numérique, installée dans un coin du salon, sur un trépied, tout en continuant son monologue :

– Lève — toi, maintenant!

Toujours derrière elle, alors qu’elle prend la position indiquée, il abaisse, toujours avec des gestes au ralenti, la jupette de sa pauvre subordonnée, et ce, sous les regards attentifs des trois autres mâles. Elle est devant eux avec seulement son mini-string et ses bas autoportants. Son chef lui donne une nouvelle injonction :

– Sophie, il est temps d’enlever ta culotte à présent, et de la placer sur la table de jeu. Immédiatement!

Elle s’exécute, presque nue comme un ver, non seulement devant son boss et ses trois collègues.

– C’est très bien, ma belle! Tu peux garder tes bas et tes chaussures! Comme cela, ta pudeur sera sauvée! Va dans la cuisine, en bougeant ton cul, comme tu le sais faire, et rapporte — nous une nouvelle tournée de boissons. Et cette fois, après avoir fait ton service, tu te tiendras debout, à côté de moi, afin de me porter chance!

Avant qu’elle ne revienne, les hommes en profitent pour poursuivre leur séance de cartes. Tout en jouant, une fois sa subalterne revenue et figée dans la posture exigée, son supérieur lui caresse allègrement les fesses, tout en perdant plusieurs parties d’affilée.

Le Directeur s’exclame soudain : – Mes amis, je commence à vous devoir beaucoup d’argent! Je propose que ma secrétaire, qui me porte visiblement malheur, aille près du vainqueur de chaque mise, afin de lui faire rater la suivante! Evidemment, si celui-ci gagne, mon assistante dévouée, pour se faire pardonner de m’avoir encore fait perdre, devra s’acquitter d’un gage! N’importe lequel!

Albert remporte la manche suivante et la jeune fille est obligée de s’asseoir sur celui-ci, qui lui réclame un tendre baiser avec la langue. Elle n’a aucune autre option et, malgré son dégoût, accepte que sa bouche soit envahie par l’organe d’un homme qu’elle n’aime pas…

Jean est le nouveau vainqueur. Tirant l’assistante vers lui, il lui ordonne de s’installer sur ses genoux et d’écarter les cuisses afin qu’il puisse jouer avec son clitoris. Là encore, la tête lui tournant de plus en plus, elle s’exécute, la mort dans l’âme. Son collègue, après avoir longuement trituré son bourgeon d’amour, la doigte sans ménagement.

Avant le prochain tour, son boss lui tend un quatrième et dernier verre : – Vide – moi cela d’une traite, afin de te calmer et, surtout, de te remettre de tes émotions! Tu as l’air vraiment très excitée, Sophie! Comment peux-tu être une femme si délurée?

Mortifiée, le regard étourdi, elle se rend près d’Antonin, le dernier champion en date, qui exige de pouvoir lui lécher les seins. Ce qu’il fait avidement. Le gagnant qui s’en suit est à nouveau Albert, qui décide de faire monter les enchères et s’adresse directement à son patron : – Patron, je veux que votre employée me lèche la bite!

– Tu as entendu? Tu m’as fait perdre! Donc tu vas lui faire une pipe pour t’excuser à mon égard. Va sous la table et suce-le durant toute la durée de la mise qui vient!

Des larmes coulant sur ses joues, elle passe sous la table, s’agenouille, défait le pantalon de l’homme, ouvre sa braguette, abaisse son slip et prend le membre dressé dans sa bouche, avant de faire courir sa langue non seulement sur son gland, mais aussi sur sa hampe. Le tout devant kayseri escort les regards vicieux des autres joueurs.

Albert, prenant la tête de Sophie entre ses mains, l’oblige à accueillir sa queue jusque dans le fond de sa gorge. Après cinq minutes, il ne peut retenir une forte éjaculation, l’assistante administrative se forçant à avaler le sperme qui envahit sa bouche, et ce, malgré sa nausée. L’homme ventripotent ne peut s’empêcher de commenter vulgairement la performance de l’adjointe : – Putain, quelle cochonne! Vous avez là une sacrée bouffeuse de bites, M. Christophe! Un vrai aspirateur!

Les quatre joueurs applaudissent lorsque la subordonnée, toujours à genoux, se relève. Ses trois collègues, désormais tous debout, l’entourent et posent leurs dextres sur tout son corps, tandis que son supérieur débarrasse la table de poker. Quelques instants plus tard, Sophie est allongée sur celle-ci, livrant sa chair à huit mains baladeuses, tandis que l’aphrodisiaque précédemment ingurgité fait désormais pleinement effet. Deux des joueurs -Antonin et Jean- sortent leur queue et lui frappent le visage, le tout face à la caméra numérique. Lui relevant les jambes au maximum, le patron enfourne son sexe dans celui, trempé, de son adjointe.

Tandis que son boss la baise sans ménagement, Antonin et Jean, placent un chibre tendu de chaque côté du visage de Sophie, qui engouffre, en alternance et dans sa bouche en forme de cœur, les deux bites qui se présentent. Avec un regard lointain et vitreux dans les yeux, elle semble apprécier l’agression sexuelle de tous ces vicieux. Après une vingtaine de minutes, ceux-ci éjaculent de manière quasi coordonnée, tandis que leur victime presque consentante –et surtout droguée- ne peut retenir quelques gémissements. Le reste de la soirée n’est que tournante, chacun des quatre hommes, tantôt en solo, tantôt en duo, se vidant successivement dans les trois orifices de Sophie, qui est toujours soit sur le meuble, soit à même le tapis protégeant le carrelage du salon, malgré le relatif inconfort en découlant.

Le tout sans le préservatif.

L’orgie étant terminée et chaque mâle enfin rassasié, le supérieur s’adresse durement à son assistante :

– Et bien, ma chère, je croyais que tu étais simplement une salope! En fait, tu es une vicieuse qui adore faire l’amour avec plusieurs mecs en même temps! Tu n’as pas de remords? Et n’oublie pas de remercier, comme je te l’ai appris, tes bienfaiteurs…

La jeune femme, drillée, sait ce qu’elle doit répondre, même si elle n’en pense pas un mot : – Non, Monsieur, je n’ai pas honte. Je remercie bien Jean, Albert et Antonin d’avoir rempli mes trous avec leurs pines. J’ai beaucoup aimé les sucer, être baisée et enculée.

Mais son supérieur a décidé de la dégrader encore plus. Il reprend la parole :

– Tu n’es pas une simple femelle, tu es une chienne! Suis-moi à la cuisine, afin d’offrir une dernière surprise à mes amis qui, par ailleurs, savent désormais qui tu es!

– Oui, Monsieur.

Une fois dans ladite pièce, le Directeur ordonne à Sophie d’enduire une fois encore son anus de vaseline et d’enfoncer dans celui-ci une carotte, dont seules les feuilles vertes dépassent. Il sort ensuite, d’un tiroir, un collier attaché à une laisse. Après avoir placé la parure autour du cou de son assistante, il l’oblige à marcher à quatre pattes et, triomphant, rentre dans le salon sous les yeux ébahis de ses invités :

– Messieurs, voici le vrai visage de mon assistante! C’est un vulgaire animal de compagnie!

Humiliée comme jamais, Sophie baisse les yeux vers le sol, tandis que son chef invite les trois hommes à rentrer chez eux. Il est près de deux heures du matin. Après avoir libéré son auxiliaire de sa condition et lui avoir permis de se rhabiller, il la renvoie chez elle, sans ménagement et non sans une dernière dégradation :

– Je ne savais pas que tu étais insatiable! Je suis très satisfait de toi : en quelques semaines, ton compteur à bites est passé d’une seule, celle de ton mec, à six, dont la mienne, celle de Marcel et, aujourd’hui, de trois de tes collègues. Rassure-toi, c’est loin d’être fini!

A lundi, 8h30, sans faute!

Arrivée chez elle, après avoir failli faire plusieurs sorties de route, elle s’annihile en buvant une bouteille complète d’armagnac. Hagarde, elle monte ensuite se coucher.

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L’enseignante, Ma Chienne Ch. 03

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Accidental Nudity

Traduction d’un récit de Erlikkhan.

Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.

**********

Katie est assise dans sa chambre. Elle fulmine. Elle ne comprend pas ce que veut sa mère. Après tout, elle a toujours de bonnes notes, elle ne boit pas et ne prend pas de drogue. Et elle ne baise pas à tort et à travers. En vérité, elle n’a couché qu’une seule fois avec un garçon après être sortie avec lui pendant plus d’un an.

La bataille avec sa mère a commencé au moment où Katie a franchi la porte de la maison.

– Bonjour maman! Je viens de rencontrer Carl qui m’a dit qu’il allait faire ses devoirs chez lui. Il m’a demandé de sortir avec lui demain soir. Il est un peu solitaire mais mignon, alors j’ai dit oui.

En fait Carl ne lui avait pas vraiment demandé, c’était plus une affirmation. Quand elle a commencé à hésiter, il a pris son bras et l’a serré tout en la regardant avec ses yeux pénétrants et un peu effrayants. Il lui a dit qu’il viendrait la chercher à huit heures. Elle a hoché la tête tout en sentant un picotement dans son ventre. Aucun homme n’avait jamais été aussi sûr avec elle.

– Non Katie, ce garçon a des problèmes. Je ne peux rien faire en tant que professeure, mais je ne veux pas que tu le voies.

– Non maman, nous ne sommes pas d’accord. Je vais juste sortir avec lui, pas l’épouser. Je suis une grande fille, je peux prendre soin de moi. Je n’ai pas besoin que l’on s’occupe de mes rendez-vous.

– Ce n’est pas sujet à discussion! Je t’interdis de sortir avec lui, c’est définitif!

– Nous verrons ce que papa dira! Crie Katie en courant dans sa chambre et en claquant sa porte.

Katie sait que son père va la soutenir. Et c’est ce qu’il fit. La nuit suivante, Carl arrive tôt et toque à la porte. Comme Katie est encore en train de s’habiller, Karen ouvre et demande au garçon de le suivre dans la cuisine. Elle lui dit :

– Si tu poses la main sur elle, je te le ferais regretter d’une façon que tu ne peux même pas imaginer.

Soudain, la main de Carl jaillit et lui attrape le cou. Il la pousse à travers la cuisine et la plaque contre le mur. Son autre main glisse sous sa robe et s’introduise dans sa culotte. Ses doigts frottent les plis de sa chatte et trouve son clitoris.

– Je ne crois pas Mme O’KEEFE. Tu vas être dans ton lit en pensant à ce que tu aurais pu avoir. Pendant ce temps-là, je plierai Katie en deux et je la sauterai. Puis je me viderai dans son ventre.

Carl lui serre le cou. Elle est obligée de se dresser sur ses orteils. Il enfouit deux doigts dans sa chatte et les fait coulisser rapidement. Elle lutte pour pouvoir parler et lui dire :

– D’accord…Tu as gagné. Je vais prendre une chambre d’hôtel et tu pourras m’avoir toute la journée demain. C’est ce que tu veux n’est-ce pas? Je le ferai si tu laisses Katie tranquille.

Carl retire ses doigts de la chatte humide et il les met dans la bouche de la femme. Quand ils entendent un mouvement dans le salon, le jeune garçon relâche Karen. Il la laisse partir après avoir attrapé un mamelon à travers son chemisier et l’avoir tordu méchamment.

– Vous auriez dû y penser plus tôt Mme O’KEEFE. Pensez-vous que Katie aime le sexe violent? Je me demande si elle va se laisser faire ou si elle va renâcler comme sa mère. Je vous le dirai demain.

Karen tremble, en partie parce qu’elle a été étouffée mais aussi parce que Carl l’a excitée. Malgré ses efforts pour lui résister, son corps a réagi à son contact, sa chatte veut de sa bite. Quand elle entre dans le salon, elle est choquée de voir sa fille vêtue d’une jupe très courte en cuir et d’un haut blanc très serré qui montre ses tétons pointés.

Katie s’est habillée de cette façon en réponse au comportement de sa mère. Elle veut qu’elle sache qu’elle va passer un bon moment. Elle ne veut pas le baiser mais sa mère ne le saura pas. Si le rendez-vous se passe bien, peut-être qu’elle le laissera toucher ses nichons.

A l’école, Katie a l’habitude de tout contrôler. C’est sa façon de surmonter son manque de confiance. Carl est différent des autres garçons avec qui elle était sortie. La façon dont il lui avait donné rendez-vous l’excitait.

Tout de suite, Katie fait comprendre à Carl qu’il l’intéresse. Elle connaît tous les trucs : un effleurement sur le bras, un mordillement des lèvres, un rire enfantin de temps en temps, des regards fréquents et appuyés, une tête posée contre l’épaule et une main innocente sur la cuisse au bon moment. Carl parle peu. Katie trouve sa confiance tranquille un peu intimidante. En vérité elle est excitée d’être avec lui. Et elle est fatiguée de toujours avoir le contrôle.

A minuit, la plupart des couples sont partis de la fête où ils ont été. Katie suggère qu’ils peuvent aller faire un tour près du lac. C’est privé, bien éclairé et sûr. Arrivés dans ce coin discret, les deux jeunes grimpent elazığ escort sur les sièges arrière pour avoir plus d’espace. Katie laisse Carl tripoter ses seins à travers son chemisier. Puis elle le laisse remonter son haut ainsi que son soutien-gorge pour qu’il sente la douce chair de ses seins nus.

Katie ne veut pas paraître une fille facile et elle veut aussi lui faire comprendre qu’elle contrôle la situation. Quand Carl glisse une main entre ses jambes et frotte sa chatte à travers sa culotte, elle recule :

– Non… S’il te plaît Carl, nous ne devons pas… ce n’est que notre premier rendez-vous.

– Katie, ne joue pas les prudes! Moi je ne joue pas.

Carl relève la tête et écrase ses lèvres sur les siennes. La main entre les jambes de la jeune fille écarte la culotte. Deux doigts frottent les petites lèvres puis le clitoris. Katie est prise au dépourvu. Elle ressent un frisson d’excitation à être ainsi malmenée. Son corps répond d’une façon qu’elle ne peut expliquer. Elle écarte les jambes pour lui donner un meilleur accès à sa chatte.

Carl plonge deux doigts dans l’antre chaude. Il pousse la fille afin que sa tête soit contre la porte latérale. Il lui embrasse l’oreille puis. Katie se tortille sur les doigts en train de fouiller son intimité humide. Les lèvres du garçon glissent sur un mamelon et le sucent. Il enfonce ses doigts encore plus profond dans le sexe de Katie.

– Non… Non Carl… Il ne faut pas… Mon Dieu Carl…

Katie sait qu’elle perd le contrôle de la situation. Elle essaie faiblement de repousser le garçon, mais Carl ne bouge pas. Il mordille le mamelon et le tire avec ses dents. Ses doigts pénètrent plus profondément la chatte alors que son pouce frotte le clitoris. Il mord plus fort. Katie crie de douleur. Son corps se raidit juste avant que son ventre n’explose.

La jeune fille est surprise par l’orgasme qui la secoue. Carl vient de lui donner le premier orgasme de sa vie. Elle n’avait jamais joui avec aucun garçon. Au moment où elle récupère, Carl a sa tête entre ses jambes. Elle sent sa langue titiller et lécher sa chatte sensible. Se faire brouter ainsi est aussi une première pour Katie.

– Carl, nous devons arrêter… S’il te plaît… Ohhhhh… Carl, ne…

Il remet deux doigts dans le sexe humide et grignote agressivement son clitoris. Les doigts trouvent l’endroit qui provoque des vagues de plaisir à Katie. Quand le garçon mordille le clito et le tire entre ses dents, Katie a son deuxième orgasme en moins de deux minutes.

Carl lèche les jus qui sortent du sexe de la fille, puis il bouge et l’embrasse sur ses lèvres tout en enfonçant sa langue dans sa bouche. Pour la première fois encore, Katie goûte son propre jus de chatte. Elle devrait éloigner le jeune garçon, mais étrangement elle trouve la situation érotique. Plus que cela, la maîtrise totale de Carl est enivrante.

Carl s’assoit et baisse son pantalon. Sa queue dure et volumineuse jaillit libre. Katie regarde le garçon avec appréhension, en se demandant ce qu’il a en tête. Carl guide sa main vers le membre bien droit. Elle s’assoit et enroule ses doigts autour de la hampe. Elle murmure :

– Carl, je suis une très mauvaise fille. Je ne pense pas que ma mère approuverait.

Elle colle ses lèvres contre les siennes et sa langue entre dans sa bouche. Ils s’embrassent de plus en plus avidement. Carl pose alors sa main sur sa nuque et pousse sa tête vers le bas. Elle essaie de résister mais il est trop fort. Alors Katie décide de le finir avec sa bouche.

– D’accord, mais après nous rentrerons. Je n’arrive pas à croire que je vais vraiment faire ça.

Les lèvres de Katie glissent autour du gland de sa queue. Elle n’a pas beaucoup sucé de bites dans sa vite. Et aucunes n’étaient aussi longue et épaisse que celle de Carl. La sensation de la chair dure remplissant sa bouche et glissant sur sa langue est enivrante. Sucer une bite ne lui avait jamais fait d’effet comme ça. Sa chatte est humide et ses tétons sont raides.

L’inexpérience de Katie par rapport à sa mère est évidente. Carl pince ses tétons sensibles et passa sa main dans ses cheveux tandis qu’il la laisse prendre son rythme sur sa queue. Katie ronronne et se déplace pour qu’il puisse atteindre sa chatte. Carl plonge deux doigts dans la grotte dégoulinante.

Katie n’a jamais été aussi excitée avec une autre personne. Elle est toujours déterminée à ne pas se laisser baiser, mais elle veut un autre orgasme avant de le faire jouir. Elle décide même qu’il pourra jouir dans sa bouche, quelque chose qu’elle n’a jamais laissé faire.

Katie se tortille sur les doigts pour qu’ils s’enfoncent encore plus dans son vagin. Elle les sent bien contre ses parois sensibles. Avec sa main libre, elle atteint son clitoris et se met à le frotter furieusement. Ça prend plusieurs minutes mais ça marche. La pression dans son corps est libérée. Son jus coule de sa chatte. La bite de Carl tombe de sa bouche alors qu’elle crie quand un troisième orgasme erzincan escort secoue son corps.

Carl pose ses doigts englués sur les lèvres de la fille. Katie ouvre la bouche pour qu’il les pousse à l’intérieur. Une fois de plus elle est surprise par le goût de sa chatte. Elle suce les doigts et glousse en regardant Carl :

– Je suis vraiment une vilaine fille ce soir. Je ne sais pas ce qui m’arrive. Je vais te finir avec ma bouche puis nous devrons rentrer à la maison.

Dès que les lèvres se sont de nouveau enroulées autour du sexe gonflé, Carl met ses mains sur la tête de Katie et force sa bite dans la gorge ouverte. La jeune fille est étouffée, elle lutte pour se relever. Mais Carl garde la pression sur sa tête en essayant de la forcer plus profondément. Katie n’a pas d’autre choix que de le laisser pénétrer sa gorge.

– Si j’avais voulu la pipe d’une gamine, je serai sorti avec une de tes copines. Maintenant montre-moi quelle femme es-tu.

Les gémissements et la lutte deviennent plus intenses. Carl a enfin pitié d’elle et il la laisse s’éloigner de sa queue pour respirer. De la salive sort de la bouche de Katie pour couler sur la bite et les couilles de Carl. Le garçon, tenant toujours les cheveux de la fille bien serrés dans sa main, baisse de nouveau sa tête jusqu’à ce que sa bite soit bien fichée dans la gorge féminine.

Katie est trop confuse pour penser. Elle croit qu’elle va s’évanouir. La queue est trop grosse pour tenir dans sa gorge. Malgré sa lutte, la bite va plus loin. La douleur des doigts tirant sur ses cheveux ne l’aide pas. Et pourtant, malgré tout ça, elle le veut. Elle veut qu’il la traite comme ça. Elle l’a toujours voulu.

C’est un de ses fantasmes récurrents. Un homme en noir, portant un masque de ski entre dans la maison quand Katie est seule. Elle essaie de courir, mais il est plus rapide. Il colle son visage contre le mur. Sa jupe et sa culotte sont arrachées. Une grosse bite pénètre sa chatte. Les mains déchirent son chemisier et écrasent ses seins. L’homme tire sur ses cheveux pour ramener sa tête en arrière. Il, mord son cou jusqu’au sang. Au même moment son jus de chatte gicle alors qu’elle imagine le sperme inonder son ventre. Ce fantasme lui donne toujours un orgasme intense.

La queue de Carl est complètement enfouie dans sa bouche et sa gorge. Elle étouffe bruyamment et lutte pour trouver de l’air précieux. Le garçon la laisse respirer brièvement avant de remettre sa bite dans sa gorge, lui tenant la tête jusqu’à ce qu’elle étouffe. Puis, en tirant sur ses cheveux, il lui baise le visage en balançant sa tête de haut en bas. A chaque fois, sa bite tape dans sa gorge.

– Voilà c’est bien Katie. Maintenant je vais te sauter.

Elle est encore éberluée quand il la plaque contre la porte et grimpe entre ses jambes. Plutôt que d’enlever sa culotte, il la tire sur le côté. Ses doigts ouvrent sa chatte. Carl se prépare à fourrer sa bite dans son sexe brûlant. Quand elle réalise ce qui va arriver, Katie panique :

– Non arrête, nous ne pouvons pas… S’il te plaît…

Elle essaie de le repousser mais il ne bouge pas. Elle peut sentir le gland frotter l’entrée de sa chatte. Elle réalise qu’elle va perdre la bataille. Elle réalise aussi qu’elle veut perdre cette bataille. Comme dans son fantasme, elle veut se faire baiser. Elle veut être prise de force. Mais il y a un problème.

– je… je ne prends pas la pilule, as-tu un préservatif?

Pour seule réponse, la main de Carl enserre son cou et plaque sa tête contre la fenêtre. Elle sent le sexe glisser dans son intimité. Il commence à la baiser. Sa chatte n’a jamais été autant remplie. Carl lâche son cou et met ses jambes par-dessus ses épaules. Ses mains écrasent ses seins. Sa bite la martèle encore et encore. Katie ne veut pas qu’il s’arrête.

– Oh mon Dieu… Oh Jésus… ohhhh… oui baise-moi… Mon dieu…

Lâcher prise et se laisser maltraiter est comme un puissant aphrodisiaque. Elle peut sentir la construction d’un autre orgasme dans son ventre. La grosse bite la remplit encore et encore. Carl pince ses tétons si fort que la douleur est atroce. Le plaisir et la douleur se mélangent dans un tourbillon de sensations qui irradient son corps. Elle jette sa tête en arrière et elle crie. De nouveau, du jus jaillit de sa chatte.

Le sexe de Carl gonfle dans le passage étroit. Il s’enfonce profondément dans la chatte et il grogne. Le sperme chaud envahit le ventre de Katie. Carl se retire puis la pénètre de nouveau, remplissant son vagin de sa graine épaisse. La jeune fille, sentant la chaleur de l’éjaculation se répandre en elle crie sous l’effet d’un nouvel orgasme.

Carl retire sa queue de la chatte remplie de sperme. Il remet l’entrejambe de la culotte à sa place pour absorber les différents liquides qui s’échappe de la fille. Il grimpe sur le corps de Katie et il pousse son membre dégoulinant entre ses lèvres. Le goût fort du sperme combiné à son jus remplit la bouche de Katie.

– Nettoie erzurum escort ma bite et suce-la jusqu’à ce qu’elle redevienne bien dure. N’hésite même pas à le faire, je ne veux pas te faire de mal.

Katie, la queue entre ses lèvres, lève les yeux vers lui et hoche la tête. Elle est devenue son esclave, son jouet sexuel. Elle veut qu’il le domine, qu’il l’utilise d’une façon qu’elle n’a jamais connue. Elle est accro à son pouvoir. Tous signes de résistance ont disparu. Katie suce la bite avidement dans sa bouche et elle lèche les jus épais sur la queue.

Carl sent le changement dans le comportement de Katie. Elle est à lui maintenant, elle va faire ce qu’il veut. Il attrape ses cheveux et enfonce sa queue dans sa gorge jusqu’à ce qu’elle étouffe. Il le fait encore et encore jusqu’au moment où il lui tire la tête pour qu’elle le regarde. De la salive coule sur son menton et elle respire difficilement.

– Assieds-toi sur mes genoux Katie, je vais te sodomiser.

– Non… S’il te plaît, pas ça… tout ce que tu veux mais pas ça… S’il te plaît…

– je l’ai dit! OBEIS!

Carl la relève et la plaque contre le siège avant avec sa main sur sa nuque. Il appuie sa tête sur le dossier du siège. De l’autre main, il fourre sa queue à l’intérieur de l’entrejambe dégoulinante de sa petite culotte. Puis il remonte la fente du cul. Quand il est bien lubrifié, il presse le bout de sa bite contre le petit trou serré et il pousse.

Katie crie quand elle sent l’énorme gland percer son petit trou vierge et entrer dans son corps. Il pousse plus profond. La jeune fille pense que ses entrailles vont exploser sous la pression insupportable et la douleur. Des larmes coulent sur son visage alors que Carl pousse encore plus loin. Puis il commence à la baiser. Katie peut à peine respirer.

Lentement et graduellement, elle sent la pression insupportable céder la place à une sensation plus agréable. Elle sent des doigts qui pénètrent sa chatte. Le plaisir revient dans son corps. Elle s’assoit sur la queue et l’enfonce encore plus profondément. Elle bouge son cul sur la queue. Carl remonte ses doigts vers sa bouche. Katie les suce consciencieusement et porte ses propres doigts à son clitoris.

Carl la penche sur le dossier du siège et pilonne son cul. Il attrape ses cheveux et tire sa tête en arrière. Sa queue entre et sort du trou du cul qui s’étire de plus en plus à chaque poussée. Sa main saisit la gorge de Katie et serre. Alors que celle-ci lutte pour avoir un peu d’air, elle est déchirée par un nouvel orgasme. Quelques secondes plus tard, elle sent du sperme chaud inonder son cul.

Carl sort sa bite du cul de Katie et remet la culotte bien en place pour absorber le foutre qui bave. Il remonte son pantalon et va s’asseoir sur le siège du conducteur. Katie est en train de remettre son soutien-gorge et son haut sur ses seins.

– Arrête! Est-ce que je t’ai dit que tu pouvais t’habiller? Je ne me souviens pas te l’avoir dit. Enlève tout, compris?

Katie devrait être furieuse de la façon dont il lui parle, mais son désir de lui plaire est plus fort que tout. C’est comme une dépendance. Elle sait qu’elle fera n’importe quoi pour lui. Carl l’effraie et l’excite en même temps. Elle le regarde et enlève son haut et son soutien-gorge.

– Euhhh… Je suis désolé, je ne pensais pas que… vas-tu me faire du mal?

Carl attrape sa mâchoire et tourne la tête vers la sienne. Il déplace son visage à quelques centimètres du sien. Il serre.

– Pourquoi voudrais-je te faire du mal Katie? Je t’aime bien et on va se voir beaucoup. Pendant le trajet je veux que tu me suces. Et je veux que tu continues à me sucer même quand je me serai garé dans ton allée. Compris?

Katie hoche la tête et fait ce qu’on lui dit. Elle sait que sa mère sera encore debout et qu’elle regardera par la fenêtre. La lumière du porche lui permettra de voir dans la voiture. En vérité, elle est contente que sa mère la voit sucer Carl. Elle glisse ses lèvres sur le membre.

Ils se garent dans l’allée. Carl coupe le moteur et attrape la tête de Katie. Il l’empale de haut en bas sur sa queue, en allant plus rapidement et plus profondément à chaque fois. Elle peine à suivre. Carl enfonce sa bite tout au fond de sa gorge et la tient comme ça jusqu’au moment où elle se débat pour avoir de l’air. Puis il relève sa tête et fait en sorte que son visage soit bien éclairé par la lumière du porche. Il voit les rideaux du salon bouger. Il sait que Mme O’KEEFE regarde.

– Très bien Katie, ça suffit. Maintenant je veux que tu sortes de la voiture. Tu te tiens devant et tu enlèves ta culotte. Puis tu me l’amènes.

Sachant bien que sa mère regarde, Katie se dirige vers l’avant de la voiture, soulève sa jupe et enlève sa culotte imbibée de sperme. Les phares l’aveuglent presque. Elle tend sa culotte à Carl. Il la prend puis il tripote ses seins et pince chaque mamelon. Puis il lui donne son haut. Katie l’enfile sur ses seins nus et disparaît par la porte arrière de la maison.

Carl sort de la voiture, s’appuie sur le capot et attend. Effectivement, quelques minutes plus tard, la porte arrière de la maison s’ouvre. Mme O’KEEFE sort, un couteau de cuisine à la main et du venin dans les yeux. Carl sourit, et lève le bras, la culotte imbibée de sperme au bout de son index.

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Le Club – Partie 31

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Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d’elles à chaque fois qu’il le désire.

Gwendoline hatay escort Blouse, 18 ans, sans profession, Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, et Savannah Elliott, 26 ans, Médecin urgentiste, trois jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Angel tirait Christine dans le couloir de sa villa. La jeune femme, soumise, résistait à peine à la volonté du maître des lieux en dépit du fait qu’elle était bien consciente du sort funeste qui l’attendait. Derrière eux, le géant Shemar Morgan les suivait à moins de deux mètres.

Le trio arriva dans la chambre d’Angel et ce dernier projeta la soubrette sur le lit. La jeune femme atterrit sur le ventre au dessus des draps en soie. Le souffle coupé, elle tenta de se redresser mais Angel la contraignit à rester à plat ventre.

– Mon cher Morgan, fit-il. Ouvrez donc l’armoire à votre droite.

Le policier interrégional se tourna sur sa droite et ouvrit les deux portes d’une grande armoire en chêne. A l’intérieur, il trouva le parfait attirail du petit sadique avec notamment un grand échantillon de fouets et martinets en cuir. Sans attendre les consignes d’Angel, Morgan s’empara de l’un des martinets dont les lanières en cuirs lui parurent particulièrement coupantes. Il s’approcha alors du couple ; Angel maintenait toujours Christine le ventre plaqué contre le lit. Inconsciemment, la jeune femme tendait les fesses comme une offrande à la punition qui s’annonçait.

– Cette petite salope a osé remettre en cause mon autorité, déclara Angel. Il est temps de lui rappeler où est sa place. Allez, mon cher!

Un sourire mauvais se dessina sur le visage de Morgan et il leva le bras. Quand il le rebattit, les lanières du martinet claquèrent brutalement sur la chair nue des fesses de Christine. Morgan était particulièrement musclé et sa force se répercuta dans le coup qu’il venait de porter. Sous l’effet de la douleur, Christine se libéra un peu de la gangue d’Angel pour pousser un cri de douleur. Morgan ne se formalisa pas de cette réaction et frappa à nouveau la directrice du foyer. Les lanières en cuirs pénétrèrent sa chair, laissant des marques rouges. Au troisième coup, le sang de Christine macula le martinet mais Morgan vit au regard d’Angel qu’il n’était pas satisfait. Au quatrième coup, les cris de Christine se transformèrent en pleurs désespérés et elle se mit à supplier ses tourmenteurs.

– Pitié! Assez! Je ferais tout ce que vous voudrez.

– Mais je n’en doute pas, lui rétorqua Angel. Et quand nous en aurons fini avec toi, tu n’auras même plus l’idée de me désobéir même pour l’autre conne qui te bouffe la chatte.

Angel se déplaça un peu et Morgan comprit qu’il désirait qu’il change de cible. Son coup suivant porta sur les reins de la suppliciée qui réagit comme si elle venait de recevoir une décharge électrique de 10 000 V. Elle se redressa et voulut s’échapper mais Angel pesa de tout son poids sur elle et elle dut s’avouer vaincue. Morgan frappa encore et encore et au fur et à mesure la résistance de la jeune femme s’atténuait.

Finalement Angel parut satisfait mais le prix payé par Christine était exorbitant. Tout l’arrière de son corps était zébré des marques de coups qu’elle avait reçus et les draps étaient maculés de son sang mais aussi de ses larmes et de son urine car elle s’était pissée dessus sous l’effet de la douleur. Angel s’allongea à côté d’elle et se mit à lui caresser la nuque comme il l’aurait fait avec un chien.

– Maintenant tu as parfaitement compris, n’est-ce pas?

Incapable de parler, elle se contenta de hocher la tête en guise d’approbation mais cette réponse ne suffit pas à son tortionnaire. Il lui expédia une claque sur les fesses. La force du coup fut décuplée par le contact sur les chairs à vifs et elle hurla une nouvelle fois.

– Je veux t’entendre, chienne! Tonna-t-il.

– J’ai compris la leçon, maître! Souffla-t-elle entre deux respirations rauques.

– Compris quoi?

– Que vous êtes le maître et que seule votre volonté compte! Je ne dois jamais remettre en cause vos ordres.

– Parfait!

Angel s’allongea alors sur le dos et fixa Morgan qui tenait toujours le martinet. ığdır escort Le policier semblait presque aussi épuisé que la soubrette et l’homme d’affaire comprit qu’il s’était vraiment déchaîné et il en éprouva une grande satisfaction. Cette petite séance avait bien plus eu pour but de tester cet inconnu que de réellement faire payer Christine. Si Angel avait décelé la moindre hésitation chez lui, il aurait immédiatement annulé l’opération et se serait débarrassé de lui.

– Mon cher ami, fit-il. Cette chienne est chaude comme la braise et je pense que cette petite punition a dû vous échauffer vous aussi alors …

Morgan sourit et fit tomber son pantalon sur ses chevilles. L’érection qu’il afficha rassura Angel : Morgan avait bel et bien pris du plaisir à torturer cette jeune femme innocente. Il était bel et bien fait du même bois que les autres membres du Club.

Morgan semblait bien loin de ces considérations : il ne pensait qu’à son plaisir. Il s’allongea sur la jeune femme toujours couchée sur le ventre. La masse imposante du policier vint peser sur les plaies ouvertes de la soubrette qui sentit de nouvelles vagues de douleurs diffuser dans tout son corps déjà affreusement meurtri. Totalement prisonnière, elle ne put cependant pas échapper à ce nouveau supplice imposé par cet inconnu qui se glissa entre ses cuisses. Rompue aux jeux sadiques d’Angel, elle savait que sa seule échappatoire passait pas une docilité totale en dépit des souffrances qu’on lui imposait ; sa résistance conduirait immanquablement à des punitions encore pire. Elle écarta donc les jambes et sentit immédiatement le sexe de Morgan s’insinuer en elle avec une douceur qui la surprit. Cependant, il ne tarda pas à la pistonner et la friction de son corps sur les plaies de Christine la fit hurler de plus belle.

Angel observait cette scène avec un ravissement absolu. Morgan apparaissait comme une recrue idéale pour le Club : sadique et sans aucun remord.

CHAPITRE 2

La Bolivie était bien éloignée de la résidence de David Angel mais si on considérait la villa qui se nichait dans cette région montagneuse de la cordillère des Andes, on lui trouverait de grandes similitudes avec la forteresse que l’homme d’affaire psychopathe s’était bâtie à Lilleland. Il fallait dire que la paranoïa de son propriétaire valait au moins celle d’Angel bien que dans ce cas, elle ne s’attachait pas uniquement à sa petite personne. Cet immense bâtiment entouré d’une véritable muraille blanche de plus de 10 mètres de haut perdu dans un endroit désert avait été construite dans le seul but de protéger une personne : Martina Ivanova, la femme de Thomas Serfati.

Chargée de veiller sur ce lieu, Lorna Watts s’affairait dans la salle de contrôle dans le silence de cette grande maison. Soudain, une alarme l’alerta et elle dut abandonner à contrecœur sa tâche précédente pour se tourner vers les écrans qui transmettaient les informations des capteurs situés dans les environs de la résidence. Rapidement, elle constata avec nervosité que des intrus avaient envahi l’espace de sécurité de la résidence. Les capteurs thermiques dénombrèrent au moins une demi-douzaine de points avant de rendre l’âme les uns après les autres. En professionnelles, elle comprit que les intrus détruisaient les détecteurs capables de fournir des informations aux défenseurs de la villa. Elle se crispa car cela signifiait qu’elle n’avait certainement pas affaire à des amateurs. Elle oublia le système de surveillance extérieur pour se concentrer sur les défenses en se tournant vers une console de commande et y taper un code de sécurité. Un signal lui confirma que son ordre était passé. Elle revint aux écrans des caméras infrarouges situées dans la muraille pour voir apparaître trois silhouettes vêtues de noir prés du mur nord. Elle sourit quand ils voulurent tenter l’ascension en pensant à la surprise qu’elle venait de leur réserver.

CHAPITRE 3

Marie-Pierre vit les trois hommes qu’elle avait lancés à l’assaut de la muraille de la résidence s’écrouler. Elle grimaça en comprenant que cette muraille était piégée en plus d’être élevée.

– Elle est électrifiée, constata son second dubitatif. Mais comment?

Marie-Pierre ne répondit pas à sa question car ce n’était pas le moment. Elle savait seulement qu’un tel système de sécurité avait coûté une véritable fortune.

– Ils ont trouvé la porte d’entrée, annonça son second.

« Enfin une bonne nouvelle. » Pensa-t-elle.

Quand ils arrivèrent devant cette grande porte blindée, ils trouvèrent deux commandos en train de travailler sur le boîtier à code qui en commandait l’ouverture. Marie-Pierre les laissa continuer mais décida de prendre l’initiative de faire sonner l’interphone. Pendant un long moment, son appel resta sans réponse puis finalement l’écran s’alluma pour faire apparaître le visage d’une femme rousse qu’elle reconnut.

– Bonsoir Lorna Watts, fit Marie-Pierre. Cela faisait longtemps.

– Oui, avoua Paula. Depuis que j’ai quitté le réseau en fait. Que voulez-vous ısparta escort Marie-Pierre Pomi?

– Vous le savez bien, je viens récupérer Martina Ivanova.

– Il se trouve que j’ai été chargée de sa garde et il est hors de question que je déçoive celui qui m’a confié cette mission.

– Et moi, il est hors de question que je déçoive celui qui m’a chargé de lui ramener Martina.

– Alors nous avons un problème.

– Ne pouvons-nous pas trouver un terrain d’entente?

Pour toute réponse, Lorna coupa la communication et Marie-Pierre jura. Elle aurait tellement aimé que son opération se passe en douceur mais la seule présence de Lorna Watts consistait un écueil dangereux. Lorna avait fait partie des commandos du réseau pendant des années notamment durant la guerre interne et elle allait être difficile à se circonvenir. Elle se tourna vers les deux hommes qui travaillaient sur le boîtier de commande.

– Ouvrez-moi cette porte, tout de suite! Ordonna-t-elle.

L’impression d’urgence qui l’occupait depuis que ce maudit coup de téléphone la rendait folle mais elle était incapable de se contrôler et elle savait qu’elle ne réussirait à retrouver son calme que quand elle aurait atteint son but : retrouver Martina Ivanova.

CHAPITRE 4

Laroquette se sentait comme un enfant dans un magasin de bonbons. Depuis quelques jours, les résultats du conditionnement de ses petites élèves avaient dépassé toutes ses espérances. Il pouvait désormais choisir au grès de ses envies laquelle de ses étudiantes aurait l’honneur de passer un moment « privilégié » avec lui. Il avait pu goûter à l’antre d’amour si accueillant de Barbara Bava seulement deux nuits après avoir dépucelé la superbe Marlène Lac ; Emeline Forgue n’avait résisté que trois jours supplémentaires et Marina Calvo était tombée la semaine suivante. Il avait aussi eu l’extase de connaître un nouveau dépucelage avec la jeune Marie Hurtis mais il avait gardé le meilleur pour la fin. Il sortait tout juste de la chambre d’Ania Torra avec laquelle il venait de passer une semaine entière à lui faire découvrir tous les plaisirs de la soumission totale. Il avait adoré assister à la métamorphose de cette apprentie artiste en une parfaite petite poupée prête à assouvir tous ses désirs.

Cependant, toutes ces nuits passées avec toutes ces jeunes filles en fleur devenues ses jouets sexuels ne le satisfaisaient pas encore totalement car il manquait encore une pièce à sa collection, la plus tentante, et il comptait bien s’en emparer dès ce soir.

Il entra dans la chambre de Carla-Magdalena Mola et la trouva en plein travail, preuve d’un changement de comportement patent. Elle se trouvait assise à son ordinateur de travail sous la surveillance de Sonia Ordoz, chargée de son tutorat. Cette dernière tourna la tête vers lui et il fut comblé par le regard de peur et de haine qu’elle lui jeta. De toutes ses jeunes esclaves, Sonia était la seule à ne pas être soumise à un conditionnement quelconque ; elle conservait donc encore son libre arbitre et ne cachait pas son animosité envers lui. Il trouvait cette preuve de défi amusante car totalement vaine puisqu’en dépit de cette petite pointe de volonté supplémentaire, Sonia exécutait ses moindres volontés. Il s’approcha des deux jeunes filles en faisant mine de s’intéresser au document sur lequel elles étaient en train de travailler.

– Notre jeune fille rebelle a-t-elle révisé sa copie? Demanda-t-il à l’intention de Sonia.

– Oui, elle…

– Je peux répondre moi-même, s’insurgea Carla-Magdalena en quittant sa chaise.

– Je ne vous ai pas parlé jeune fille, lui rétorqua Laroquette.

Il la fixa droit dans les yeux. Son regard bleu azur se plongea dans celui vert de la jeune fille. L’affrontement dura de longues secondes durant lesquelles, Carla-Magdalena refusa de rendre les armes devant sa volonté et il craignit de ne pas réussir à s’imposer à elle. Puis, ce fut comme un déclic, Carla-Magdalena baissa les yeux pour fixer ses pieds, visiblement honteuse. Laroquette triompha intérieurement : il s’agissait d’une victoire fragile mais d’une victoire tout de même. Il reporta son attention sur Sonia.

– Est-elle toujours aussi insolente? Questionna-t-il.

– Malheureusement, hésita Sonia qui ne savait que trop bien où le pervers directeur voulait en venir.

– C’est plus que regrettable, estima-t-il en jubilant intérieurement. J’ai promis à sa famille d’améliorer son comportement avant la fin de son stage. Or elle doit rentrer dans seulement une semaine. Nous allons devoir recourir à des méthodes plus… radicales.

Carla-Magdalena releva la tête, une expression de surprise sur le visage. Laroquette la fixa de nouveau d’un regard directif et il la vit se contracter de tous ses muscles. Il sut qu’elle était en proie à des sentiments contradictoires : le conditionnement lui intimait d’obéir sans réfléchir allant ainsi à l’encontre de son instinct de survie qui comprenait bien qu’il valait mieux pour de s’éloigner au plus vite de ce monstre. Il la sentait bien plus tangente que toutes ses autres victimes, sa cousine comprise. Elle était bien plus rebelle et résistante au conditionnement et c’était aussi pour cela qu’elle l’excitait tellement, c’était un animal sauvage qu’il fallait dompter et il salivait d’impatience à le faire.

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La nouvelle vie de Christine Ch. 24

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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur “MILowner”

************************

Je vais avancer un peu dans le temps pour arriver un petit peu avant le quarantième anniversaire de Christine. Au cours des derniers mois, nous avions eu une routine bien huilée. Ma belle-mère était sexuellement complétement sous mon contrôle. Mais je ne lui avais jamais imposé de situation où elle ne pouvait pas satisfaire les bites qui se présentaient.

Elle était employée en tant que « faciliteuse de contrat » et elle faisait un travail exceptionnel. Son compte en banque était bien rempli, comme le mien. Si bien que je ne travaillais pas.

Nous continuions à rencontrer Claude RINCLOT et les autres enseignants une fois par mois, ainsi que Paul GREUCORE, Adam BEAUMONT et Jean VANNIER sur une base mensuelle aussi.

J’avais dû refuser plusieurs offres d’autres hommes qui voulaient la baiser. Mais de pas de sexe du tout elle était passée à quarante bites différentes dans ses trous. Elle commençait à fatiguer et donc je limitai ses ébats pour pouvoir en profiter moi-même.

Ce fut un mois avant son anniversaire que je reçus un appel de ma petite amie, la fille ainée de Christine. Elle m’informa qu’on lui avait proposé un poste permanent à l’étranger et qu’elle avait rencontré quelqu’un d’autre. Elle ne rentrerait pas chez elle de longtemps. Aujourd’hui, ça ne me dérangeait pas car je ne l’avais vu que deux ou trois fois en deux ans et sa mère était suffisante pour mes besoins. Donc je luis dis de profiter de sa carrière et adieu.

Ce que je ne savais pas ou plutôt à quoi je n’avais pas pensé jusqu’à ce que j’entende Alain le mari de Christine l’engueuler un soir, c’est que mon ancienne copine avait aussi averti ses parents que nous n’étions plus ensemble. Cela risquait de me poser des problèmes d’hébergement. J’entendis un soir Alain, saoul comme d’habitude, engueuler encore sa femme et lui dire de me foutre dehors. Je savais qu’il se conduisait comme une brute quand il était saoul mais c’était une vraie poule mouillée dans son état normal et surtout un gros fainéant.

Ce fut deux jours plus tard, après qu’Alain soit sorti boire, après que sa fille Alice soit partie avec son petit copain Rick et qu’après m’être vidé dans sa chatte, Christine me répéta ce que lui avait dit son mari :

– Maître, Alain dit que vous devez partir de la maison maintenant que notre fille n’est plus votre petite amie.

J’avais déjà pensé longuement et sérieusement à ce que je devais faire depuis que j’avais entendu Alain. Je n’étais pas prêt à volontairement abandonner ma soumise. D’autre part je ne pouvais pas l’emmener car elle n’aurait pas voulu abandonner sa fille Alice. Même si elle m’était soumise sexuellement, elle tenait à sa fille. Donc j’avais décidé que je resterai et que ce serait Alain qui partirait. Je devais tout faire pour ça et je comptais bien passer à l’acte le jour du quarantième anniversaire de Christine. Je lui répondis :

– Je vais rester jusqu’à ton putain d’anniversaire. Et après je verrai.

Christine dit à Alain que je devais partir après son anniversaire. Il ne m’en parla jamais d’ailleurs.

Le jour de l’anniversaire de Christine, nous sommes tous dans la salle des fêtes local : son mari, Alice, moi, sa famille et ses amis. Même Adam BEAUMONT a été invité par Alice. Alors que la fête bat son plein, je demande même à ma belle-mère de monter à l’étage avec lui et de le sucer rapidement.

Une fois que la fête est terminée, vers une heure du matin, tout le monde est parti. Il ne reste qu’Alain, Christine et moi. Alors que nous allons partir, Alain marmonne qu’il va au bar pas bien loin. Et même s’il peut à peine marcher, il est évident qu’il n’en a pas eu assez. Je me dirige donc vers la maison seul avec Christine qui n’est pas très assurée sur ses jambes. Alors je la tiens et passe les quinze minutes de marche à tripoter ses seins et son cul.

A la maison, un peu ivre, Christine titube vers l’escalier qui monte à l’étage mais je la retiens par le bras.

– Tu ne crois pas salope qu’il est temps d’une baise d’anniversaire.

– Hips… Nous ne pouvons pas… Hips… Mon mari va revenir… Dit-elle d’une voix empâtée tout en vacillant sur eskişehir escort ses talons hauts.

– Je veux qu’il revienne salope, car après ce soir il saura que tu es ma pute. Dis-je en la tirant jusqu’à moi.

Je passe mes mains derrière elle et je les pose sur son cul.

– Non, nous ne pouvons pas… S’il vous plaît. Gémit-elle.

Mais elle ne lutte pas et ne résiste pas quand je fais remonter sa jupe autour de sa taille.

– Il n’est pas question que je quitte cette maison. Je t’ai toujours dit qu’un jour il saurait que sa femme est une pute, ma pute. Et ça arrivera ce soir salope.

Je la repousse légèrement pour pouvoir déboutonner son chemisier serré sur ses jolis seins moulés dans un soutien-gorge à balconnet.

Encore une fois, elle ne résiste pas même si elle proteste faiblement sur ce que nous ne pouvons pas faire. L’alcool a ralenti son processus de pensée et elle semble avoir du mal à comprendre ce que je vais faire ce soir. Bien que soumise je sais que si elle avait été sobre, elle aurait protesté beaucoup plus.

De l’avoir enivrée était une bonne idée car ça allait me faciliter les choses pour gérer Alain.

Je finis de déboutonner son chemisier, je lui enlève et je le jette sur le sol en direction de la cuisine, sur la route du retour du mari. Peut-être que les vêtements de sa femme éparpillés un peu partout de la maison l’alerteront sur la situation mais je pense qu’il faudra qu’il me voie baiser son épouse. J’enlève le soutien-gorge puis je continue avec la jupe. Christine se tient devant moi en talons hauts, bas et slip de dentelle noire que j’avais acheté pour son anniversaire.

– Viens t’occuper de ma bite salope et suce-moi pour ton anniversaire. Dis-je en m’asseyant sur le bras du canapé.

Encore une fois, elle ne proteste pas à part un faible marmonnement qui n’a pas beaucoup de sens. Je me suis assis de façon qu’elle soit obligée de tourner autour de moi et tourner le dos à l’entrée de la maison par où doit passer Alain. Maladroitement elle tâtonne sur les boutons de mon jean. Manifestement la boisson a altéré sa vue et son toucher. Finalement elle arrive à déboutonner mon jean et à le baisser ainsi que mon boxer sur mes chevilles.

– Enlève mes chaussures ainsi que mon jean et mon caleçon. Et fais ça bien salope!

Elle ne répond rien. Je pense que Christine a oublié qu’Alain allait revenir, ou alors elle a accepté la situation ce qui va rendre ce qui va se passer beaucoup plus facile.

Une fois que mon jean et mon caleçon sont enlevés, je les jette vers la porte où un chemisier et une jupe sont déjà. Ces vêtements éparpillés devraient avertir Alain sur l’adultère de sa femme. Sans rien dire Christine lève ma bite molle et la met dans sa bouche humide et familière. Elle engloutit ma queue, laissant du rouge à lèvre sur ma peau. Instantanément, mon membre commence à grossir dans sa bouche et sa tête commence à monter et descendre sur ma bite qui grossit de plus en plus comme elle l’a déjà fait des centaines de fois ces derniers mois.

J’apprécie sa bouche sur ma bite tout autant que la première fois dans ma chambre où sa curiosité a eu raison d’elle. Son besoin, son envie de queue après de longues années d’abstinence l’ont amenée à mon chevet et sa bouche de femme mariée sur mon membre. Elle pompe ma queue avec expérience et la traite comme s’il s’agissait de mon anniversaire et non le sien. Elle ne bronche même pas lorsque on entend une clé dans la porte, signifiant que le mari revient.

– Ecarte ta culotte et caresse ta chatte! Ordonné-je.

Comme une bonne soumise, sa main gauche quitte ma hanche pour aller entre ses jambes. Elle ouvre ses cuisses plus largement et met des doigts dans son vagin tout en caressant son clitoris.

Quand elle entend la porte s’ouvrir et Alain entrer, un regard horrifié s’affiche sur le visage de Christine. Mais elle ne bouge pas. Je ne sais pas si c’est son amour d’être ma pute ou si elle est trop imbibée d’alcool. Je luis dis :

– Suce ma bite!

Docilement elle scelle son destin ainsi que celui d’Alain.

La porte claque derrière lui et je le vois tituber et buter contre la cadre de la porte alors qu’il cherche son chemin jusqu’à son lit. Il enregistre brièvement les vêtements sur le plancher et se dirige maladroitement vers nous, la tête baissée. Mon estomac est noué dans l’attente gaziantep escort de ce qui va se passer.

Alain lève les yeux. Son regard vitreux rencontre le mien. Il vacille et s’accroche au mur en essayant de se concentrer. Christine, sa femme, mon ex belle-mère suce avidement ma bite, sa main entre ses jambes en train de s’activer sur sa chatte, ma propriété, pas celle d’Alain.

Son visage change d’expression. Il essaie de dire quelque chose mais seul un grognement sort de sa bouche. Il chancèle vers moi et balance son bras dans un mouvement très mou, le poing fermé. Mais lorsqu’il m’approche, je ne bouge pas et tiens la tête de Christine sur ma bite avec ma main gauche. Puis je donne une grande claque dans le visage d’Alain ce qui l’envoie en arrière sur la chaise dans un coin de la pièce.

– Assis toi vieil homme! Dis-je.

Il finit par se relever et essaie de nouveau de balancer son poing dans ma direction. Mais comme il ne tient pas en équilibre, je n’ai pas de mal à le claquer à nouveau pour le renvoyer sur la chaise. Cette fois, il ne bouge plus, ivre, fatigué et vaincu. Il le sait aussi bien que moi, il ne peut pas arrêter ce qui se passe. Alors il tente de se concentrer sur la vue de sa femme me suçant la bite.

– Tout ça c’est de ta faute Alain. Si tu avais porté un peu plus d’attention à ta femme elle ne m’aurait pas imploré de voir ma bite. Dis-je en me penchant en arrière en mettant mes coudes sur le bras du canapé.

Christine continue de me sucer tout en se masturbant. Je lui demande :

– Salope, depuis combien de temps ton mari ne t’a pas touché?

Elle arrête de me sucer, lève la tête et me regarde avec ses grands yeux bruns puis me dit :

– Neuf ans Maître!

Puis elle revient à sa fellation.

– Neuf ans Alain, tu devrais avoir honte de toi. Elle a passé ces derniers mois à réclamer ma queue. Dis-je en me moquant de lui.

– Salope! Crache-t-il en colère.

Mais il n’essaie pas de se lever et de m’attaquer à nouveau. Il sait que c’est inutile dans son état actuel. Et j’espérai presque qu’il essaie demain matin quand il serait sobre car j’étais prêt à lui mettre la pâtée.

Je retourne à Christine et je regarde sa tête monter et descendre sur mon membre épais. A ce moment je me sens fort et je sais que je contrôle tout. Je suis si excité que je dis :

– Suce bien ma bite devant ton mari pathétique affalé dans sa chaise.

Je ne peux pas m’empêcher de lancer des paroles pour humilier Alain.

– Montre à ton mari comment tu as été en manque. Suce moi bien Christine.

Puis pour Alain :

– Tu vois Alain, c’est ce que tu aurais dû faire avec elle et elle n’aurait pas eu besoin de sucer la mienne.

Je me mets à rire de la situation.

– Salaud, va te faire enculer! Dit Alain d’une voix pâteuse, toujours cloué sur sa chaise.

Après cinq minutes de merveilleuse fellation, je soulève Christine et je l’attire vers moi pour un baiser ou nous enroulons nos deux langues. Elle se laisse aller, les yeux vitreux. Je sais qu’elle ne se soucie plus de la présence de son mari. Elle est à moi pour toujours. Je pince ses mamelons qui sont déjà dressés et tout durs. Puis elle se tourne et fait face à Alain. Ensuite elle fait une chose qui me prouve qu’elle est vraiment à moi et qui me prend par surprise. Elle regarde son mari et lui dit :

– Espèce de vieil ivrogne, tu vas me regarder baiser une vraie bite.

Je ne peux en croire mes oreilles et ma bite prend presque 5 centimètres de plus quand elle humilie ainsi son mari. Je décide de renchérir sur l’humiliation d’Alain. Je dis à ma soumise :

– Penche toi et enlève ta culotte salope!

Sa réponse fut comme une musique à mes oreilles. Elle se penche en avant et met ses mains sur l’élastique de sa culotte en disant :

– Oui Maître.

Je vois tressaillir Alain à cette réponse et un autre juron quitte sa bouche.

Christine descend sa petite culotte. Je me lèche les lèvres à la vue de son petit trou du cul bien rasé. Quand la petite culotte arrive aux chevilles, je peux voir qu’elle est trempée du jus de sa chatte. Je me penche derrière elle après avoir fait un clin d’œil à Alain. Puis j’écarte ses fesses autant que possible, j’ouvre ses petites lèvres et j’enfouis mon visage dans son entrejambe. Avec ma langue je localise très vite son clitoris.

giresun escort OOOOHHHH OOOUIiiii, c’est ce que je veux. Crie Christine de joie.

Je mange sa chatte comme je l’ai fait quelques mois plus tôt. Je me régale, appréciant chaque centimètre de son petit clito gonflé qui sort de sa cachette pour m’indiquer le désir de sa propriétaire.

– OHHHHH, OHHHH, n’arrêtez pas, je vais jouir. S’il vous plaît faites-moi jouir devant mon mari. Demande-t-elle, continuant d’humilier son mari.

Puis elle glapit :

– OOOOOOHHHHHH…OOOOOUUUUIIIIIIIII JE JOUIS, Arggggghhh, ouiiiiiiiii…

Elle pousse son cul en arrière, clouant mon visage au canapé pendant qu’elle se perd dans son orgasme et que son jus couvre ma figure.

Je la repousse et je lui dis de se pencher tout en gardant sa chatte ouverte, ce qu’elle fait en posant ses deux mains sur son cul. Je regarde Alain qui semble réfléchir mais qui a encore les yeux d’un ivrogne.

– Voilà comment ta femme aurait aimé que tu t’occupes de sa chatte durant ces dernières années. Elle s’est tournée vers moi et la chatte de ta femme est la chose la plus douce que je n’ai jamais goûté. Lui-dis-je en riant.

Je reporte mon attention sur sa femme et ma pute à laquelle je dis :

– Si tu veux de la bite tu vas devoir venir la chercher. Montre à Alain que tu as envie de queues. Je ne vais pas te baiser, c’est toi qui me baiseras.

J’écarte mes jambes et me rassoit sur le bras du canapé.

Christine se traine sur ses talons, sa culotte emmêlées autour de ses chevilles, les mains toujours sur ses fesses pour les écarter. Elle se rapproche de moi puis frotte son cul contre ma queue, recherchant mon gland avec sa chatte. Finalement et comme d’habitude elle trouve. Elle commence à pousser afin que ma bite écarte ses petites lèvres. Puis elle s’arrête, regarde son mari et sourit :

– Regarde à quel point j’aime sa queue. Dit-elle.

Elle se laisse tomber sur ma bite qui la remplit complétement. Elle laisse échapper un de ses longs gémissements dont je suis familier et qui ne m’ont jamais ennuyé.

Comme une bonne pute, elle me baise. Elle se balance et sa chatte humide coulisse le long de mon membre encore et encore. A chaque fois elle s’empale sur ma bite pour s’assurer que toute la longueur la pénètre bien. Au bout de six ou sept minutes elle jouit. Elle s’assoit sur ma queue, jette la tête en arrière et crie de plaisir. Elle déclare son amour pour mon gros membre.

Elle a prouvé combien elle aime mon sexe et elle a prouvé que son mari ne l’intéresse plus du tout. Je me relève et je la pousse sur le canapé en lui demandant de bien écarter les jambes. Je ne perds pas de temps et j’enfourne ma bite dans sa chatte d’une moiteur impressionnante. Je la ramone avec puissance, m’enterrant profondément en elle. Je regarde par-dessus mon épaule Alain qui est toujours assis sur sa chaise à nous regarder. Puis nous ne faisons plus attention à lui et, les vingt prochaines minutes je culbute sa femme dans toutes les positions possibles.

Il la regarde jouir une troisième et quatrième fois. Et comme elle a permis sa chatte mariée de se faire baiser devant les yeux de son mari, elle ajoute encore à l’humiliation d’Alain en disant, lorsque je lui dis que je vais jouir :

– Remplissez ma chatte mariée de votre sperme Maître, donnez-moi votre foutre chaud.

Je ralentis mes coups de reins quand je sens que ma sève monte dans ma queue. Puis j’éjacule en elle une grosse quantité de sperme avant de sortir ma bite et finir de gicler sur son corps.

Nous prenons une ou deux minutes pour récupérer. Puis je me lève et je marche lentement vers Alain, lui permettant ainsi de regarder ma queue encore mi raide et couverte du jus de sa femme.

– Je vais au lit avec ta femme Alain. A partir d’aujourd’hui je partage son lit. Tu peux prendre le mien ou le canapé comme tu préfères.

Je regarde Christine qui est toujours assise sur le canapé, mon sperme mélangé au jus de sa chatte coulant sur les coussins puis sur le sol. Je rajoute :

– Peut-être que tu préfèreras le lit Alain, il semble que nous ayons un peu Sali le canapé. Désolé.

Je ris et je demande à Christine de me suivre à l’étage. Comme une bonne pute, elle me suit et nous partons en laissant Alain en bas. Nous nous couchons dans le lit du couple pour la première fois. Et alors que nous dérivons lentement vers le sommeil, nous entendons Alain trébucher dans les escaliers et aller dans mon ancienne chambre.

Je suis content de moi. J’ai montré à Alain quelle pute était devenue sa femme. Et à nous deux, nous avons assez d’argent pour lui payer à boire tant qu’il le veut.

A suivre…

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Feststellung beim Audit – Nachspiel

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Amateur

Es sind schon Wochen seit der sonderbar beendeten Auditbesprechung vergangen, aber von Nadia habe ich nichts gehört. Ich muss zu einem anderen Konzernstandort wegen einem zweitägigen Compliance Workshop. Im Besprechungsraum ist ein großer, runder Tisch mit ungefähr 15 Plätzen vorbereitet. Ausnahmsweise erscheine ich pünktlich. Nach und nach kommen die anderen Kollegen. Wir fangen mit einer viertelstündigen Verspätung an, doch sind drei-vier Plätze immer noch leer.

Dann trifft das Auditteam ein, darunter auch Nadia. Als wir uns gegenseitig erblicken, können wir unsere Überraschung und Freude nicht verbergen. Sie sitzt mir fast gegenüber, wir werden nur durch einen Tisch mit einem Durchmesser von fünf-sechs Metern getrennt.

Sie setzt sich hin und schaut mich an. Sie holt ihre Unterlagen aus der Tasche und schaut mich an. Sie öffnet ihr Notizbuch — und schaut mich wieder an. Ich muss gestehen, dass ich sie nicht minder oft ansehe. Wie spät ist es? 9:23 Uhr? Wie werde ich es bis zur nächsten Pause oder gar bis zum Abend aushalten? Denn, dass am Abend etwas passieren wird, ist unausweichlich.

Immer wieder Augenkontakt, Lippen befeuchten, wir lassen die Luft förmlich knistern. Sie streckt ihre schönen Beine aus, wie gern würde ich sie mit meinem Fuß berühren oder streicheln. Ich schaue nochmals auf die Wanduhr, der Sekundenzeiger schleppt sich mühselig voran. Es wird ein langer, qualvoller Tag.

Endlich eine Kaffeepause, aber wir gehen nicht zueinander hin, denn sofort kommen Kollegen, die man selten sieht. Ab und an werfen wir uns Blicke zu. Sie nimmt sich eine Praline und wie verführerisch sie sich diese in den Mund steckt. Ich verenge ein bisschen die Augen, sie lächelt. Sie kann gut necken und ich kann gut… Aber jetzt zurück in den Besprechungsraum. Es kommen nun Themen aus meinem Fachgebiet. Ich muss mich konzentrieren und etwas beitragen.

Geschafft! Mittagspause. Ich habe fachlich eine Bombe hochgehen lassen, die anderen Teilnehmer hängen an mir wie eine Traube. Ich verliere Nadia aus den Augen. Ich entschuldige mich und flüchte in die Toilette. Da ist sie! Die ohnehin schon hyperaktiven Hormone geben nun Vollgas und bereiten ein Feuerwerk in mir. Wir fallen übereinander her.

Küssen, lecken, schmatzen, greifen, fummeln, grabschen. Nur auf unsere Haare passen wir instinktiv auf. Ihr Duft, ihr Geschmack: betörend. Doch auf einmal hören wir Frauengelächter vor der Tür. Langsam betätigt sich die Türklinke. balıkesir escort Wir springen auseinander. Außer uns gibt es nur noch eine Frau in diesem Meeting und sie muss ausgerechnet jetzt hier hereinplatzen! Wir haben aber auch Glück, dass sie aufgehalten wurde und nur langsam in die Toilette eintreten konnte.

Nadia flüchtet in eine Kabine, um sich innerlich abzukühlen. Ich atme tief durch, schaue in den Spiegel und frische mein Makeup auf. Ich warte nicht auf sie, sondern gehe mit den anderen zum Mittagstisch. Ich muss meinen Kopf ein bisschen lüften. Immer wieder bin ich erstaunt, welch intensiver Rausch sich in meinem Körper breit machen kann. Wenn dieser Rausch befriedigt wird, dann fühle ich mich wie im Himmel, wenn nicht, dann schmore ich wie in der Hölle unter der Hitze meiner eigenen Leidenschaft.

Langsam gewöhne ich mich an diese Qual. In einer Kaffeepause am Nachmittag können wir zumindest etwas plaudern. Doch die echte Kommunikation läuft über unsere Augen und über die kleinen Regungen auf unseren Gesichtern.

Als auch die Nachmittagssitzung zu Ende ist, bin ich schon etwas lethargisch. Wenigstens kann ich mich etwas lockern, tratschen, besser vernetzen. Beim Abendessen sitzen wir alle an einem Tisch, aber wir sind trotzdem weit voneinander weg. Gegen 21 Uhr blicke ich sie an, dann den Ausgang und wieder sie. Sie nickt. Ich stehe auf und gehe.

Langsam laufe ich zu meinem Zimmer. Als ich die Karte in den Schlitz schiebe, höre ich, wie jemand die Treppe hoch rennt und sich mir dann nähert. Ich blicke auf. Natürlich ist es Nadia, aber ihr Gesichtsausdruck, diese Augen… bumm! Sofort gerät mein Blut in Wallung. Sie wird langsamer, lächelt frech, ich öffne die Tür und lasse sie eintreten. Die Tür schließt sich, wir gucken uns einige Sekunden regungslos an, dann fallen wir übereinander her.

Zungenküsse, Ohrläppchenbisse, Saugen am Hals, an den Schultern. Ihren heißen Atem spüren, ihren Körper, ihre Haut. In ihre Haare wühlen. Am liebsten hätte ich acht Hände, wie eine Krake, damit ich alle aufregenden Stellen gleichzeitig anfassen kann. Auch sie ist ganz außer sich. Wir haben keine Zeit uns auszuziehen, sondern lassen uns einfach so aufs Bett fallen und greifen uns gegenseitig unter die Slips. Meine Hand auf ihrem Kitzler, ihre auf meinem. Wir bewegen uns im gleichen Takt, auf denselben Lustwellen und schauen uns tief in die Augen. Es ist nicht nur ihr Finger auf meiner bartın escort Klitoris, sondern auch ihr Blick, der mich weiter nach oben treibt. Irgendwie schaffen wir es fast zur gleichen Zeit zu kommen.

Dieser Orgasmus ist schnell und unspektakulär, aber eine Erlösung. Ich liege erschöpft neben ihr. Sie hat einen tollen Körper und interessanterweise verspüre ich bei ihr nicht den Drang, allzu dominant aufzutreten. Ich bin verschwitzt. Ich gehe ins Badezimmer, öffne den Wasserhahn und steige in die Wanne. Kurze Zeit später folgt mir Nadia. Sie hat zwei Gläser in der Hand mit dem Wein aus der Minibar — sie ist nackt. Das erste Mal, dass ich sie so bewundern kann. Ihre kurvigen Hüften, ihr süßer Bauchnabel, die kleinen, aber runden Brüste mit den harten Nippeln.

Die Wanne ist zu klein, um nebeneinander zu liegen, sie setzt sich also mir gegenüber. Wir nippen am Wein. Es wird kein Wort gesprochen, uns verhüllt eine Aura der Entspannung. Als die kleine Flasche Wein leer ist, steigen wir aus. Sanft trocknen wir uns gegenseitig ab. Die Lust steigt. Wir schaffen es nicht mehr zur Minibar für die nächste Flasche, sondern landen auf dem Bett und beglücken uns in der 69-er Position. Eine frisch gebadete, blanke Muschel schmeckt doch am besten. Ich bin oben, aber sie macht ihre Sache so gut, dass ich mich nur noch ganz auf ihre Zunge und ihre Finger konzentrieren kann. Ich selbst kann nichts zu ihrer Befriedigung beitragen.

Sie hat zwei Finger in meiner Vagina und schiebt langsam einen auch in meine Rosette. Es fühlt sich so herrlich an, ihre Finger und Zunge bewegen sich ständig, zucken, streicheln, massieren, eine heiße Komposition der Bewegungen. Ich bekomme kaum Luft, ich spüre wie sich die Lust aufstaut. Ich habe noch so viel Geistesgegenwart, dass ich die Decke zu mir hinziehe, um hineinzubrüllen. Dieser Höhepunkt schüttelt mich durch, alle meine Glieder vibrieren und prickeln. Meine Hüfte tanzt wild auf ihrer Zunge. Dann lasse ich mich neben sie fallen und keuche nach Luft.

Als ich mich wieder einigermaßen erhole, sehe ich ihr Gesicht und Haare ganz mit meinem Saft verschmiert. Aber sie lächelt. So verführerisch, so sexy, süß und weiblich zugleich, dass ich nicht anders kann, als mich zwischen ihre Beine zu begeben und sie hoch hinaus lecken — und auch dort zu halten. Zwei Finger in ihre enge Scheide und die Zunge auf der Klit. Ich schiebe ihre Lustkurve schnell nach oben, lasse sie aber batman escort nicht den Höhepunkt erwischen, immer wieder stoppe ich in letzter Sekunde. Sie dreht sich wie ein Aal hin und her. Nach einer halben Stunde Folter fingere ich sie wild durch und lecke sie zum Höhepunkt. Sie explodiert.

Doch ich höre nicht auf, meine Finger ziehe ich zwar aus ihr heraus, aber nur um meine beiden Hände frei zu haben für das zärtliche Kneten und Zwirbeln ihrer Brüste. Ihren Kitzler und die direkte Umgebung sauge ich tief in meinen Mund, ihre Nippel zwischen den Fingern, so ist sie ganz meine Gefangene — nicht als ob sie flüchten wollte. Ich lasse fast eine Stunde lang nicht von ihr ab. Sie kommt noch zweimal.

Wir sind geschafft. Es ist fast Mitternacht. Wir essen alles Knabbergebäck aus der Minibar auf. Aber jedes Mal, wenn wir uns ansehen, lodert die Flamme hoch. Ich bin an der Reihe verwöhnt zu werden. Ich lege mich bequem hin, spreize meine Beine und lasse sie mit ihrer Zunge und ihren Fingern einfach machen. Ich komme erneut. Schlaraffenland.

Danach stehen wir auf, machen uns etwas frisch, um endlich zu schlafen. Nadia holt noch etwas zum Knabbern aus der Minibar ihres Zimmers. Sie kommt schnell wieder, doch der Anblick, wie sie sich auszieht, um ins Bett zu steigen, heizt mich wieder auf. Zum wiederholten Male falle ich über sie her, zwinge sie aufs Bett, sie liegt auf ihrem Bauch, meine Hand von hinten zwischen ihre Beine während ich ihr Knutschflecken in den Hals sauge. Ich zwinge meinen Daumen tief in ihr Poloch. Sie bleibt nicht still, sie tut so, als ob sie sich befreien wollte. In Wirklichkeit genießt sie die erzwungene Qual eines erneuten Orgasmus.

Wir verfallen in eine Trance der Lüsternheit. Die Müdigkeit, die vielen Höhepunkte versetzen uns in einen Geisteszustand, in der alles eine sexuelle Abstraktion erfährt. Nadia muss für kleine Mädchen, ich folge ihr. Vielleicht würde sie mich unter normalen Umständen aus dem Badezimmer schicken. Doch jetzt schaut sie mich so schön verdorben an, beißt sich auf die Unterlippe und anstatt sich hinzusetzen, erleichtert sie sich im Stehen. Sie tut es, als würde sie ihr kostbarstes Geheimnis zeigen, einen Schatz, den noch nie jemand zuvor erblickt hat. Und tatsächlich: in jenem Moment, liebestoll, beschwipst und müde von den vielen Orgasmen, bin ich einfach nur hingerissen von diesem besonderen Geschenk.

Wir nehmen eine Dusche und beglücken uns mit der Duschbrause. Todmüde lassen wir uns dann endgültig zum Schlafen ins Bett fallen.

Der nächste Morgen verläuft ohne sexuelle Zwischenfälle. Mit dem Sitzen am zweiten Workshoptag haben wir allerdings beide so unsere Probleme. Zum Abschied verrät mir Nadia, dass sie mein Audit abgegeben hat. Schade, aber nachvollziehbar.

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Pia und Hanifa

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© by caliban66

“Do you speak English?”

Pia musterte die Frau, die ihr gegenüber saß sehr genau. Sie war einen Kopf kleiner als sie selber, machte aber einen selbstbewussten Eindruck, obwohl sie in einer ziemlich prekären Lage sein musste. Als Flüchtling in einem fremden Land, sicherlich bereits jenseits der Fünfzig, dunkelhäutig und für die deutschen Außentemperaturen im Februar unzureichend bekleidet.

“Sie können Deutsch mit mir reden”, antwortete die dunkelhäutige Frau mit einer samtenen, tiefen Stimme, die gar nicht zu ihrer Körpergröße zu passen schien. “Oder ist Ihnen Suaheli lieber?”

“Wieso sprechen Sie so gut Deutsch, ich höre kaum einen Akzent?” Pia war extrem überrascht. Sie hatte mit enormen Sprachbarrieren gerechnet, als Carmen ihr diese ältere Frau ans Herz gelegt hatte. “Kümmere dich um sie, es wird eine Erweiterung deiner Weltsicht sein”, hatte Carmen sie zu diesem ersten Treffen animiert.

“Ich war Deutschlehrerin in der Oberstufe in Uganda. Zudem bin ich in Berlin aufgewachsen, meine Eltern waren Botschaftsangehörige der Ugandan Embassy. Wir haben damals in der Oranienstraße gewohnt, gar nicht weit von der Botschaft.”

“Prima, dann können wir uns weiter in Deutsch unterhalten. Suaheli ist nicht so meins. Carmen meinte, ich könnte dir weiterhelfen, aber ich weiß gar nicht, wie.”

“Also bist du die Frau, von der Carmen mir erzählt hat? Sie ist eine gute Freundin. Alle aus dem Asylkreis sind nett, aber Carmen ist mehr als das, ihr liegen wir alle wirklich am Herzen. Wir merken das.”

“Ich kenne Carmen auch noch nicht allzu lange, aber sie ist warmherzig, ohne Zweifel.”

Die beiden saßen sich in einem Konferenzzimmer des Asylbewerberheims der Stadt gegenüber. Es war klein und spärlich möbliert. Doch darauf kam es nicht an, die beiden verstanden sich auf Anhieb, und das war von Bedeutung.

“Ich möchte dir helfen”, bot Pia an, “doch dazu müsste ich wissen, was du am dringendsten brauchst.”

“Ich brauche Liebe und Anerkennung, wie alle Menschen, aber das kann man nicht verlangen, das muss man sich verdienen. Was mir im Moment aber am meisten fehlt, ist eine Unterkunft. Hier im Heim habe ich ein Zimmer mit zwei anderen Frauen, auf gerade mal 18 Quadratmetern. In Uganda hatte ich eine eigene Wohnung, mit drei Zimmern für mich alleine. Ich weiß, dass das ein Luxus war, aber man gewöhnt sich an nichts schneller als an Luxus.”

“Du kannst vielleicht bei uns wohnen, ich muss das nur mit meinem Mann abklären.”

Kaum hatte Pia diesen Satz von sich gegeben, erschrak sie bis ins Mark. Wie kam sie dazu, solch eine Versprechung zu machen. Ihr Mann gehörte nicht zu den Altruisten. Er war egoistisch und kein Freund von fremdländischen Menschen, politisch mehr rechts als links zu verorten, und eine Schwarze in ihren Räumen würde er nur zähneknirschend akzeptieren, wenn überhaupt.

“Meinst du das ernst? Carmen hat dich in den höchsten Tönen gelobt, aber das habe ich trotzdem nicht erwartet.” Stirnrunzeln verdeutlichte, was die Fremde meinte.

“Carmen scheint mich besser zu kennen, als ich mich selber”, versuchte Pia ihre Reaktion zu relativieren, doch im selben Augenblick wurde sie sich klar darüber, dass das Angebot aus ihrer Sicht genau so gemeint war. Was auch immer ihr Mann darüber denken würde, das Haus gehörte ihr, geerbt von ihren erst jüngst verstorbenen Eltern, sie konnte bestimmen, wer dort wohnte.

“Wie heißt du eigentlich?”, fragte Pia und ging damit unmerklich zum Du über.

“Ich heiße Hanifa, und du?”

“Ich bin Pia, und morgen werde ich wiederkommen. Dann nehme ich dich mit. Zu mir nach Hause. Das Bürokratische klären wir dann später. Ich freue mich auf dich. Wie alt bist du eigentlich?”

“Ich bin 53 Jahre alt, und damit garantiert mehr als doppelt so alt wie du.”

“Volltreffer”, bestätigte Pia und reichte Hanifa die Hand zum vorläufigen Abschied.

Es dauerte dann doch noch drei Tage, bis Pia ihren Mann Micki so weit hatte, dass Hanifa in das freie Zimmer einziehen durfte. All seine Argumente waren fadenscheinig und liefen darauf hinaus, dass er keine Dunkelhäutige im Haus haben wollte. Doch das ließ Pia ihm nicht durchgehen. Das ohnehin bereits schwierige Verhältnis zwischen beiden wurde dadurch weiter getrübt.

“Du bist wahrhaftig ein Rassist! Ich wollte es nicht wahrhaben, aber jetzt bleibt mir fast nichts anderes übrig, als genau das zu glauben. Morgen wird Hanifa hier einziehen, entweder du arrangierst dich damit, oder wir sind geschiedene Leute!”

Erst nach dieser heftigen Ansage gab Micki zähneknirschend nach.

“Und du benimmst dich ihr gegenüber wie ein gesitteter Mitteleuropäer bei einer schönen Prinzessin”, verlangte Pia darüberhinaus. Es war das erste Mal, dass sie ihrem Mann derart bestimmend entgegentrat. Und sie fühlte sich eindeutig gut nach dieser Auseinandersetzung.

Dann war es so weit. Pia holte Hanifa mit ihrem kleinen roten Corsa im Asylbewerberheim ab und brachte sie in dem zweiten, noch nicht benötigten Kinderzimmer unter, das direkt neben dem ihrer kleinen Simone lag.

Micki hatte bayburt escort Nachtschicht und ging gerade aus dem Haus, als die neue Mitbewohnerin ankam.

Simone war noch nicht im Bett, ihr Papa drückte sie der Mama gewissermaßen in die Hand und danach verschwand er, ohne Hanifa zu begrüßen.

“Entschuldige”, versuchte Pia das unhöfliche Verhalten ihres Mannes zu kaschieren, doch Hanifa winkte ab.

“Nichts Besonderes, ich bin derartige Reaktionen seit meiner Kindheit in Deutschland gewöhnt. Aber ich halte mich lieber an die anderen. Die mich so akzeptieren, wie ich bin. Du zum Beispiel. Und ihr seid schon immer absolut in der Überzahl, nur sind die anderen lauter.”

“Komm, lass uns Simone zu Bett bringen. Sie muss sich auch erst an eine dritte Person gewöhnen.” Und das war gar nicht so einfach. Als die Kleine Hanifa das erste Mal sah, reagierte sie mit lautem Weinen, sie flüchtete sich in Pias Armbeuge und lugte nur äußerst zaghaft nach dieser fremden Person, die ihr Furcht einflößte.

Doch es dauerte nur wenige Minuten, bis es Hanifa gelang, sich in das Herz des Kindes einzuschleichen. Sie sang ein Kinderlied aus ihrer Heimat, das mit ‘Si ma ma kaa’ begann. Hanifas sonore Stimme und die lebendige Melodie wirkten auf Simones Aufmerksamkeit wie ein Magnet.

“Ein Schlaflied wäre vielleicht geeigneter”, lachte Pia und löste damit auch bei ihrer Tochter ein Lachen aus.

“Schlaf, Kindchen, schlaf”, intonierte Hanifa sofort und gewann mit diesem bekannten und virtuos vorgetragenen Lied endgültig das Herz des kleinen Mädchens.

“Ich bringe sie jetzt ins Bett”, verkündete Pia, “danach komme ich zu dir auf dein Zimmer und wir können uns unterhalten. Dauert nicht mehr als eine halbe Stunde. Ich stille sie ein kleines Bisschen, dann geht es schnell. Schau dich schon mal in deinem neuen Zimmer um. Es ist nicht besonders groß, aber du kannst dort alleine wohnen, ohne gestört zu werden.”

Nach nicht einmal der Hälfte der avvisierten Zeit betrat Pia das Zimmer der neuen Mitbewohnerin.

“Sie ist sehr schnell eingeschlafen. Du hast eine einschläfernde Wirkung auf sie.”

“Ist das ein Kompliment?”, lachte Hanifa.

“War nur ein Scherz, aber sie mag dich, wirst du sehen.”

“Ich freu mich drauf!”

“Weißt du, Simone trinkt nicht mehr so gut, sie ist schon fast entwöhnt, trotzdem schläft sie danach besser ein.”

“Das hat Carmen auch erwähnt. Ich habe sie gestern wieder getroffen, und sie hat mir einiges über dich berichtet, nachdem sie erfahren hat, dass ich jetzt bei dir einziehe. Ich hätte das nicht zur Sprache gebracht, wenn du nicht selbst damit angefangen hättest. Geht mich ja eigentlich auch nichts an.”

“Aha, und was hat Carmen sonst noch so über mich von sich gegeben? (Hier verweise ich auf Teil 4 und 5 der Serie: Alter schützt vor Geilheit nicht)”

“Unter anderem halt, dass du stillst, wenn auch nur noch wenig.”

“Was? Das war ihr wichtig genug? Meine milchgefüllten Brüste sind doch nicht das Wichtigste, was es über mich zu erzählen gibt.”

“Kann ich nicht sagen, aber sie meinte jedenfalls, deine Milch schmeckt klasse. Ich solle unbedingt mal probieren.”

“Hä? Bei mir probieren? Meine Milch?” Pias Gesichtsausdruck zeigte deutlich ihr grenzenloses Erstaunen.

“Ich wollte es gestern auch nicht so recht glauben, aber deine beiden Titten strotzen ja nur so vor Milch, obwohl du gerade gestillt hast. Und seit wir von diesem Thema reden, wird deine Bluse immer nässer. Schau nur, da sind bereits große Flecken.”

So peinlich es Pia auch war, die Tatsache war nicht zu leugnen. Seitdem Pia wusste, dass Carmen ihren Fetisch weitergetragen hatte, lief die Milch unaufhaltsam aus ihr heraus.

“Wenn du willst, kann ich dich erleichtern”, bot sich Hanifa mit sanfter Stimme an. Pia musste sich zusammennehmen, um sich nicht gleich die Bluse vom Oberkörper zu reißen.

“Die Milch ist für mein Baby!”, verkündigte sie mit übertriebener Lautstärke, die sie gleich einer Lüge überführte. Wer so lautstark argumentierte, war fast immer im Unrecht.

“Klar! Simone ist die erste Wahl. Aber sie wird diese Mengen nicht mehr wegschaffen können, du brauchst Hilfe.”

“Ich werde abstillen, wie alle anderen Mütter, was sonst?”

“Aber es fragt sich, ob du das wirklich willst. So, wie ich das sehe, ist dein Körper und sind deine Euter anderer Meinung. Nach meiner Rückkehr nach Afrika, da war ich neun Jahre alt, habe ich einige Zeit als Hüterin der Ziegen meines Babu gearbeitet. Seitdem bin ich eine vorzügliche Melkerin. Du kannst die Milch ja einfrieren für dein Baby.”

“Du redest Quatsch, wozu einfrieren, wenn sie sowieso kaum noch Milch trinkt?”

“Okay, dann für andere Zwecke. Ich würde deine Milch allzu gerne mal probieren, nachdem Carmen so davon geschwärmt hat. Ich melke und du spritzt in einen Becher. Ich kann gut zielen und werde es anschließend austrinken. Ist doch allemal besser, als wenn du es in die Bluse einsickern lässt.”

Pia war sprachlos. Mit dieser Wendung hatte sie nicht im Entferntesten gerechnet. Doch Carmens Einfluss war deutlich bilecik escort zu spüren und ihm konnte sich Pia nicht entziehen. Zumal Hanifa ihr außerordentlich sympathisch war und trotz ihres Alters, oder vielleicht sogar wegen ihres Alters, sehr anziehend auf sie wirkte.

“Du willst das wirklich tun?!”

“Nur, wenn du selbst es auch willst. Ich bin die Letzte, die jemanden zu irgendwas zwingt.”

“Und du bist tatsächlich eine Ziegenmelkerin?”

“Gewesen, meine Liebe, gewesen. Aber das verlernt man nicht.”

“Und du meinst, meine Brust …?”

“Keine Sorge, die Milch wird nur so sprudeln. Ich habe in Afrika schon öfters nachgeholfen. Es schmerzt zu Beginn ein wenig, bewirkt dann aber Wunder. Bist du bereit?”

“Hier ist ein Glas”, war Pias Antwort, und sie schob Mickis Weinglas direkt vor ihren Oberkörper.

“Dann mach dich frei”, forderte Hanifa sie auf und schaute begeistert zu, wie Pia ihre tropfenden Euter aus der nassen Bluse schälte. Solch geile Titten hatte sie seit Ewigkeiten nicht mehr bearbeitet.

“Oh ja, Carmen hatte recht mit den großen, vollen Milcheutern. Die brauchen wirklich eine adäquate Behandlung. Du hast doch nichts dagegen?!”

Hanifas düsterer Blick und ihr Stirnrunzeln ließen keine Widerrede zu.

“Ich muss mir einen ersten Eindruck verschaffen”, kommentierte Hanifa ihr beherztes Zugreifen. Mit festem Griff prüfte sie Pias Milchlieferanten, drückte und presste sie zusammen, dass Pia ganz anders wurde. Als sie dann noch begann, ihre Zitzen lang zu ziehen, um sie möglichst steif zu machen, stöhnte Pia in einem fort.

“Du tust mir weh”, ächzte sie.

“Ruhig … Halt still, weiße Milchziege!” Hanifas Stimme war derart dominant, dass Pia sofort ihre Klage unterbrach und sich bemühte, den Anweisungen ohne Widerrede Folge zu leisten.

Hanifa unterbrach ihre etwas rüde Behandlung der Milchbrüste und begann, die empfindlichen Brustwarzen mit der Zunge zu kitzeln, sie zupfte und drückte daran.

“Sei zärtlich, bitte”, bat Pia trotz der mittlerweile sanfteren Behandlung und versuchte, Hanifas Augen zu fixieren.

“Ziegen erwarten keine Spezialbehandlung. Ich melke sie, wie es mir passt”, entgegnete die Dunkelhäutige und griff erneut beherzt zu. Mit festen und walkenden Bewegungen bearbeitete sie die allzu bereiten Schläuche mit ihren Händen, presste sie und förderte jede Menge Milch zutage. Sanft waren ihre zupackenden Griffe keineswegs. Vor allem, wenn ihre Hände bei den Zitzen ankamen und diese langzogen, traten Mia die Tränen in die Augen. Und dennoch zuckte sie nicht zurück, zu sehr erregte sie dieses Abmelken wie bei einer Ziege. Schon nach einigen Augenblicken drohte das Gefäß überzulaufen.

“Jesus Maria, das gleicht ja einer Sintflut. Da muss ich kurz abtrinken.” Während einer Unterbrechung der rüden Behandlung von Pias Brust führte Hanifa das Glas zu ihrem Mund, und als sie absetzte, war das Glas halb leer.

“Carmen hat recht, du schmeckst genial.”

Wieder griff sie mit beherzter Hand zu und weiter ging die süße Tortur. Als das Glas wieder voll war, unterbrach Hanifa ihre Behandlung nicht, sondern schob ihren Mund vor die spritzende Zitze. Jedesmal, wenn sie schluckte, quoll ein wenig aus ihrem Mundwinkel und lief ihr in den Ausschnitt, dennoch gelang es ihr, das meiste herunterzuschlucken.

“Das haben wir damals bei den Ziegen genauso gemacht. Die Milch direkt in den Mund gespritzt. Das schmeckt einfach am Besten!” Hanifa strahlte Pia so freundlich lächelnd an, als sie deren Brüste endlich in Ruhe ließ, dass diese ihr nicht im Geringsten böse sein konnte. Im Gegenteil!

Trotzdem trat eine kurze peinliche Stille ein, und Pia wollte diese nutzen, um ihren Busen wieder zu bedecken.

“Lass das!”, forderte Hanifa. “Deine Bluse ist sowieso nass, und ich unterhalte mich noch lieber mit dir, wenn du deine Milchtüten nicht versteckst. Carmen meinte, du wärst das gewöhnt und stehst darauf.”

“Wenn Carmen das so sagt …”, antwortete Pia und entledigte sich jetzt der bereits halb angezogenen, nassklammen Bluse komplett.

“Du bist eine Milchgöttin und brauchst deine beiden Attribute wirklich nicht zu verstecken. Komm, lass uns anstoßen.”

Sie goß Wein aus der auf dem Tisch stehenden Flasche in Pias Glas und hob ihr das eigene mit Muttermilch gefüllte Glas entgegen.

“Prost”, lachte sie und als die Gläser zusammenstießen, gab es einen dumpfen Klang.

Beide tranken und schauten sich dabei in die Augen. Und in stiller Übereinkunft setzten sie erst ab, als beide Gläser leer waren.

“Das schmeckt wirklich fantastisch”, äußerte sich Hanifa, “da bekomme ich Lust, noch einmal direkt von der Quelle zu trinken. Was denkst du?”

Doch Pia gab keine Antwort. Mit beiden Händen umfasste sie Hanifas Kopf und drückte ihn ins Tal zwischen ihren Zwillingen. So konnte die neugewonnene Freundin die Vorfreude genießen und sich aussuchen, welchen der Wonnehügel sie zuerst besuchen wollte.

In den nächsten Minuten hörte man nichts anderes als lautes Schmatzen und brünstiges Stöhnen, während die Milch reichlich floss.

Hanifa bingöl escort kniete bei dieser lustvollen Betätigung vor Pia auf dem Boden, aber diese dirigierte sie schließlich zu dem schmalen Bett im Zimmer.

“Wow, du hast mich echt geschafft!”, bekannte Pia, als beide sich endlich dicht an dicht auf dem Bett kuschelten. “Woher wusstest du …? Ach ja, Carmen”, fiel ihr ein.

“Nicht nur”, bekannte Hanifa. “Deine Brüste haben mich schon angemacht, als ich dich zum ersten Mal gesehen habe. Ich hoffe, ich habe dich eben nicht überfordert durch meine Gier.”

“Nein, es war der Wahnsinn! Es ist toll, dass du jetzt hier wohnst.” Pia küsste Hanifa mehrfach fest auf den Hals. Doch das genügte ihr nicht, und sie bemühte sich, Hanifas enggeschlossene Bluse nach unten zu streifen.

“Moment, das haben wir gleich”, kam die Dunkelhäutige Pias Bemühungen entgegen und schon bald saßen beide mit blankem Oberkörper da. Doch nicht nur der Farbunterschied fiel ins Auge. Hanifas Busen war eher klein, die Hügel ragten nicht weit empor. Ihre Nippel dagegen standen wie Riesenstachel in den Raum. Noch nie hatte Pia solche Brustwarzen gesehen. Sie nur zu sehen reichte schon aus, ihre Möse im Saft schwimmen zu lassen. Der Warzenvorhof war riesig. Und dennoch versuchte sie sich zu beherrschen und nicht gleich über diese Wahnsinnsnippel herzufallen.

“Wieso bist du eigentlich wieder hier in Deutschland?”, fragte sie schließlich und versuchte, sich auf die Antwort zu konzentrieren, obwohl sie die geilen Dinger nicht aus den Augen ließ.

“Wie du sicher schon geahnt hast, bin ich Lesbierin. Seit ich denken kann, war das nicht anders. Nur ist das in Uganda eine Straftat, für Männer schon viel länger, aber für Frauen seit dem Jahre 2000 auch. So musste ich das verheimlichen und traf meine Freundin Abothi nur unter Beachtung strenger Sicherheitsvorkehrungen. Selbst Mafiaangehörige in Italien müssen nicht vorsichtiger sein als homosexuelle Menschen in Uganda.”

“Das ist ja schrecklich.” Pia schüttelte sich.

“Noch schlimmer ist es allerdings dann im März diesen Jahres geworden. Jetzt droht sogar die Todesstrafe, wenn man eindeutig homosexueller Handlungen überführt wird.”

“Nein, das darf nicht wahr sein!”

“Doch, ist es! Und wir, Abothi und ich, wurden letzten Dezember denunziert. Einer meiner Schüler hatte wohl Verdacht geschöpft und uns angezeigt. Noch bevor die Polizei uns verhaften konnte, war die Information wie allzuoft zu selbsternannten Sittenwächtern durchgesickert, und sie stürmten Abothis Wohnung. Sie haben sie grausam massakriert! Meine Geliebte hatte keine Chance.”

Hanifa konnte nicht weiterreden. Tränen rannen über ihr Angesicht und ihr Schluchzen war herzzerreissend.

“Komm, ich halte dich!”, versuchte Pia die Weinende zu trösten und drückte sie fest an sich. Alle sexuellen Hintergedanken waren weit in den Hintergrund getreten. Hier ging es um ein schreckliches menschliches Schicksal.

“Und du, was ist mit dir passiert?”

“Durch einen glücklichen Zufall erfuhr ich rechtzeitig von der Anzeige. Eine Schülerin, die ich bis dahin eher für überheblich und regimetreu eingeschätzt hatte, erfuhr über den senationslüsternen Verräter von der bevorstehenden Razzia und eilte sofort zu meiner Wohnung. Ihrem unmissverständlichen Drängen gab ich nach und suchte sofort das Weite. So entkam ich sowohl der Polizei als auch den noch schlimmeren Sittenwächtern. Sie hätten mir ebenfalls die Eingeweide herausgerissen, wenn sie mich erwischt hätten.”

“Und, wie bist du dann nach Deutschland gekommen?” Pia war mehr und mehr gefangen von der spannenden Erzählung Hanifas.

“Meine Eltern haben mich über dunkle Kanäle ausreisen lassen. So sehr auch sie meine sexuelle Orientierung verdammten, so war ich dennoch ihre Tochter. Sie haben ihren Schock überwunden und mir die illegale Ausreise finanziert. Ich werde ihnen ewig dankbar sein, obwohl sie jetzt jeden Kontakt mit mir meiden. Sie haben ihre Schuldigkeit getan, sind mit ihrem Gewissen im Reinen. Das ist mehr, als die meisten Ugander für ihre ‘entarteten’ Kinder tun.”

“Und wie ist die Aussicht hier bei uns in Deutschland. Wirst du als Flüchtling anerkannt werden?”

“Ich gehe davon aus. Ich habe mich schon im Vorfeld intensiv mit der Rechtslage in Deutschland beschäftigt. Im November 2013 hat sich der Gerichtshof der Europäischen Union, der EuGH, mit der Frage beschäftigt, ob Homosexualität als Asylgrund vorgebracht werden kann. Er hat dabei entschieden, dass Homosexuelle eine bestimmte soziale Gruppe im Sinne der Genfer Flüchtlingskonvention bilden können, und ihnen unter Umständen der Antrag auf Anerkennung der Flüchtlingseigenschaft zusteht.”

“Klasse, das gibt ja Anlass zur Hoffnung für dich.”

“Ja. Die Zugehörigkeit zu einer bestimmten sozialen Gruppe muss als Asylgrund gegeben sein. Und dazu müssen laut EU-Richtlinie zwei Voraussetzungen erfüllt sein: Zum einen braucht die soziale Gruppe gemeinsame Merkmale, die nicht verändert werden können; zum anderen eine deutlich abgegrenzte Identität, da sie vom Rest der Bevölkerung als andersartig angesehen wird. Beides hat der Europäische Gerichtshof im Fall von Homosexuellen bestätigt gesehen. Ich weiß das alles seit Jahren, doch bis zu Abothis Tod hatte ich keine Intention, von diesem Wissen Gebrauch zu machen.”

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Babes

Guardian Angel

soppingwetpanties

Thank you migbird, who may understand Max better than me, for his thoughtful comments.

This is a work of fiction. Names, characters, businesses, places, merchandise, companies, events and incidents are either the products of the author’s imagination or used in a fictitious manner. Any resemblance to actual persons, living or dead, or actual events is purely coincidental. All characters in sexual situations are 18 years or older.

I was born and raised in the West End of Cincinnati, the proverbial “wrong side” of the tracks. But that’s me, always struggling to avoid the short end of the stick, whether it’s tangling with my superiors in the Cincinnati police department or wrestling with the bad guys I’m trying to put in jail.

I’m Maxine “Max” Pemberton, a detective in the Vice Squad. The West End has always been my stomping grounds, beginning as a small child and continuing all the way through high school. For most of my career with the police I’ve lived in the Royal Palms, a fleabag motel located in the heart of the West End. My guess is that I’ll finish my career on this beat, that is if I live long enough to see my retirement.

The thought of dying on the job is no idle exercise. In my line of work you need to be on your toes every second. During my tenure I’ve been beaten up, stabbed and shot, all the while downing two pints of vodka every night to ease the pain of my wretched existence. There wasn’t much in my lifestyle to contribute to a long lifespan. But being a cop, a long life wasn’t high on my list of priorities.

Just think of me as a thrill seeker. No different than a free climber or a test pilot. Thrill seekers don’t place a high value on a comfortable retirement. They want to live life running at full throttle, twenty-four seven. I got my thrills bagging bad guys. And in my spare time it was chasing pussy, and occasionally taking in a Reds game.

I’d describe my appearance as handsome, with a hard body and big breasts, but I don’t have movie star good looks like my work partner, Lesley. She’s got them, and a wife who’s drop dead gorgeous as well. I claimed credit for the two of them being together. I met Alessandra a while back working a case and introduced her to Lesley. I knew it would work and it has. I wish I could have said the same thing about me, but my life has been an endless series of one-night stands and quickly crumbling relationships.

It’s not to say my sex life wasn’t good. On the contrary, it was fantastic. Right after I broke it off with Sky, I fell, or perhaps threw, myself into the arms of Angela, a bartender at the Landing Point, my station’s main hangout. She was my kind of woman, wanting dirty, nasty sex without the expectation of a commitment. We both had the same goal in mind. And that was a quality fuck. Don’t put down drinking and fucking if you haven’t tried it. And Angela being a bartender at the Landing Point, she had access to good quality booze at wholesale prices.

That cut out my twice weekly trips to my local liquor store. I gladly traded my playful banter with Nigel, the clerk at the liquor store, who I hooked on Cincinnati Reds baseball, for better booze. Now the poor sucker had no one to commiserate with about the abysmal state of our team. Angela brought the good stuff to our fuck sessions, so I was downing Wild Turkey and Maker’s Mark instead of rotgut vodka.

So my story took place about three days after I’d broken up with Sky. Sky was a junior detective in Homicide who transferred to Internal Affairs, working for Constance Munger, my nemesis in the department. Constance always had a hard-on for me, and now with a disgruntled Skylar Hobson at her side, my life was about to get even more difficult. IA was my kryptonite.

It was in the wee hours of the morning and I’d just had a marathon fuck session with Angela. I was going through my usual routine of a cigarette on the second-floor balcony outside my room at the Royal Palms. The Royal Palms was the quintessential seedy motel. Built in the 60’s as a cross-country trip stopover, it was bypassed by a new interstate and devolved into a flophouse populated by the West End’s pimps, prostitutes and druggies. Everyone who hung out there knew who I was and what I did so you might think it ironic that I turned a blind eye to what went on there. I didn’t care about the small fish. It was the big ones I wanted. The small fish were struggling to make a living. The big fish were cashing in on the misery of the West End’s inhabitants.

The small fish made up my informal network of informants. I protected them and in exchange they gave me information. In my business information was the coin of the realm. I was planning on hitting up Eddie, a wise ass pimp who plied his trade in the parking lot of the liquor store I frequented. He was plugged in to what was going on and was one of my best sources. My other reliable source was Bear, a man mountain of a guy who I rescued afyon escort from a long prison sentence by backing up his claim of self-defense after he’d beaten one of his motorcycle club members to a bloody pulp. He served minimal time and gave me full credit for saving his sorry ass.

While I was standing on the walkway enjoying my post-coital cigarette I was nabbed by two of Jumbo William’s thugs. Jumbo was just out of jail and was the heir apparent to the West End’s drug throne after its former queen, Lily Chao, was executed gangland style. It was widely assumed by folks in my department that Jumbo had colluded with the Russians to take Lily out. I had no idea why Jumbo wanted to see me at that hour.

I was dressed in a bathrobe and nothing else when I was snatched. It was 2 a.m., and instead of being in a warm bed with a naked and horny Angela I was sitting in the back seat of a hulking black Escalade. It still had the new car smell, though it was masked by the stench of the awful aftershave the goons flanking me were wearing.

Jumbo Williams. Former All-State tackle in high school followed by a promising collegiate career cut short by an ugly knee injury. He was a big dude and bad to the bone. He ran the drug trade in the West End with an iron fist before I busted him and while he was in the can Lily Chao took over. I had a romantic interlude (or two) with Lily before she was offed by the Russians. It was only a matter of time for Jumbo’s crew to seep into the voids left by Lily’s death.

Jumbo lived in the West End. I knew where and assumed that’s where the car was headed. Jumbo owned the entire block surrounding his childhood home where his widowed mother still lived. Mrs. Williams didn’t take shit from anyone, including Jumbo, so everybody had to be on their best behavior when they were around her. Other than his mother and his younger sister, Jumbo didn’t give a shit about anyone else, especially me who sent him up the river. There was a small chance that I was going to die, but I figured it was small because my abduction was witnessed by the night owls at the Royal Palms.

And there were night owls aplenty at the Royal Palms. There was so much criminal activity there that someone was always on the lookout. I figured I’d get returned to the Royal Palms with the same fanfare as my very public abduction. If Jumbo wanted me dead, there were many more elegant ways to accomplish the task then using his body men, who were non-thinking muscle. I sat back and enjoyed the rest of the ride in a very nice leather seat. I had nowhere else to go being dressed in only a bathrobe.

I pulled my robe tight together as the driver had the a/c on full blast. Both guys in the backseat were leering at my tits. I’m relatively well endowed, and a cheap cotton robe did almost nothing to hide what I had underneath. I knew they wouldn’t do anything to me. Jumbo would cut their nuts off if they did. It was just creepy knowing that two gangbangers could have their way with me, but for Jumbo. No different than two chained Dobermans.

“What do you want from me?” I asked the driver as the Escalade pulled out of the Royal Palms parking lot.

“Shut the fuck up,” the driver snapped back. The two men in the back chuckled. The man on my left had a gold front tooth, and it flashed when he opened his mouth. Apparently they all thought it was funny having a police officer in their car, practically naked.

“Fuck you asshole,” I said in a defiant voice. “Do you know what the penalty is for kidnapping a police officer?”

“What part of ‘shut the fuck up’ do you not understand?” Mr. Gold Tooth said to me, forgetting the manners his momma taught him.

He was nice enough to back up his taunt by cuffing me on the left cheek with the back of his bony paw. The smack turned my head and the gaudy diamond studded ring he was wearing cut my lip. I tasted my own blood and decided to anoint the floor of Jumbo’s ride with a spit wad of blood mixed with saliva.

“What the fuck did you do that for?” I shouted.

I think Mr. Gold Tooth instantly regretted hitting me. I imagine he realized Jumbo would notice the damage.

“Sorry boss,” he said quickly, offering a tissue to me. “It’s a reflex to mouthy motherfuckers like you.”

I was a mouthy motherfucker and maybe for all the shit I gave Jumbo and his crew over the years I deserved it. But I would get my recompense for that slap somewhere somehow.

“Stupid cunt,” the driver muttered, though loud enough for me to hear. Those were usually fighting words, but I decided to keep my mouth shut for the rest of the trip. Dental work was expensive.

After winding our way through the West End we finally hit Jumbo’s street. It was lined with a neat row of well-kept houses with armed guards posted at each end of the street. There were three shiny new black Escalades parked in front of the house, with one blocking the driveway. Two men, clearly packing, were standing guard at the top of the aydın escort stairs of the covered front porch.

The Escalade blocking the driveway pulled backwards, allowing our car to drive up the driveway and into a garage in the back yard. Mr. Gold Tooth opened the door and pulled me out by the collar of my robe.

“Let’s go,” he said. His buddy, who sported a gaudy tattoo on his neck, came out his side of the car and took one of my arms.

They dragged me to the front of the house and up the stairs to the porch.

“What’s up Stick?” one of the guards asked Mr. Gold Tooth. The guards, like Stick, were wearing identical black leather jackets. The guard had a jagged scar on his left cheek and looked at me like I was his next meal. He recognized me, but couldn’t place me.

“Meetin’ with the man,” Stick said casually, though there was nothing casual about hauling in a cop in a bathrobe in the middle of the night.

Then it dawned on the guard where he’d seen me.

“Isn’t she a cop?” he asked. “Like in Vice?”

Stick rolled his eyeballs. “Just doing what the boss told me to do.”

“Fine, fine,” the guard said. “It’s your funeral if you wake up Mrs. Williams.”

“Just let me the fuck in,” Stick said impatiently.

Stick gripped the collar of my robe and manhandled me as I stumbled through the front door. He pulled too hard and the robe’s belt untied. My robe fell open and everyone could see my tits and pussy in all their glory. Stick’s eyes were glued to my flopping tits. I was flush with embarrassment.

I was trying to pull the flaps of my robe shut when a grinning Jumbo Williams appeared. He was a big fucking dude and looked to be in good enough shape to play in a game. His smile quickly morphed into anger when he saw me and my fat, bloody lip and open robe and Stick standing next to me still holding my collar.

“What the fuck is going on here?” he snarled. He glared at Stick as the likely offender. Stick looked like he was going to shit in his pants.

“S… s… sorry boss,” Stick stuttered. He knew he was in some big fucking trouble.

“I told you to get her, not molest her,” he barked. “Can’t you fucking do anything right?”

It was widely known that Jumbo’s bite was worse than his bark, which meant Stick’s nuts were about to be put in a vise.

“I… I… told her I’m sorry,” Stick protested.

“How come you didn’t let her get dressed?”

“You told me you wanted to see her right away…” Stick started to say. Jumbo interrupted him when he focused on the drop of blood running down my chin.

“So why’s she bleeding?”

Stick’s eyes got big as saucers. He knew something bad was going to happen if he answered that question truthfully.

“I bumped my head against the door frame getting into the car,” I blurted out. I don’t know what possessed me to save Stick’s sorry ass.

Jumbo whirled around to glare at his henchman. “Is that right?”

“J… J… just like the lady said,” Stick stammered, greatly relieved. His eyes said “thank you” when he glanced at me.

“All right,” Jumbo said. “But I’m not done with you. Now get the fuck out of my sight.”

He politely ushered me into the house, letting me regain at least a shred of my dignity. I’m sure the word was going to get around that they’d seen Max Pemberton naked. I wasn’t as pissed as you might think. I’d been living at the Royal Palms for four years. I think a lot of their regular residents had seen me in an undressed or semi-undressed state at one time or another. You could practically see through the cheapo curtains. I think Jumbo saw me flash him before I could get my robe pulled together.

Jumbo tried to turn on the charm. His face looked serious and concerned.

“Max, I asked them to bring you here for a meeting. I’m sorry about what happened. I think my sister has a warm-up suit that’ll fit you.”

“Jumbo, why am I here?” I asked, enunciating each word carefully. I had a mean look on my face because he had no right to roust me out of my room when I was enjoying the finest of lesbian sex. Besides, I still harbored thoughts that he was somehow involved in Sky’s ambush in the car warehouse and Lily’s death. I think Jumbo could read my face.

“Look Max, I didn’t sanction that hit on your partner. What’s her name?”

“Her name is Skylar,” I said. “So you know about it?”

Jumbo broke out into a smile. “Of course I know about it. Everybody’s knows about it. You don’t take out cops. That motherfucker was crazy.”

He was talking about Konstantin Kreshnevsky, the Russian hitman who almost killed Sky. But now he was denying it. I decided to hit the issue head on. There was no reason to play around with him when I was freezing my ass off in a flimsy robe.

“Why else would he do it if it wasn’t for you?” I asked.

“Max, you got to believe me. I didn’t know anything about it. I’m a local businessman and my family lives here. We may have our differences but there is no way I would ağrı escort sanction something like that. You know that.”

I did know that. I followed Jumbo’s career, starting in high school. His family was too involved in the community to be killing police. That would be bad for business. I was starting to believe him. It meant I needed to cast my net wider for who was behind Kreshnevsky. Maybe it wasn’t Jumbo. Maybe the Russians were planning on taking Jumbo out and taking over retail distribution. Jumbo was right when he said he didn’t need the Cincinnati police, and me, crawling up his ass.

“So why did you need to see me now, in the middle of the night?” I asked.

“Max. I’ve got my sources in the department. They know you’re making progress in finding out who was behind the shooter. I know I’m a prime suspect and that you’re going to shake me down.”

“So this is on your terms, with me wearing my robe in the middle of the night,” I said indignantly. His methods were crude, and he knew it.

“Max, it didn’t come out like I planned but I couldn’t have anyone see us meeting together. This way I knew word wouldn’t leak out.”

“So you didn’t trust me, so you had to kidnap me.”

“No… no… I’m giving you useful information. You shouldn’t be wasting time on me.”

It was true. I was tending to believe his story and we’d save a ton of man hours by not investigating Jumbo. Maybe there was something in it for both of us. I decided to lay my cards on the table.

“You think the Russians put a target on your back. Isn’t that it?” I asked. I could see from his fidgeting body language that I was right.

“Suppose it is,” he said, confirming my suspicion.

“Then our interests are aligned,” I said. “We both want to get rid of the Russians.”

“Seems that way,” he said. I bet he was angling for me to say that. He was going to ask for something from me, like protection. Being under the wing of the Cincinnati police would be of great comfort. Even with all of Jumbo’s firepower, he had to be out and about to run his business, and that presented many opportunities for a hit on him.

“How do I know I can trust you? After all, you are a drug dealer and after the Russians I’m coming after you.”

He surprised me by laughing.

“Max, you’re coming after me anyway. You’re not telling me anything I don’t know.”

It was a serious conversation and I’d forgotten I was wearing a bathrobe with nothing underneath. I caught those truthful eyes gazing inside my robe, which had started to fall open. I grasped the lapels of the robe to hold it shut.

“OK,” I said. “I think we have an understanding.”

He gave me a genuine smile. “See? Now we’re on the same page. You see maybe pulling you out of bed in the middle of the night was worth your while?”

“I’m not going to give you that, yet,” I told him.

Then he muttered something under his breath I couldn’t understand.

“What did you say?” I asked him.

Jumbo chuckled. “Self-defense huh? That’s the story you’re telling? That you killed Kreshnevsky in self-defense?”

So he wasn’t going to let that go. In truth I didn’t kill Kreshnevsky in self-defense. I killed him in cold blood. He was about to assassinate Sky so I winged him first and then made him pick up his gun before I blew his head off. Only Sky knew the truth and she wasn’t going to tell.

I looked him straight in the eye, even though I was a terrible liar. “That’s right Jumbo, just like you heard.”

“OK Max, I’ll give you a pass on that for now, but I know the truth.”

Jumbo let what he said sink in. How could he know the truth?

“Why should I believe you?” I asked, calling his bluff.

“Because I could have you put away anytime I want,” he boasted. He got my attention. “It’s my insurance policy to make sure our partnership is successful.”

“And how would you do that?”

He tapped on his phone and then turned it around so I could see the screen. It was security camera footage of Jim Landry’s car warehouse. I thought all the cameras were turned off, but apparently not. I had turned on the warehouse lights to blind Kreshnevsky, who was wearing night vision goggles, but it also provided the light needed for the cameras to record my misdeed. I could see a grainy image of me shooting the wounded man in the face. My knees felt weak.

“Bet you didn’t know about this, did you?” he said smugly.

“Who else has it?” I demanded.

“No one, just me.”

“Not even Landry?”

“He’s never seen it.”

“How’s that possible?”

“You ask too many questions. I’ve got the video and you’re fucked.”

“What do you want?” I asked him. He had me over a barrel.

“Nothin’ that wasn’t mine before.”

“You mean the West End.”

“See? You’re a smart girl. You figured it all out.”

“So you don’t want to share with the Russians?”

“Fuck those motherfuckers. Like I said, we don’t go after 5-0, so that incident in the warehouse was them divorcing me.”

“So you helped the Russians kill Lily and now you want to welch on your deal with them to divide the West End.”

“Like I said, they ended the deal. Now it’s every man for himself. You know it.”

“I guess I do. Someone has to control the West End drug trade. Why not you?”

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Meine Chefin und ich

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Seit ich schon ein junges Mädchen bin, wußte ich, daß Kerle nichts für mich sind. Ich stand schon immer auf schöne Frauen. Schöne Busen, ein ausgeprägter Hintern und zarte Hände bringen mich in Stimmung. Natürlich hielt ich mit meiner Neigung nicht hinter dem Berg und wurde nicht selten von meinen Freundinnen deswegen aufgezogen. Dennoch schien es meine Freundinnen zu reizen, mal was anderes auszuprobieren und sind des öfteren mit mir ins Bett gestiegen. Doch man bleibt nicht ewig in der schulischen Clique.

Nach der mittleren Reife bin ich ins Berufskolleg, Schwerpunkt Sekretärin, und hatte dann ein saumäßiges Glück in eine mittelgroße Firme zu kommen, wo ich gleich eine Festanstellung als Sekretärin bekam. Und was mir besonders gut gefiel war, daß mein Chef eine Chefin war. Sie legt großen Wert darauf, daß ihre weiblichen Angestellte gut gekleidet waren. So war ein Rock, Bluse und hochhackige Pumps obligatorisch. Allerdings gefielen ihr meine langen Haare nicht so. Sie waren für das Geschäft zu mädchenhaft. Da ich sie nicht abschneiden lassen wollte, steckte ich sie zu einem Knoten hoch. Da ich zudem eine Brillenträgerin bin, sah ich nun wirklich aus wie eine Sekretärin.

Meine Chefin gefiel mir vom ersten Augenblick an. Schnell begann ich von ihr zu träumen. Ich spürte ihre großen Brüste an den meinen. Ich pelzigen Schoß an meiner kahlrasierten Scham. Ihre zarten Finger brachten mich an meinen intimsten Stellen zum beben. Doch zunächst waren das nur Träume, denn ich fand schnell heraus, daß sie verheiratet war und eine kleine Tochter hatte. Kurz vor der großen Ferienzeit im letzten Jahr hatten wir eine Betriebsfeier. Sie fand in der Nähe des Flusses in einem kleinen Waldgebiet statt. Die Stimmung bursa escort war toll und ich war mir sicher, daß die eine oder andere am Abend in meinen Armen liegen würde. Schließlich bin ich nicht die einzige auf der Welt, die zärtliche Finger, weiche Lippen und große Brüste mochte.

Allerdings bemerkte ich, daß meine Chefin ziemlich mies drauf war. Nach einer Flasche Rotwein nahm sie mich auf die Seite und fragte mich, ob sie mir etwas anvertrauen dürfte. Natürlich durfte sie und so erklärte sie mir, daß alle Männer Schweine sind. Ihr Ehemann sei ein Langweiler im Bett und ihr Freund wäre faul und würde sie nur ausnutzen. Ich war zunächst ein wenig geschockt, da die Frau, die sonst so auf ehrbar und bürgerlich machte, einen Freund hatte und im Bett einige Anforderungen stellte. Ich hörte mir ihren Kummer eine Weile an. Doch dann mußte ich es einfach sagen: “Wie wäre es dann mit einer Frau?” Sie sah mich entgeistert an.

“Wie?” “Hey, ich kann alles was ein Mann kann. Fast alles. Und ich bin kein Langweiler und nutze dich nicht aus. Außerdem teilen wir eh schon die Geschäftsgeheimnisse. Warum also nicht auch ein geiles Verhältnis?” Sie starrte mich immer noch entgeistert an. Doch dann entspannten sich ihre Gesichtszüge. Der perfekte Zeitpunkt für mich. Ich nahm sie bei der Hand: “Komm mit.” Ich zog sie durch den Wald und suchte nach einem lauschigen Plätzchen. Ich fand es ganz dicht am Fluß, dort wo man vor neugierigen Blicken geschützt war. Es war eine ganz kleine Lichtung, in dessen Mitte ein Stein lag. Er war von der Mittagssonne noch ganz warm. Blitzschnell zog ich mich nackt aus und ging einige Meter ins Wasser. “Na los”, rief ich ihr zu. “Das Wasser ist toll.”

Es çanakkale escort dauerte einige Sekunden und viele scheue Blicke durch das Geäst, bis sie ebenfalls begann, sich auszuziehen. Sie hat einen phantastischen Körper. Und zu meiner Verwunderung hatte sie ebenfalls eine kahle Scham. Das schien wirklich eine Mode zu sein, zu der kaum einen Frau nein sagen konnte.”Das Wasser ist viel zu kalt”, erklärte sie, als sie sich endlich herein getraute. “Ach was”, bemerkte ich und ging auf sie zu. Ich stellte mich vor sie, legte behutsam eine Hand auf ihre Brust. “Dann mache ich dir heiße Gedanken. Vertrau mir einfach.” Und sie vertraute mir. Es war nicht nur die Kälte, die sie bald zittern ließ. Sie öffnete bereitwillig ihren Mund, als ich meine Lippen auf ihre legte und meine Zunge sanft darüber glitt. Bald waren wir gefangen in unserem zärtlichen Spiel. Sie wußte genau, wo ich am intensivsten reagierte.

Wir legten unsere Nippel aneinander und reizten uns, während unsere Finger verträumt über unsere Körper glitten. Nach einer Weile glitten meine Finger direkt in ihre Spalte. Ich fand ein Paradies vor, heiß und feucht. Sie stöhnte leise auf, als ich sie dort berührte. Ihr Schoß drängte sich mir entgegen. Es gab für sie nun kein zurück mehr. Wir stiegen aus dem Wasser und setzten uns auf den großen Stein.

Doch ich hielt es nicht sehr lange darauf aus. Ich mußte aktiver werden und glitt herunter. Wie von selbst öffnete sie ihre Beine und ließ mich von ihrem Nektar kosten. Sie schmeckte so gut, daß ich immer mehr wollte. Plötzlich erstarrte sie. Ihr innerstes bebte so stark, daß ich es deutlich spüren konnte. Sie fiel fast vom Stein. Doch sie kam bald wieder zu sich und sah mich çankırı escort mit ihren leuchtenden Augen an. Allein dieser Anblick war es schon wert gewesen.

Doch auch sie wollte etwas aktiver sein. “Dreh dich um, mein Herzblatt”, forderte sie und machte mir Platz auf dem Stein. “Ich möchte etwas tun, wovon ich schon lange geträumt hatte.” Ich legte mich mit dem Bauch über den Stein. Ich war sehr gespannt, was sie vorhatte. Um so überraschter war ich, als sie meine Beine weit öffnete und sie begann meinen Hintern mit breiter Zunge auszulecken. Damit brachte sie mich binnen Sekunden zur Glückseligkeit.

Meine Chefin ist eine tolle Liebhaberin. Zwei- bis dreimal die Woche trafen wir uns, meistens bei mir. Inzwischen haben wir auch Umschnalldildos für uns entdeckt. Auf etwas Hartes wollte sie dann doch nicht ganz verzichten und so nehme ich sie immer wieder wie ein richtiger Mann. Aber auch mich verwöhnt sie auf diese Weise, wobei ich es am liebsten habe, wenn sie damit meinen Hintern beglückt. Wir genießen dabei besonders, das wir das Spiel besonders langsam und intensiv ausdehnen können, ohne jeglichen Druck oder Zwänge.

Und da die Dildos immer schön hart bleiben, nicht abspritzen und stets bereit sind, genießen wir solche Spiele bei einem Glas Rotwein. Besonders gerne tun wir es in der Reiterstellung, da wir uns dabei auch mit Händen und Küssen geil machen können. Seit einigen Wochen ist allerdings unser geiles Geheimnis keines mehr. Wir wurden in flagranti erwischt, wie wir uns im Auto küßten. Doch anstatt Hohn und Spott, ernteten wir fast ausschließlich Zustimmung und Verständnis.

Deshalb halten wir uns nur noch während der Arbeit zurück. Doch in der Mittagspause wird ihr Büro zu unserem Liebesnest. Mit Fingern, Löffeln, Kugelschreiber, Zunge und leeren Rotweinflaschen treiben wir uns immer wieder zu neuen Höhepunkten. Der Gipfel war aber, als wir uns bei versehentlich eingeschalteten Gegensprechanlage die geile Worte zuflüsterten und etliche Angestellte uns dabei zuhörten.

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Verfickte Zombieschlampen 04

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„Wir… wir kommen aus den Staaten,” stotterte Kimmy schüchtern, als sie versuchte, ein Gespräch anzufangen. Nach unserer ersten Begegnung hatten Rebekka und ich den Platz durchsucht, an dem sie und ihr Freund, oder Ex-Freund, Mark, sich verschanzt hatten. Sie hatten sich eine kleine Bäckerei mit angeschlossener Eisdiele als Versteck ausgesucht und so ziemlich die gesamte Einrichtung nach draußen geschafft, um eine Barrikade um die Türen und Fenster zu errichten, so dass der Raum, welcher mal ein kleines Café gewesen sein mochte, jetzt leer stand, außer etwas Müll, zwei Schlafsäcken, zwei Rucksäcken und ein paar Haufen Klamotten.

Anstelle eine Antwort nuschelte ich nur „mhm” während Bekah langsam den Raum durchschritt und dabei argwöhnisch von den beiden Touristen zu der Inneneinrichtung und wieder zurück schielte. Kimmy war noch immer nackt, mit klammen Haaren, nachdem sie in unserer Pisse geduscht hatte, und sie stand unschlüssig im Türrahmen, ohne zu wissen, was sie aus der Situation machen sollte. Mark war draußen und tat, als würde er sich nicht weiter um uns kümmern. „Wir… wir waren auf einer Wandertour durch Europa,” fuhr Kimmy fort, „und als wir über diese Berge gekommen waren…”

Ich seufzte. „Als ihr die Alpen überquert habt, seid ihr in Meran abgestiegen, weil das die ersten Anzeichen von Zivilisation hinter dem Brennerpass waren,” fuhr ich fort. „So wie alle anderen auch. Und ich nehme an, dass das der Zeitpunkt war, an dem die ganze Welt sich plötzlich in Scheiße verwandelt hat, und dann seid ihr nicht mehr weiter gekommen.”

Kimmy schluckte schwer. „Wir… Ich sollte eigentlich gar nicht hier sein. Wenn ich daheim in Boston geblieben wäre, würde ich jetzt nicht in diesem Schlamassel stecken.” Sie war den Tränen nahe und zitterte vor Kälte.

„Und wie kommst du auf die Idee, dass dieses Schlamassel nicht auch in Boston passiert ist?” fragte ich. „Soweit wir wissen, ist es überall.”

Ich erinnerte mich daran, wie alles begann. Ich war auf der Arbeit und fuhr durch die Stadt um zu einer Familie zu kommen, die in Schwierigkeiten geraten war, als ich im Radio hörte, wie der Ministerpräsident den Ausnahmezustand verhängt hatte, nach dem jeder zuhause bleiben und darauf warten sollte, bis es wieder sicher war, rauszukommen. Ich versuchte, meine Chefin anzurufen, aber im Rathaus ging keiner mehr ans Telefon, und so fuhr ich schließlich nach hause.

Im Fernsehen gab es fast dauernd Nachrichten über diese „landesweite Pandemie”, die hochansteckend war, aber sie wollten — oder konnten — uns nicht sagen, was es war. Alle Kameraaufzeichnungen waren verwackelt und zeigten nur, wie Leute in den Straßen randalierten, als offenbar eine Massenpanik ausbrach. Im Internet gab es zahlreiche Spekulationen, die von einem Militärputsch bis zu einer Alieninvasion und der Zombie-Apokalypse reichten. Wie es sich rausstellte, war die Zombie-Apokalypse korrekt.

Ein paar Stunden später fiel dann der Strom aus. Ich hatte noch ein batteriebetriebenes Radio in der Küche, mit dem ich ein paar Sender reinbekam, die weiterhin die Zuhausebleiben-Warnung sendeten, und darüber hinaus gab es keine Neuigkeiten, was wirklich los war. Gegen Abend hörte ich dann Randale in der Straße vor meiner Wohnung und nachts hielten mich die ständigen Geräusche aus den Wohnungen neben meiner und die durchs Fenster hereinkamen wach, bis ich mir nervös ein paar Sachen zusammen gepackt hatte und zum Hinterausgang hinausschlich, um in einen ruhigeren Teil der Stadt zu kommen. Einfach nur weg von dem wütenden Mob.

Am Ende landete ich in einer Villa auf der wohlhabenderen Seite der Stadt, die verlassen schien und, was viel wichtiger war, hinter einer hohen, festen Mauer lag. Ich dachte mir, wenn die Eigentümer in diesem Durcheinander jemals wieder zurück kamen, dann war das, was gerade passierte, sowieso vorüber, und dann konnte ich mich immer noch entschuldigen und wieder nach hause gehen. Sie kehrten allerdings nie wieder zurück, und der Mob entpuppte sich als Zombieherde, die Jagd auf alles machten, was noch kein Zombie war.

Kimmie starrte mich mit großen Augen an. „Aber ich muss doch wieder nach hause zurück,” sagte sie fast flehentlich. „Ich muss herausfinden, was mit meiner Familie los ist.”

Ich nickte. Der Platz war sowieso leergefegt, alle Nahrungsmittel, die sie gehabt hatten, waren lange aufgebraucht und es gab keine Waffen oder andere nützliche Dinge zu finden. „Trockne dich ab,” sagte ich und warf ihr ein schmutziges, aber trockenes, Stück Stoff hinüber. „Wir müssen los.”

„Moment mal,” unterbrach mich eine männliche Stimme von hinten. „Wie kommst du auf die Idee, dass wir überhaupt etwas tun, was du sagst?”

Ich warf einen Seitenblick auf Kimmy, die mit dem Fetzen ihre Haare trocknete und ihre Sachen nach etwas durchsuchte, das sie anziehen konnte. „Naja,” antwortete ich. „Du kannst hierbleiben und verhungern, oder mitkommen und vielleicht eine Chance haben.”

„Ist einfache Mathematik,” sagte Rebekka. „Meran hat vielleicht 40.000 Einwohner. Im Moment bitlis escort würde ich sagten, dass etwa 39.998 davon dort draußen sind und Jagd auf uns machen. Wenn wir in Bewegung bleiben, dann können wir uns jede Nacht woanders aufhalten, und müssen nie zweimal im selben Bett schlafen. Außerdem würden im Moment die ganzen Vorräte, die dieser Stadt einen Tag lang gereicht hätten, für uns etwa 10.000 Tage ausreichen. Wenigstens die unverderblichen.” Als er sie sprachlos anstarrte, zuckte sie nur mit den Schultern. „Ich bin Bauingenieurin. Ich denke immer in Zahlen.”

Ich grinste. „Aber was ist denn mit diesen ganzen… Leuten da draußen?” fragte Kimmy mit zitternder Stimme.

„Gehüpft wie gesprungen,” antwortete ich. „Wenigstens haben wir gegen die eine Chance. Hier zu verhungern ist keine Alternative.” Ich sah mich noch einmal um. „Warum habt ihr euch hier überhaupt verkrochen?” fragte ich.

Sie zuckte mit den Schultern. „Wir waren nur etwas Eis essen, als plötzlich was im Radio kam, und die Leute in den Straßen in Panik verfielen. Und da wir nichts hatten, wo wir hingehen konnten, blieben wir einfach da. Es wurde immer schlimmer und die ganzen Geschäftsbesitzer gingen alle weg und schlossen ab, und am Ende haben wir uns gedacht, dass wir hier eine bessere Chance hätten, weil es was zu Essen gibt… was zu Essen gab… anstelle dort draußen auf der Straße. Niemand hat uns reingelassen, und so sind wir einfach… eingebrochen.”

Ich nickte. „Na,” sagte ich, „dann müssen wir jetzt wieder ausbrechen.”

Ich sah ihr dabei zu, wie sie ihren dünnen Körper in Unterwäsche, ein T-Shirt und eine Jeans zwängte, die alle schon bessere Zeiten gesehen hatten. „Warum trägst du das?” fragte Rebekka sie. „Die Zivilisation ist doch total am Ende und niemand interessiert sich mehr für Mode, also so ganz unter uns…” sie lächelte mich von der Seite an, „…ganz unter uns, ich wäre gar nicht trautig darüber, wenn ich für den Rest meines Lebens keine Slips oder Hosen mehr tragen müsste.”

Kimmy errötete und stammelte: „Ich… keine Ahnung… ich glaube, ich fühle mich einfach… nackt, so ganz ohne.”

Ich sah an mir herab auf meine eigene Jogginghose und Bluse, und dann zu Rebekka hinüber, die noch immer nur einen schwarzen Rock und ihr offenes rotes Hemd trug, das kaum ihre ausladende Oberweite zu zähmen vermochte. „Weißt du was?” sagte ich zu ihr. „Du hast recht! Neue Zeiten erfordern eine neue Garderobe, und ich denke, wir sollten das anerkennen.”

Rebekka und ich gingen nach draußen, um über die Barrikaden zu spähen. Mark und Kimmy hatten alle Stühle, Tische, Sofas und sogar einige der Regale raus auf den Gehsteig geschleppt, und irgendwie bildeten sie alle, ineinander verkeilt, ein Hindernis das groß genug war, um die Zombies davon abzuhalten, sie zu überrennen. Wir waren direkt an der Ecke der Laubengasse, wo eine Menge Geschäfte nur darauf warteten, geplündert zu werden. Zum Glück war es hier zu eng, um mit Autos durchzufahren, so dass wir uns um Straßenblockaden keine Sorgen machen mussten. Zum Unglück war es — oder ist es noch immer, nehme ich an — der geschäftigste Teil von Meran, so dass dort undurchdringliche Zombiemassen umherwanderten, so weit das Auge reicht.

„Wir können nicht durch die Straßen,” sagte ich zu Bekah, „außer dorthin, wo wir hergekommen sind, und auch das ist ein Risiko.”

Sie überlegte einen Moment und antwortete dann: „Ich habe schon mal an solchen Geschäften gearbeitet. Da gibt es normalerweise einen Durchgang zwischen dem Geschäft und dem Rest des Gebäudes, und sogar zu anderen Geschäften. Unsere zwei amerikanischen Freunde haben das hier vielleicht nur nicht gründlich genug durchsucht.”

Ich nickte und wir gingen zurück nach drinnen. An der Rückseite des Lokals war eine verschlossene Tür, und eine weitere, an der „Toiletten” stand. Die beiden Touristen zuckten nur mit den Schultern, als sie gefragt wurden, ob sie jemals die verschlossene Tür geöffnet hatten. Ich sah mich nach etwas um, womit man sie aufbrechen konnte, aber fand nichts, was nicht eine Menge Lärm machen würde, und so schoss ich schließlich das Schloss heraus.

Der Schuss hallte laut in die Straße hinaus und wurde sofort von einem lauten Heulen aus der Menge auf der anderen Seite der Barrikaden beantwortet. Eilig riss ich die Tür auf und wurde von einer kleinen, engen Abstellkammer begrüßt, die nicht mal groß genug für eine Person war. Draußen hörten wir es rasseln, als sie versuchten, die Möbel einzureißen.

„Scheiße,” murmelte Bekah und drehte sich um, um die andere Tür zu öffnen. Dahinter lag nicht direkt die Toilette, sondern ein kleiner Gang mit Türen zu den Herren- und Damentoiletten zur einen Seite, und einer unbeschrifteten Tür auf der anderen. Dem Geruch nach zu urteilen hatten Kimmy und Mark die Toiletten schon eine Weile ohne fließendes Wasser benutzt.

„Was ist hinter dieser Tür?” fragte ich Kimmy. Sie starrte mich ängstlich und verwirrt an, und schüttelte nur den Kopf. Bekah versuchte, sie zu öffnen, aber sie bolu escort war ebenfalls verschlossen. Von draußen hörten wir das Splittern von Holz als einige Möbelstücke dem vereinten Ansturm nachgaben. Ohne zu zögern schoss ich auch dieses Schloss heraus und öffnete hastig die Tür. Dahinter lag eine Treppe, die nach oben führte. Wir rannten die Treppenstufen hinauf, als die Zombies in das Café einbrachen und wir hinter uns Glas splittern hörten.

Die Türe würde sie jetzt nicht mehr von uns abhalten, so kaputt wie sie war, und deshalb eilten wir oben an der Treppe links einen Gang entlang. Einige Türen führten davon zu Wohnungen, wie ich annahm, aber ich wollte erst einigen Abstand zwischen uns und den Mob kriegen, der uns folgte. Ich hörte Rebekka keuchen, als sie mir nacheilte, mit dem rasselnden Säbel an ihrer Seite. Kimmy und Mark waren wohl direkt hinter ihr.

Am Ende des Flurs gabelte er sich. Zur Linken führte eine Treppe wieder nach unten, wahrscheinlich in ein weiteres Geschäft, und zur Rechten ging ein neuer Flur eine ganze Weile weiter. „Den Flur da entlang,” flüsterte ich. „Probiert die Türen aus, ob eine davon offen ist.” Wir eilten den Gang entlang so leise wie möglich und rüttelten an den Türen, in einem verzweifelten Versuch, eine zu finden, die sich öffnen ließ. Als ich mich umdrehte, konnte ich eine Horde Zombies sehen, die den Gang herabgelaufen kamen und mit fast unmenschlicher Geschwindigkeit auf uns zurannten. „Hier rein!” sagte Rebekka schließlich und stieß eine Tür auf, die in einen dunklen, weitläufigen Raum führte.

Wir eilten hinein, mit Mark direkt hinter uns. Kimmy hatte gerade die Tür erreicht, als sie stolperte und etwas sie am Arm packte. Ihr Gesicht verzerrte sich vor Schmerz als sie sich nach ihrem Freund ausstreckte. Für den Bruchteil einer Sekunde sah Mark ihr in die Augen und versuchte dann die Tür zuzuwerfen und sie auszusperren. Bekah zog ihn zur Seite und ich packte sie bei ihrem T-Shirt und zog sie herein während ich den Zombie, der sie festhielt nach hinten trat. Wir schlossen die Tür und verbarrikadierten sie mit Metallstangen von Kleiderständern, die in der Nähe standen. Offenbar waren wir im oberen Stockwerk eines Klamottenladens angelangt.

„Du Arschloch,” schrie Kimmy Mark an und hielt sich den Arm mit einer Hand. „Du verdammtes Arschloch! Du hast mich betrogen mit dieser Thekenschlampe und jetzt willst du mich einfach zurücklassen mit diesen… mit diesen verfickten…” sie fing an, ihn zu schlagen und immer zorniger zu werden. Ich versuchte, zwischen sie zu gehen, aber Bekah hielt mich zurück. „Nicht,” flüsterte sie mir ins Ohr. „Sei vorsichtig.”

Mark versuchte, sich zu verteidigen, aber etwas schien über Kimmy zu kommen. Bald fing sie an, wie einen nassen Sack umherzuwerfen, drückte ihn gegen eine Wand während sie ihm ins Gesicht knurrte. Bekah und ich hielten Abstand während wir zusahen, was passierte. Die ganze Szene konnte nicht länger als ein paar Minuten gedauert haben, als Kimmy plötzlich den verdutzten Kerl auf den Boden warf und sich hinter ihn stellte. An ihrer Hose zeichnete sich eine deutliche Beule ab, die sich hart über ihren Schoß erstreckte, und plötzlich platzte die Jeans an den Nähten auseinander und der gleiche dicke, fleischige Auswuchs, den ich zuvor an dem Zombie gesehen hatte, der Bekah übermannt hatte, kam zum Vorschein und drückte sich kräftig gegen Marks Hintern während sie ihn nach unten drückte.

Wir sahen zu als sie versuchte, in ihn einzudringen, während sie ihn zu Boden drückte als er unter ihr zappelte und sich wand, und zu meiner Überraschung war sie erfolgreich als ich sah, wie der Stoff seiner Hose nachgab und der dicke, harte Schwanz tief in seinen Arsch gezwängt wurde. Sie fing sofort an, ihn grob und hart zu ficken, während er stöhnte und unter ihr sich abmühte, wieder aufzustehen.

Rebekka zog mich zur Seite hinter einen der Kleiderständer. „Was zur Hölle ist da los?” flüsterte ich.

Sie sah mich überrascht an. „Du hast das doch schonmal gesehen, du weißt, was es ist,” sagte sie.

Ich schüttelte den Kopf. „Ich wusste nicht… Ich hatte keine Ahnung, dass Frauen dieses… Ding… auch hatten.”

Sie zuckte mit den Schultern und zog mich weiter in den Laden hinein. „Also, wir haben jetzt zwei Probleme,” meinte sie. „Wir haben eine Horde Zombies draußen, die versucht, hier reinzokommen, und wir haben zwei Zombies hier bei uns, die uns nachstellen werden, sobald sie miteinander fertig sind.”

Ich nickte. „Wir müssen von denen weg kommen,” sagte ich und warf einen Blick auf das Schwert an ihrer Seite. „Ich… ich glaube nicht, dass ich sie… töten kann. Ich habe ja gerade erst mit ihnen gesprochen, vor zwei Minuten oder so.”

„Zwölf,” sagte sie.

Ich sah sie verwirrt an. „Was?” fragte ich.

„Zwölf Minuten,” antwortete sie. „Es dauert zwölf Minuten zwischen einem Biss oder einer… anderen Übertragung, bis die Infektion überhand nimmt.”

Ich nickte. „Also… also muss sie gebissen worden sein, als wir losgerannt sind?” burdur escort antwortete ich.

Leise schlichen wir die Reihen von Kleidern, Hosen und Hemden entlang, bis wir an eine hübsche, elegante Treppe in der Mitte des Ladens angelangten, die zum Erdgeschoss hinab führte. Ich nickte Rebekka zu und wir liefen nach unten.

Das Erdgeschoss war ebenso leer wie das Obergeschoss, aber besser beleuchtet, da durch die großen Schaufenster das Tageslicht hereinströmte. Wir zogen schwere Regale vor die Treppe in der Hoffnung, dass diese wenigstens alles, was herabkam etwas aufhalten würden, und liefen dann durch den Laden, um nach einem Ausweg zu suchen. „Hey,” sagte ich zu Bekah und zog eine weiße Lederjacke von einer Stange. „Die haben coole Sachen hier!”

Bekah sah zu mir zurück. „Vielleicht ist das gar keine so schlechte Idee,” meinte sie. „Bessere Klamotten, die vielleicht etwas Schutz vor den Bissen bieten.” Zusammen durchsuchten wir den Laden nach dicker Lederkleidung. „Hier,” meinte sie schließlich und warf mir ein paar lederne Beinschützer zu, die mit Chromnieten besetzt waren. „Die passen zu deiner Jacke.”

„Wäre es nicht besser, auch was zu finden, was unsere… Löcher abdeckt?” fragte ich zurück.

Sie schüttelte den Kopf. „Wenn es dazu kommen sollte, dann will ich lieber gefickt als gebissen werden,” meinte sie sachlich. „Wenn’s in meiner Muschi ist, dann gibt es wenigstens noch eine Chance, es wieder raus zu kriegen. Wenn du gebissen wirst, dann ist alles vorbei.”

Ich nickte und zog leise die Beinschützer an. Sie schmiegten sich angenehm um meine Schenkel und waren an den Enden etwas locker, mit einem leichten Schlag. Darunter trug ich einen engen, grünen Body, den ich zwischen den Beinen aufgeknöpft ließ, was meine tiefrote Möse entblößte. Die weiße Lederjacke vervollständigte mein Outfit und fühlte sich angenehm kühl an meiner Haut an.

Ich pfiff fast, als ich Bekah sah. Sie trug ein paar Lederriemen um die Beine, hohe grüne Lederstiefel, die bis über die Knie reichten und einen ebenso grünen Lederrock, den sie vorne und hinten aufgeschnitten hatte, was ihre behaarte Muschi und den breiten schwarzen Po freilegte. Oben herum trug sie eine rote Lederjacke, die zu eng war, um sie über den Titten zu schließen, und so kurz, dass sie nur zur Hälfte an ihrem Rücken herabreichte. Sie sah umwerfend aus, und ich war wieder einmal neidisch auf ihre Figur.

Unsere Shoppingtour wurde plötzlich von einem lauten Geräusch unterbrochen. Kimmy hatten den Weg nach unten gefunden und fing an, gegen die Regale zu hämmern. Mark kam hinter ihr die Treppe herabgelaufen und warf sich kopfüber gegen die Barrikade und warf sie dabei um. Ich war überrascht von ihrer Stärke und Geschwindigkeit und der offensichtlichen Gleichgültigkeit Schmerzen und Wunden gegenüber.

Bekah und ich zogen uns weiter zur einen Seite des Ladens zurück, wo wir einen Torbogen fanden, der in den Laden nebenan führte. Hinter uns konnte ich hören, wie die beiden Zombies schnüffelten und dann mit schweren, schnellen Schritten näher kamen.

Der Laden, den wir betraten, verkaufte Sportausrüstung und Bekah schnappte sich ein Regal, das direkt neben dem Bogen stand mit einem Sortiment Angelausrüstung und versuchte, es umzuwerfen, um damit den Durchgang zu blockieren. Ich eilte herbei um ihr zu helfen, und gerade als die beiden durch den Bogen kamen, warfen wir das Ganze um und auf sie drauf.

Mark und Kimmy waren gefangen unter einem Haufen Angelruten, Netzen und den Stahlstäben des Regals, und verwickelten sich mehr und mehr in dem ganzen Durcheinander. Ich atmete tief durch und sah mich um, während Bekah vor die beiden trat und auf sie spuckte. Der Laden war in verschiedene Abteilungen für unterschiedliche Sportarten geteilt. Ein Gang hatte Fußballausrüstung, ein anderer Sachen fürs Reiten, Skaten, Tennis, Skifahren und noch eine Menge mehr. So unsportlich wie ich war, konnte ich nicht einmal die Hälfte der Sachen identifizieren, die auslagen. Als ich zu Bekah zurückkehrte, wühlte sie sich durch den Verkaufstisch auf der Suche nach nützlichen Gegenständen.

„Schau mal, was ich gefunden habe,” sagte ich und grinste schelmisch, als ich eine Reitgerte unter ihr Kinn platzierte. „Genau das richtige für meine kleine Fickstute.”

Sie sah mich an und nickte lächelnd. „Das ist es, was ich bin, Herrin,” sagte sie ernst.

„Na, dann steig hier auf den Tisch und biete dich an,” befahl ich ihr und klatschte mit der Rute kräftig über ihre Titten, die unter ihrer Jacke herausschauten. Sie schrie auf, aber kletterte gehorsam auf den Tresen und setzte sich hin, wobei sie ihre Beine zu mir spreizte. Draußen stand die Sonne schon tief am Horizont und ihre Strahlen schimmerten hell und golden durch die großen Schaufenster, wo sie auf den weichen, lockigen Schamhaaren meiner dunkelhäutigen Fickschlampe glitzerten und die rosige, feuchte Öffnung zu ihrer warmen, weichen Fotze darunter beleuchteten.

Ich klatschte kräftig auf diese Öffnung. Bekah schrie wieder auf aber hielt ihre Beine mutig gespreizt, während der Schmerz ihr Schauer durch den Körper sandte. Ich zielte mit der Rute auf ihren Kitzler, aber als ich damit zuschlug, hinterließ ich links und rechts von ihren Schamlippen Striemen und traf nie so richtig auf den Punkt.

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