Les malheurs de Sophie – Chapitre 03

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LES MALHEURS LORS D’UNE PARTIE DE POKER

Présente à l’usine le lendemain à l’heure exigée, Sophie, comme chaque matin, s’apprête à se préparer pour apporter à son employeur un délicieux café. Elle a alors la surprise d’apprendre que M. Christophe est en voyage d’affaires pour toute la semaine. Soulagée, celle-ci passe quelques jours tranquilles, se concentrant uniquement sur son travail, même si elle croise de temps à autre Marcel et ne peut s’empêcher d’être mal à l’aise, proche de la nausée, tandis que le chef de production lui adresse des sourires narquois ou des paroles pleines de sous-entendus.

Le répit n’est toutefois que de courte durée. Le vendredi soir, vers 18h, le GSM de l’adjointe sonne :

– Bonjour, salope!

– Bonjour, Monsieur, répond-elle, ayant reconnu immédiatement la voix de son supérieur.

– Ce soir, j’organise chez moi ma traditionnelle partie de poker avec quelques amis. Mon épouse est allée chez sa mère et j’ai besoin de quelqu’un pour la remplacer, car c’est elle, habituellement, qui fait le service. Voici mon adresse… Sois là à 20h précises. Réserve ta soirée : je sais que ton compagnon est de toute façon absent jusqu’à samedi matin.

Sur ce, il raccroche, tandis que son adjointe, la boule au ventre, se prépare rapidement. Pénétrant, après avoir sonné, dans la maison de son chef, elle découvre que celui-ci est seul, même si une table de jeu a été préparée pour quatre personnes dans le salon, qui jouxte la cuisine. Immédiatement, après l’avoir à peine saluée, son patron lui donne ses instructions : – Monte les escaliers et va dans la chambre située sur la droite. Il y a une tenue qui t’attend et respecte les consignes qui sont notées sur le papier posé à côté de tes futurs vêtements de travail. Tu as 10 minutes!

Avant que le délai ne soit écoulé, Sophie, le feu aux joues, redescend. Elle est vêtue d’un costume de femme de chambre, noir et blanc, particulièrement révélateur. Celui-ci est composé d’une micro-jupe en dentelle noire, recouvrant un string ficelle de la même couleur et des bas autoportants. Ceux-ci restent apparents, car la jupette, trop courte, ne descend pas assez pour en cacher la lisière. La partie supérieure, elle, est composée d’un tablier à bavette. Le port du soutien-gorge ayant été interdit, si le plastron couvre les seins qui se trémoussent librement, toute personne a toutefois, sur les côtés, une vue particulièrement révélatrice de sa poitrine! La tenue est complétée par une paire de chaussures noires à talons hauts. Son boss lui adresse un dernier propos quelque peu railleur :

– Ma chère, tu es vraiment ravissante. Mes amis vont être charmés! J’espère qu’ils se déconcentreront lors de notre soirée, ce qui me permettra de remporter la mise.

Un bruit de sonnette se fait entendre! Et le Directeur d’aboyer violemment sur sa subalterne :

– Et bien, espèce de débile, ne reste pas planter là! Va ouvrir et conduit mes invités jusqu’à la table.

Elle s’exécute et bizarrement, lorsqu’ils entrent, se demande si elle ne les a pas déjà vus quelque part. Chacun des trois hommes jette un regard admiratif à la subalterne et complimente son patron d’avoir une si jolie bonne. Deux d’entre eux semblent avoir la cinquantaine, le troisième, lui, est plus proche de la vingtaine.

L’employeur, fièrement, fait les présentations, avec un léger fond d’ironie :

– Vous connaissez tous ma secrétaire. Mon épouse étant absente, elle a accepté, pour me faire plaisir, car elle m’est très dévouée, même en-dehors de ses heures de travail, de nous servir ce soir. Sophie, voici Jean, qui travaille au service des expéditions de notre usine ; Albert, qui bosse au sein de notre service comptabilité ; et enfin, Antonin, qui est à la chaîne de production depuis un an.

Chacun de ses collègues se penche pour serrer la main de l’assistante, qui rougit de honte, puis va les installer aux places prévues à la table de poker. Son patron demande à l’adjointe de se rendre à la cuisine et d’apporter les boissons, déjà préparées, à ses kahramanmaraş escort invités.

Profitant de l’absence de la femme, les individus interrogent leur chef quant à la présence incongrue de celle-ci et, surtout, de son apparence. M. Christophe se contente d’être vague :

– Elle aime s’exhiber devant des mâles, voilà tout. Et parfois, si on s’y prend bien, on découvre que c’est une véritable salope. On verra si vous savez y faire! Au fait, j’ai demandé qu’elle vous appelle par vos prénoms, mais en vous vouvoyant. Vous devez par contre la tutoyer! Et n’hésitez à avoir les mains un peu baladeuses, elle adore qu’on la touche!

La subalterne revient de la cuisine, avec les boissons, à savoir du vin blanc et de la bière. Elle sert les quatre joueurs. Alors qu’elle fait le tour de la table en distribuant les breuvages, chaque participant tient à lui adresser une remarque sexuelle ou à lui tapoter les fesses. Lorsqu’elle se penche pour servir le prénommé Albert, le chauve ventripotent de la comptabilité, celui-ci glisse sa main sous sa robe courte. La jeune femme s’apprête à le gifler, mais un simple regard noir de son patron la décourage de le faire. Elle adresse alors à un sourire nerveux au gros homme.

Ce dernier proclame haut et fort : – Sophie, tu as vraiment un très beau cul! Lorsque je te croise à l’usine, je n’avais jamais fait attention à ton corps! Ce ne sera désormais plus le cas!

Et les garçons de s’esclaffer de cette blague graveleuse. La partie de cartes dure depuis plus d’une heure, les mâles consommant de plus en plus de demis et de vin. Ils continuent à être de plus en plus effrontés, tandis que M. Christophe s’amuse à donner des ordres à sa subalterne. Disparaissant à son tour dans la cuisine, il prépare un Picon, dans lequel il glisse le même aphrodisiaque que celui utilisé lors de la promenade avec Marcel. De retour, il tend la boisson à son assistante :

– Depuis le temps que tu travailles, ma chère, il convient de te désaltérer! Bois!

Elle n’ose refuser, sachant de toute façon qu’il est vain de s’opposer. Assurant un nouveau tour de table, elle est cette fois la victime de Jean, le responsable du service des expéditions.

Celui-ci profite d’un moment d’inattention de la beauté naturelle, enroulent ses bras autour de son dos, déplace ses mains rapidement et les glisse sous le devant du tablier, caressant sans la moindre gêne chacun des deux seins puis les pétrissant. Elle parvient néanmoins à échapper à l’étreinte et se rue vers la cuisine. Son chef l’y rejoint et l’oblige à boire un deuxième verre, qui contient une nouvelle dose de stimulant.

Antonin, pendant ce temps, a allumé un joint et propose, au retour de son hôte et de sa bonne, de partager celui-ci. Le Directeur approche de la table de poker un tabouret de bar pris dans le salon et demande à la serveuse d’un soir de s’y installer, en lui tendant le cannabis : – Tu as l’air d’être un peu stressée! Il faut te détendre un peu! Prends! Ce n’est que du shit et je suis sûr que tu en déjà fumé! Exact, non?

– Oui, Monsieur.

Pendant une quinzaine de minutes, son adjointe est contrainte de tirer sur la fumette tout en prenant un troisième Picon, qu’elle peut boire cette fois par petites gorgées. Les mains d’Albert, son plus proche voisin, ont commencé à parcourir les bas autoportants de la fille, qui tente de les repousser doucement pour ne pas subir la colère de son employeur. Un nouveau quart d’heure s’écoule avant que son boss ne lui ordonne d’aller rechercher des boissons dans la cuisine pour ses invités.

Lorsqu’elle s’éloigne, son supérieur remarque que son pas est désormais mal assuré. Elle revient avec les breuvages et se réinstalle sur le siège en hauteur. Son patron se lève alors de sa chaise, passe derrière elle et lui parle, tandis qu’il commence à défaire lentement la bretelle arrière -la seule- de la tenue portée par son assistante :

– Sophie, mes invités sont très frustrés, car ils aimeraient beaucoup voir tes kastamonu escort seins. En tant qu’employée dévouée, il est normal que tu fasses plaisir à tes collègues!

Résignée, elle ne lutte pas et laisse la partie supérieure du tablier tomber sur ses genoux, dévoilant sa splendide poitrine aux quatre joueurs, tandis que M. Christophe commence à caresser celle-ci sans la moindre retenue. Ses tétons, sous l’effet de l’air frais et du puissant stimulant, sont désormais en totale érection.

La tête lui tournant, elle remarque à peine que son patron invite, d’un simple geste et d’un regard, le jeune Antonin à enclencher la caméra numérique, installée dans un coin du salon, sur un trépied, tout en continuant son monologue :

– Lève — toi, maintenant!

Toujours derrière elle, alors qu’elle prend la position indiquée, il abaisse, toujours avec des gestes au ralenti, la jupette de sa pauvre subordonnée, et ce, sous les regards attentifs des trois autres mâles. Elle est devant eux avec seulement son mini-string et ses bas autoportants. Son chef lui donne une nouvelle injonction :

– Sophie, il est temps d’enlever ta culotte à présent, et de la placer sur la table de jeu. Immédiatement!

Elle s’exécute, presque nue comme un ver, non seulement devant son boss et ses trois collègues.

– C’est très bien, ma belle! Tu peux garder tes bas et tes chaussures! Comme cela, ta pudeur sera sauvée! Va dans la cuisine, en bougeant ton cul, comme tu le sais faire, et rapporte — nous une nouvelle tournée de boissons. Et cette fois, après avoir fait ton service, tu te tiendras debout, à côté de moi, afin de me porter chance!

Avant qu’elle ne revienne, les hommes en profitent pour poursuivre leur séance de cartes. Tout en jouant, une fois sa subalterne revenue et figée dans la posture exigée, son supérieur lui caresse allègrement les fesses, tout en perdant plusieurs parties d’affilée.

Le Directeur s’exclame soudain : – Mes amis, je commence à vous devoir beaucoup d’argent! Je propose que ma secrétaire, qui me porte visiblement malheur, aille près du vainqueur de chaque mise, afin de lui faire rater la suivante! Evidemment, si celui-ci gagne, mon assistante dévouée, pour se faire pardonner de m’avoir encore fait perdre, devra s’acquitter d’un gage! N’importe lequel!

Albert remporte la manche suivante et la jeune fille est obligée de s’asseoir sur celui-ci, qui lui réclame un tendre baiser avec la langue. Elle n’a aucune autre option et, malgré son dégoût, accepte que sa bouche soit envahie par l’organe d’un homme qu’elle n’aime pas…

Jean est le nouveau vainqueur. Tirant l’assistante vers lui, il lui ordonne de s’installer sur ses genoux et d’écarter les cuisses afin qu’il puisse jouer avec son clitoris. Là encore, la tête lui tournant de plus en plus, elle s’exécute, la mort dans l’âme. Son collègue, après avoir longuement trituré son bourgeon d’amour, la doigte sans ménagement.

Avant le prochain tour, son boss lui tend un quatrième et dernier verre : – Vide – moi cela d’une traite, afin de te calmer et, surtout, de te remettre de tes émotions! Tu as l’air vraiment très excitée, Sophie! Comment peux-tu être une femme si délurée?

Mortifiée, le regard étourdi, elle se rend près d’Antonin, le dernier champion en date, qui exige de pouvoir lui lécher les seins. Ce qu’il fait avidement. Le gagnant qui s’en suit est à nouveau Albert, qui décide de faire monter les enchères et s’adresse directement à son patron : – Patron, je veux que votre employée me lèche la bite!

– Tu as entendu? Tu m’as fait perdre! Donc tu vas lui faire une pipe pour t’excuser à mon égard. Va sous la table et suce-le durant toute la durée de la mise qui vient!

Des larmes coulant sur ses joues, elle passe sous la table, s’agenouille, défait le pantalon de l’homme, ouvre sa braguette, abaisse son slip et prend le membre dressé dans sa bouche, avant de faire courir sa langue non seulement sur son gland, mais aussi sur sa hampe. Le tout devant kayseri escort les regards vicieux des autres joueurs.

Albert, prenant la tête de Sophie entre ses mains, l’oblige à accueillir sa queue jusque dans le fond de sa gorge. Après cinq minutes, il ne peut retenir une forte éjaculation, l’assistante administrative se forçant à avaler le sperme qui envahit sa bouche, et ce, malgré sa nausée. L’homme ventripotent ne peut s’empêcher de commenter vulgairement la performance de l’adjointe : – Putain, quelle cochonne! Vous avez là une sacrée bouffeuse de bites, M. Christophe! Un vrai aspirateur!

Les quatre joueurs applaudissent lorsque la subordonnée, toujours à genoux, se relève. Ses trois collègues, désormais tous debout, l’entourent et posent leurs dextres sur tout son corps, tandis que son supérieur débarrasse la table de poker. Quelques instants plus tard, Sophie est allongée sur celle-ci, livrant sa chair à huit mains baladeuses, tandis que l’aphrodisiaque précédemment ingurgité fait désormais pleinement effet. Deux des joueurs -Antonin et Jean- sortent leur queue et lui frappent le visage, le tout face à la caméra numérique. Lui relevant les jambes au maximum, le patron enfourne son sexe dans celui, trempé, de son adjointe.

Tandis que son boss la baise sans ménagement, Antonin et Jean, placent un chibre tendu de chaque côté du visage de Sophie, qui engouffre, en alternance et dans sa bouche en forme de cœur, les deux bites qui se présentent. Avec un regard lointain et vitreux dans les yeux, elle semble apprécier l’agression sexuelle de tous ces vicieux. Après une vingtaine de minutes, ceux-ci éjaculent de manière quasi coordonnée, tandis que leur victime presque consentante –et surtout droguée- ne peut retenir quelques gémissements. Le reste de la soirée n’est que tournante, chacun des quatre hommes, tantôt en solo, tantôt en duo, se vidant successivement dans les trois orifices de Sophie, qui est toujours soit sur le meuble, soit à même le tapis protégeant le carrelage du salon, malgré le relatif inconfort en découlant.

Le tout sans le préservatif.

L’orgie étant terminée et chaque mâle enfin rassasié, le supérieur s’adresse durement à son assistante :

– Et bien, ma chère, je croyais que tu étais simplement une salope! En fait, tu es une vicieuse qui adore faire l’amour avec plusieurs mecs en même temps! Tu n’as pas de remords? Et n’oublie pas de remercier, comme je te l’ai appris, tes bienfaiteurs…

La jeune femme, drillée, sait ce qu’elle doit répondre, même si elle n’en pense pas un mot : – Non, Monsieur, je n’ai pas honte. Je remercie bien Jean, Albert et Antonin d’avoir rempli mes trous avec leurs pines. J’ai beaucoup aimé les sucer, être baisée et enculée.

Mais son supérieur a décidé de la dégrader encore plus. Il reprend la parole :

– Tu n’es pas une simple femelle, tu es une chienne! Suis-moi à la cuisine, afin d’offrir une dernière surprise à mes amis qui, par ailleurs, savent désormais qui tu es!

– Oui, Monsieur.

Une fois dans ladite pièce, le Directeur ordonne à Sophie d’enduire une fois encore son anus de vaseline et d’enfoncer dans celui-ci une carotte, dont seules les feuilles vertes dépassent. Il sort ensuite, d’un tiroir, un collier attaché à une laisse. Après avoir placé la parure autour du cou de son assistante, il l’oblige à marcher à quatre pattes et, triomphant, rentre dans le salon sous les yeux ébahis de ses invités :

– Messieurs, voici le vrai visage de mon assistante! C’est un vulgaire animal de compagnie!

Humiliée comme jamais, Sophie baisse les yeux vers le sol, tandis que son chef invite les trois hommes à rentrer chez eux. Il est près de deux heures du matin. Après avoir libéré son auxiliaire de sa condition et lui avoir permis de se rhabiller, il la renvoie chez elle, sans ménagement et non sans une dernière dégradation :

– Je ne savais pas que tu étais insatiable! Je suis très satisfait de toi : en quelques semaines, ton compteur à bites est passé d’une seule, celle de ton mec, à six, dont la mienne, celle de Marcel et, aujourd’hui, de trois de tes collègues. Rassure-toi, c’est loin d’être fini!

A lundi, 8h30, sans faute!

Arrivée chez elle, après avoir failli faire plusieurs sorties de route, elle s’annihile en buvant une bouteille complète d’armagnac. Hagarde, elle monte ensuite se coucher.

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“Delphine, M. Fourreur aimerait vous voir dans son bureau aujourd’hui. Je vous ai programmée à 16 heures, s’il vous plaît, ne soyez pas en retard.”

“Oh ! Pétard !” C’est vendredi, et si le patron veut me voir l’après-midi même, ce n’est pas bon signe.

Sans compter que mon pervers de patron me poursuit de ses assiduités depuis que j’ai intégré son service il y a 7 mois. Je savais que je n’aurais pas dû accepter cet emploi tellement il flirtait lourdement lors de l’entretien d’embauche, mais comment pouvais-je refuser? La paye était trop bonne pour renoncer, surtout pour un poste de comptable débutante !

Lorsque mon mari et moi avons emménagé ici à la capitale, c’est devenu pénible. Ici, la vie est beaucoup plus chère qu’en province. C’est un écrivain de talent, mais la réalité d’un artiste fauché n’est pas aussi séduisante qu’on pourrait le penser. Je venais de réussir mon baccalauréat de comptabilité, mais étant une grande fille blonde, les gens ne me prennent pas au sérieux. Ils ne pensent pas que je sois intelligente, bosseuse et sérieuse.

Non, ils regardent ma poitrine, mes jambes, mes fesses, et se disent: “Putain, elle est bonne, cette salope !”

Les gens ne voient pas une comptable quand ils me regardent; ils voient juste une bimbo, et c’est ce que M. Fourreur a pensé de moi en m’engageant. Mais je travaille dur et je pensais que je me débrouillais bien, mais apparemment, ce n’est pas le cas, et maintenant j’ai peur de me faire virer.

J’ai passé la journée la tête basse, morose, essayant juste de rester occupée et de ne pas penser à ce qui m’attendait cet après-midi. Je ne peux pas perdre mon travail, alors j’ai décidé de faire face à tout ce dont on m’accuse, la tête haute. Je suis une bonne employée et je mérite mon salaire !

À 15H50, je me levais, rectifiais ma tenue, retouchant ma coiffure, mon maquillage, vérifiant les plis de ma jupe et de mon chemisier. Satisfaite de mon apparence, je me suis dirigée vers le bureau du patron, la boule au ventre, claquant des talons pour chasser mon angoisse. La secrétaire personnelle de M. Fourreur m’a faite entrer, avec un sourire narquois sur le visage. Cette garce sait probablement ce qui m’attend, mais je n’ai pas peur, je peux gérer ça !

“Vous avez souhaiter me voir, M. Fourreur?”

“Oui, Delphine, entrez et asseyez-vous. (il attend que je prenne place) J’ai été alerté d’une situation délicate, et je pense que nous devons discuter ensemble pour décider comment résoudre ce problème.”

Jusqu’ici ça va ! Assise dans le profond fauteuil en cuir, j’attends patiemment qu’il m’informe, perplexe quant à la situation qui pourrait éventuellement m’impliquer. J’ai regardé mon patron taper sur son ordinateur avant de tourner l’écran vers moi. Je pouvais voir clairement les écritures comptables de l’entreprise. Ce qui n’avait pas de sens pour moi, c’était qu’il existait un autre graphique qui montrait qu’une somme importante avait disparu chaque mois, totalisant un peu plus de 20 000 euros pour les 7 derniers mois. Mon esprit de comptable a rapidement réagi devant cette situation.

“Quelqu’un détourne de l’argent de la société! Vous avez raison, M. Fourreur, c’est un problème assez sérieux. Je peux revenir sur le budget de chaque mois et voir si je peux trouver où va l’argent, ce qui devrait nous aider à identifier qui est le voleur.”

“Ce ne sera pas nécessaire, Delphine, vous voyez, mon équipe a déjà passé en revue les chiffres et nous avons découvert qui est l’escroc. Mais vous l’avez probablement deviné maintenant.”

Je ne pouvais pas m’empêcher de remarquer que M. Fourreur souriait bêtement, arrogant et fier de lui.

“Nous avons découvert que vous étiez à l’origine de l’argent manquant, Delphine. Nous avons pu suivre les transactions via le système et nous avons découvert qu’elles provenaient toutes de votre terminal. C’est une violation de votre contrat et une infraction pénale très grave, détournement de fonds, abus de confiance, etc … J’aimerais entendre vos explications avant d’appeler la police?”

Je suis restée assise là, sous le choc. Mon terminal? Comment cela aurait-il pu venir de mon terminal? Je n’ai jamais rien volé dans ma vie ! Puis le reste de ses mots m’a frappé.

“La police !? Monsieur Fourreur, il y a évidemment une erreur, je n’ai pas fait ça ! S’il vous plaît, laissez-moi regarder les comptes, je peux prouver mon innocence ! Je ne peux pas me permettre de perdre mon travail, et si je suis soupçonnée de fraude, je ne pourrai plus jamais trouver de travail ! S’il vous plaît … Nous pouvons chercher à comprendre !”

Pendant que je parlais, M. Fourreur avait contourné son grand bureau pour se tenir devant moi, souriant niaisement. Mon patron est plutôt bel homme; il prend soin de lui, il a un corps athlétique et, debout devant moi, me dominant de toute sa taille, il est très imposant. En dépit de mes efforts pour me défendre, son attitude à la fois proche et hautaine m’impressionne. Il le sait, kuşadası escort et il en abuse pour pouvoir exercer son pouvoir sur moi. J’essaye de résister, mais ça marche.

J’ai trop peur de perdre mon travail. Mes lèvres tremblent et je me tortille dans mon fauteuil pendant qu’il me dévisage. Son assurance et sa détermination renforcent mon angoisse, je bafouille et perds pied. Sa voix chaude se fait apaisante:

“D’accord, Delphine, calmez-vous. Je serai le premier à admettre que mon équipe a commis une erreur. Vous ne m’avez jamais causé de problème auparavant, alors je suis prêt à vous donner une chance de prouver votre innocence. Mais je m’attends à votre entière coopération pendant cette enquête, ainsi que votre aide totale pour un autre problème que j’ai.”

Mes angoisses s’effacent d’un coup. Éperdue de reconnaissance, je m’exclame:

“Vraiment? Merci, monsieur, je ferai bien sûr tout ce qui en mon pouvoir pour vous aider. Je suis innocente de ce que l’on m’accuse ! Comment voulez-vous que je vous aide? Je suis prête à tout pour garder mon travail !”

“Je suis heureux de l’entendre, j’ai toujours admiré votre enthousiasme et votre détermination. Maintenant, voyons si vous êtes prête à coopérer. Déboutonnez votre chemisier, Delphine.”

Ses mots résonnent comme une gifle: “Quoi? Qu’est-ce que vous dites?” Je demande, soudain en colère. Comment ce pervers peut-il avoir un comportement aussi grossier? En me levant, j’attrape mon sac et me dirige vers la porte en fulminant: “J’informerai les RH de vos propos, M. Fourreur. De quel droit pouvez-vous traiter ainsi une employée?”

“Je peux vous dire tout ce que je veux, Delphine, parce que si vous sortez maintenant par cette porte, la sécurité vous attend devant l’ascenseur et elle vous retiendra jusqu’à l’arrivée la police qui vous arrêtera pour détournement de fonds, abus de confiance, grivèlerie, etc …”

Je me fige, une main sur la poignée de la porte. Tout ce que j’ai à faire, c’est tourner la poignée et partir. Mais je ne peux pas. Je me retourne, M. Fourreur n’a pas changé de place avec ce sourire vicieux toujours plaqué sur son visage, et je sais qu’il me tient. Il a toute une équipe d’hommes de loi prêts à me découper en petits morceaux.

Il a fabriqué toutes les preuves nécessaires pour que je ne puisse plus sortir du piège dans lequel il m’a emprisonnée. Je sens ma volonté défaillir devant la perversité de ce monstre. Je ne peux rien faire pour sortir de cette situation et il le sait. À nouveau, sa voix cajole:

“Maintenant, sois raisonnable, reviens t’asseoir ici, pour que nous puissions discuter de ce que tu devras faire pour garder ton travail.”

Désespérée, j’essaye de reprendre un peu de contrôle, je m’éloigne de la porte sans revenir m’asseoir.

“Qu’avez-vous à me dire, qu’on en finisse avec ça? Voulez-vous juste voir mes seins? Je ne suis pas surprise, un pervers comme vous n’en a probablement jamais vu dans la vraie vie ! Un homme, un vrai, ne se comporte pas avec les femmes comme le pervers asocial que vous êtes !”

À ma grande surprise, il commence à rire. Pas de colère sur son visage face à mes insultes, il reste juste là à rire de moi.

“Non, Delphine, je ne veux pas seulement voir tes seins. Mais si tu es si déterminée à aller au fond des choses, alors voici. Je te tiens maintenant, tu es mon jouet et j’ai tout ce dont j’ai besoin pour te faire enfermer pendant longtemps. Voilà pourquoi j’engage des bimbos blondasses comme toi, tu n’as aucune crédibilité. Personne ne croira ta version des faits, et surtout personne ne voudra te croire. Tu es beaucoup trop jolie, tous les mâles que tu croises n’ont qu’une idée en tête, te baiser. Avec ton physique, tu n’aurais jamais dû choisir comptabilité. Où ne jamais venir te jeter dans mes pattes. Maintenant tu m’appartiens et voilà ce que tu vas faire: tu vas devenir mon assistante personnelle, tu auras le bureau à côté du mien, tu m’apporteras le café quand je te sonnerai et tu passeras sous le bureau pour me sucer la bite pendant que je dégusterai mon café. Ensuite, quand tu m’auras bien sucé, tu me laisseras te baiser n’importe quel trou que je veux baiser, comme la bonne petite cochonne que tu es. Tu n’as aucun moyen de t’en sortir; personne ne te croira si tu racontes quoi que ce soit. J’ai les moyens de te traîner dans la boue et de briser ton ménage. Tu le sais, et c’est pourquoi tu vas déboutonner ton chemisier comme je te l’ai demandé, sortir tes seins de leur cage de dentelle, te mettre à genoux et ramper jusqu’à moi pour me sucer la bite. Est-ce que c’est parfaitement clair?”

Mon cerveau tournait dans le vide. Je n’ai aucun moyen d’empêcher cela. Il a absolument raison ! Je n’ai aucun pouvoir dans cette situation, et mon corps me trahit. Pendant qu’il m’humilie, qu’il me traîne plus bas que terre, et qu’il me soumet à sa volonté, je sens mon ventre trembler de désir et ma chatte s’humidifier.

Quand il m’a décrite toutes les façons kocaeli escort dont il veut m’utiliser, je me suis sentie rougir de honte tandis que mon corps espère, et attend de faire ce qu’il demande. Sans défense, je laisse tomber mon sac au sol, et mes mains commencent à déboutonner mon chemisier. M. Fourreur ne fais aucun geste et me regarde dégrafer mon chemisier, exposant mon soutien-gorge en dentelle blanche. Avant de continuer, je fais une dernière tentative pour me protéger.

“Si je fais ça … tout ce que vous voulez … si je suis votre assistante personnelle … et tout ce qui va avec … vous … promettez-vous de faire disparaître les accusations portées contre moi? Je suis une employée honnête et je jure n’avoir commis aucun acte répréhensible, je suis prête à vous le prouver. Promettez-moi de me protéger, que je ne serai pas congédiée ou arrêtée, et que mon mari ne saura jamais rien, jamais…”

En réponse, M. Fourreur déboutonne son pantalon, en tire une queue semi-raide, qu’il caresse distraitement en regardant ma poitrine.

“Je promets. Maintenant, sors tes nichons, à genoux et rampe jusqu’ici, salope. J’ai attendu assez longtemps pour ça.”

J’obtempère, d’abord sortir mes seins, puis tomber à genoux, enfin ramper vers lui, j’ai bien conscience de la façon dont mes seins se balancent sous moi, alors j’accentue un peu le balancement en tortillant des fesses. Levant les yeux vers mon suborneur, je décide de lui administrer une fellation dont il se souviendra longtemps.

J’humidifie mes lèvres avec le bout de ma langue en faisant monter ma salive. Avec sa bite à quelques centimètres de mon visage, j’augmente mon trouble en humant le parfum de mâle en rut qui émane de son sexe. Alors que je serre ma prise autour de son membre, je donne un premier coup de langue sur le gland violacé. J’examine son gland turgescent.

Quelques gouttes nacrées s’en échappent. Je n’y résiste pas. Je goûte par petites touches de ma langue gourmande la crête du gland tendu tandis qu’il me la pousse avec impatience. Hum… comme c’est bon ! C’est salé ! Ma langue trotte lentement autour du gland.

Sa queue m’excite à outrance tandis qu’il aspire à baiser ma bouche. Je sens mon corps s’embraser. Je suis chaude comme une chatte avide de son petit lait, et je le lape goulûment avec délectation. Puis je fais courir ma langue de haut en bas le long de la colonne de chair comme je le fais pour mon mari, avant d’engloutir sa viande d’un coup en m’écartelant la bouche.

Avec mes lèvres serrées, je le laisse profiter de l’humidité et de la chaleur de ma bouche autour de sa queue. Puis je commence à le sucer correctement. Aussi fière que je sois de mes compétences professionnelles, je suis tout aussi fière de mon aptitude de suceuse de bite et M. Fourreur commence à l’apprécier.

D’une main je serre doucement en massant ses boules. J’ai envie de me toucher la chatte, mais je suis entièrement absorbée par sa queue. Tellement absorbée que je n’ai pas vu M. Fourreur appuyer sur un bouton de son interphone pour appeler sa secrétaire.

Je m’arrête rapidement quand je l’entends entrer, seulement pour me rendre compte qu’elle tient un appareil photo dans ses mains, et que cette salope a le même sourire cynique qu’elle avait quand je suis arrivée. Une petite tape de mon patron derrière ma tête me ramène à mon ouvrage, tandis que sa secrétaire nous tourne autour, prenant des clichés de ma fellation sous tous les angles.

Ma libido reprend le dessus et bientôt j’oublie l’autre salope de secrétaire. J’ai envie qu’il me gicle dans la bouche. Cette idée me submerge et m’enflamme. Alors, je me mets à le pomper en cadence. Je m’enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J’en bave.

Agrippant fermement sa queue à la base pour le contrôler, retenant mon souffle, je me soulève légèrement pour aligner ma gorge avec son érection et soulager ma bouche, résistant au besoin instinctif de bâillonner. Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Je l’enfonce jusqu’à l’étouffement.

Elle m’excite; ça me rend folle. Je le pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas. Le gland glisse dans ma gorge et mes lèvres touchent son pubis humide. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m’active avec détermination et application.

Je peux sentir qu’il est sur le point de jouir, et tout ce que je peux faire, c’est espérer qu’il finira avant que je meure du manque d’oxygène. Il râle, ses mains s’accrochent dans ma chevelure, et il décharge de long jets de sperme au fond de ma bouche.

Animé de spasmes, il n’en finit pas d’inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide saumâtre et visqueux. Il faut que j’avale tout de lui. Sa charge est énorme, et je fais de mon mieux pour tout avaler, mais je peux sentir que ça déborde au-delà de mes lèvres, coulant vers mon konya escort menton et ma poitrine.

Maintenant repu, M. Fourreur se retire de ma bouche et range son outil dans son pantalon, d’un geste congédie sa secrétaire, et retourne s’asseoir à son bureau, me laissant à genoux sur le sol, avec ma bouche et ma poitrine dégoulinantes de sperme.

“Tu peux rentrer chez toi, maintenant, Delphine. Lundi matin, à 7H30, tu embaucheras dans le bureau voisin du mien. Puisque tu as passé avec succès ton test d’aptitude, tu recevras une augmentation. Mes félicitations pour ta promotion.”

Sans un autre mot, je me rhabille et rassemble mes affaires. Visiblement, dans sa bouche, c’est un compliment. Et je n’en aurai pas d’autre. Vivement lundi qu’il me baise, ce vieux pervers.

Lundi matin, 7H30 pétantes, je me suis présentée devant mon patron, toute fraîche, et pleine de bonnes intentions. J’avais bien réfléchi pendant le week-end aux possibilités de promotion qu’il me proposait, et je voulais sortir mon couple de la galère financière.

Il s’est levé pour m’accueillir, m’a embrassée en me pelotant et m’a entraînée dans le bureau voisin du sien. Surprise, ce fameux bureau voisin était en fait un lieu de repos, équipé d’une couchette et d’un cabinet de toilettes.

Mon patron s’est effacé pour me laisser entrer la première, il a profité de mon hésitation sur le pas de la porte pour me caresser les fesses en me propulsant à l’intérieur. Il n’a pas perdu de temps en vain cérémonial pour se dénuder le bas du corps, pantalon et slip. Après tout, on était là pour baiser, n’est-ce pas?

Je l’ai imité aussitôt. J’avais soigné la présentation de mes dessous, avec un ensemble coordonné, soutien- gorge à balconnet, minuscule culotte, et bas retenus par des porte-jarretelles. Dessus, une simple robe portefeuille, facile à dégrafer et rapide à ôter.

Mon expérience de vendredi m’avait apprise qu’il était capable de produire une importante quantité de sperme, et je n’avais pas beaucoup de tenues de rechange. D’ailleurs, j’avais eu beaucoup de mal à ravoir mon chemisier taché de foutre. Mon patron s’est installé, jambes écartées, dans un profond fauteuil, en disant :

«Approche, Delphine !»

J’ai saisi un coussin qui traînait sur la banquette-lit, je l’ai jeté à ses pieds, et je me suis agenouillée dessus. Son sexe est au repos. Je le saisi, décalotte le gland, et le prend en bouche immédiatement. Je fais ça avec mon mari, j’adore le sentir grandir dans ma bouche.

Je le garde simplement en bouche, et je le caresse en passant mes mains sur ses cuisses, son ventre. À ce moment, il commence à grossir dans ma bouche, je lui masse les bourses. Quand il devient trop gros, je le tête bruyamment en salivant généreusement. Mon mari adore cela. Les hommes fonctionnent tous de la même façon, j’applique la même technique sur mon patron, qui me confirme son contentement en respirant fort, et en appuyant sur ma nuque pour me maintenir en place.

Quelques minutes à peine, et il me repousse : «Stop, je ne vais pas tenir longtemps dans une bouche pareille !»

Il m’a penchée en avant sur la couchette, le ventre collé à mes fesses. Avant qu’il ne me pénètre, je lui ai présenté le préservatif que j’avais préparé, mais il a fait une drôle de tête et il a refusé. Selon lui, les vrais mâles n’acceptent pas d’utiliser cet artifice avec les femmes mariées, c’est à la femme de s’organiser. Il m’a dit que je pouvais encore renoncer à ma promotion, mais j’étais excitée maintenant, et je lui ai cédé.

Je lui ai juste fait promettre de se retirer au moment fatidique, et il a promis. Il m’a prise en levrette, agenouillée sur le lit, le visage enfoui dans les coussins pour étouffer mes hurlements. D’abord, il est plus gros que mon mari, ensuite il m’a pénétrée sans ménagement.

Je n’avais pas prévu cette entrée sauvage, je n’avais pas fait le nécessaire, mais cette façon de procéder, à la hussarde, m’a rapidement conquise. Je me suis conformée à qu’il attendait de moi, remuant des hanches en cadence, respirant fort en poussant de petits cris pour l’encourager.

Au moment où il m’a avertie qu’il allait se retirer, j’étais si proche de finir que je n’ai pas voulu. Je l’ai gardé en moi, et son orgasme a déclenché le mien. Vidée, je me suis effondrée sur le lit, pendant qu’il se rajustait.

À ce moment, sa secrétaire est entrée dans la pièce, a ouvert un placard avec une clé qu’elle portait autour du coup, farfouilla à l’intérieur, récupèra une clé USB qu’elle montra au patron.

«Je réalise le montage et je vous apporte le résultat pour le visionner ensemble.» Et elle s’éclipse.

Mon patron me montre les différentes mini-caméras dissimulées dans le décor : «Au cas où, si tu n’avais pas oublié toute tentative de porter plainte. Allez, Delphine, tu ne vas pas rester vautrée ici toute la journée. Au travail, va rejoindre ma secrétaire, elle te dira quoi faire.»

La secrétaire œuvrait dans le fond de son vaste bureau, dissimulée derrière un paravent, occupée à monter le film qu’elle voulait projeter au patron. Je me suis adressée à elle pour savoir quelle tâche me revenait. De son ton narquois et goguenard, elle m’a lancé :

«Prends ma place, réponds au téléphone et trie les dossiers qui sont sur mon bureau.»

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La nouvelle vie de Christine Ch. 24

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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur “MILowner”

************************

Je vais avancer un peu dans le temps pour arriver un petit peu avant le quarantième anniversaire de Christine. Au cours des derniers mois, nous avions eu une routine bien huilée. Ma belle-mère était sexuellement complétement sous mon contrôle. Mais je ne lui avais jamais imposé de situation où elle ne pouvait pas satisfaire les bites qui se présentaient.

Elle était employée en tant que « faciliteuse de contrat » et elle faisait un travail exceptionnel. Son compte en banque était bien rempli, comme le mien. Si bien que je ne travaillais pas.

Nous continuions à rencontrer Claude RINCLOT et les autres enseignants une fois par mois, ainsi que Paul GREUCORE, Adam BEAUMONT et Jean VANNIER sur une base mensuelle aussi.

J’avais dû refuser plusieurs offres d’autres hommes qui voulaient la baiser. Mais de pas de sexe du tout elle était passée à quarante bites différentes dans ses trous. Elle commençait à fatiguer et donc je limitai ses ébats pour pouvoir en profiter moi-même.

Ce fut un mois avant son anniversaire que je reçus un appel de ma petite amie, la fille ainée de Christine. Elle m’informa qu’on lui avait proposé un poste permanent à l’étranger et qu’elle avait rencontré quelqu’un d’autre. Elle ne rentrerait pas chez elle de longtemps. Aujourd’hui, ça ne me dérangeait pas car je ne l’avais vu que deux ou trois fois en deux ans et sa mère était suffisante pour mes besoins. Donc je luis dis de profiter de sa carrière et adieu.

Ce que je ne savais pas ou plutôt à quoi je n’avais pas pensé jusqu’à ce que j’entende Alain le mari de Christine l’engueuler un soir, c’est que mon ancienne copine avait aussi averti ses parents que nous n’étions plus ensemble. Cela risquait de me poser des problèmes d’hébergement. J’entendis un soir Alain, saoul comme d’habitude, engueuler encore sa femme et lui dire de me foutre dehors. Je savais qu’il se conduisait comme une brute quand il était saoul mais c’était une vraie poule mouillée dans son état normal et surtout un gros fainéant.

Ce fut deux jours plus tard, après qu’Alain soit sorti boire, après que sa fille Alice soit partie avec son petit copain Rick et qu’après m’être vidé dans sa chatte, Christine me répéta ce que lui avait dit son mari :

– Maître, Alain dit que vous devez partir de la maison maintenant que notre fille n’est plus votre petite amie.

J’avais déjà pensé longuement et sérieusement à ce que je devais faire depuis que j’avais entendu Alain. Je n’étais pas prêt à volontairement abandonner ma soumise. D’autre part je ne pouvais pas l’emmener car elle n’aurait pas voulu abandonner sa fille Alice. Même si elle m’était soumise sexuellement, elle tenait à sa fille. Donc j’avais décidé que je resterai et que ce serait Alain qui partirait. Je devais tout faire pour ça et je comptais bien passer à l’acte le jour du quarantième anniversaire de Christine. Je lui répondis :

– Je vais rester jusqu’à ton putain d’anniversaire. Et après je verrai.

Christine dit à Alain que je devais partir après son anniversaire. Il ne m’en parla jamais d’ailleurs.

Le jour de l’anniversaire de Christine, nous sommes tous dans la salle des fêtes local : son mari, Alice, moi, sa famille et ses amis. Même Adam BEAUMONT a été invité par Alice. Alors que la fête bat son plein, je demande même à ma belle-mère de monter à l’étage avec lui et de le sucer rapidement.

Une fois que la fête est terminée, vers une heure du matin, tout le monde est parti. Il ne reste qu’Alain, Christine et moi. Alors que nous allons partir, Alain marmonne qu’il va au bar pas bien loin. Et même s’il peut à peine marcher, il est évident qu’il n’en a pas eu assez. Je me dirige donc vers la maison seul avec Christine qui n’est pas très assurée sur ses jambes. Alors je la tiens et passe les quinze minutes de marche à tripoter ses seins et son cul.

A la maison, un peu ivre, Christine titube vers l’escalier qui monte à l’étage mais je la retiens par le bras.

– Tu ne crois pas salope qu’il est temps d’une baise d’anniversaire.

– Hips… Nous ne pouvons pas… Hips… Mon mari va revenir… Dit-elle d’une voix empâtée tout en vacillant sur eskişehir escort ses talons hauts.

– Je veux qu’il revienne salope, car après ce soir il saura que tu es ma pute. Dis-je en la tirant jusqu’à moi.

Je passe mes mains derrière elle et je les pose sur son cul.

– Non, nous ne pouvons pas… S’il vous plaît. Gémit-elle.

Mais elle ne lutte pas et ne résiste pas quand je fais remonter sa jupe autour de sa taille.

– Il n’est pas question que je quitte cette maison. Je t’ai toujours dit qu’un jour il saurait que sa femme est une pute, ma pute. Et ça arrivera ce soir salope.

Je la repousse légèrement pour pouvoir déboutonner son chemisier serré sur ses jolis seins moulés dans un soutien-gorge à balconnet.

Encore une fois, elle ne résiste pas même si elle proteste faiblement sur ce que nous ne pouvons pas faire. L’alcool a ralenti son processus de pensée et elle semble avoir du mal à comprendre ce que je vais faire ce soir. Bien que soumise je sais que si elle avait été sobre, elle aurait protesté beaucoup plus.

De l’avoir enivrée était une bonne idée car ça allait me faciliter les choses pour gérer Alain.

Je finis de déboutonner son chemisier, je lui enlève et je le jette sur le sol en direction de la cuisine, sur la route du retour du mari. Peut-être que les vêtements de sa femme éparpillés un peu partout de la maison l’alerteront sur la situation mais je pense qu’il faudra qu’il me voie baiser son épouse. J’enlève le soutien-gorge puis je continue avec la jupe. Christine se tient devant moi en talons hauts, bas et slip de dentelle noire que j’avais acheté pour son anniversaire.

– Viens t’occuper de ma bite salope et suce-moi pour ton anniversaire. Dis-je en m’asseyant sur le bras du canapé.

Encore une fois, elle ne proteste pas à part un faible marmonnement qui n’a pas beaucoup de sens. Je me suis assis de façon qu’elle soit obligée de tourner autour de moi et tourner le dos à l’entrée de la maison par où doit passer Alain. Maladroitement elle tâtonne sur les boutons de mon jean. Manifestement la boisson a altéré sa vue et son toucher. Finalement elle arrive à déboutonner mon jean et à le baisser ainsi que mon boxer sur mes chevilles.

– Enlève mes chaussures ainsi que mon jean et mon caleçon. Et fais ça bien salope!

Elle ne répond rien. Je pense que Christine a oublié qu’Alain allait revenir, ou alors elle a accepté la situation ce qui va rendre ce qui va se passer beaucoup plus facile.

Une fois que mon jean et mon caleçon sont enlevés, je les jette vers la porte où un chemisier et une jupe sont déjà. Ces vêtements éparpillés devraient avertir Alain sur l’adultère de sa femme. Sans rien dire Christine lève ma bite molle et la met dans sa bouche humide et familière. Elle engloutit ma queue, laissant du rouge à lèvre sur ma peau. Instantanément, mon membre commence à grossir dans sa bouche et sa tête commence à monter et descendre sur ma bite qui grossit de plus en plus comme elle l’a déjà fait des centaines de fois ces derniers mois.

J’apprécie sa bouche sur ma bite tout autant que la première fois dans ma chambre où sa curiosité a eu raison d’elle. Son besoin, son envie de queue après de longues années d’abstinence l’ont amenée à mon chevet et sa bouche de femme mariée sur mon membre. Elle pompe ma queue avec expérience et la traite comme s’il s’agissait de mon anniversaire et non le sien. Elle ne bronche même pas lorsque on entend une clé dans la porte, signifiant que le mari revient.

– Ecarte ta culotte et caresse ta chatte! Ordonné-je.

Comme une bonne soumise, sa main gauche quitte ma hanche pour aller entre ses jambes. Elle ouvre ses cuisses plus largement et met des doigts dans son vagin tout en caressant son clitoris.

Quand elle entend la porte s’ouvrir et Alain entrer, un regard horrifié s’affiche sur le visage de Christine. Mais elle ne bouge pas. Je ne sais pas si c’est son amour d’être ma pute ou si elle est trop imbibée d’alcool. Je luis dis :

– Suce ma bite!

Docilement elle scelle son destin ainsi que celui d’Alain.

La porte claque derrière lui et je le vois tituber et buter contre la cadre de la porte alors qu’il cherche son chemin jusqu’à son lit. Il enregistre brièvement les vêtements sur le plancher et se dirige maladroitement vers nous, la tête baissée. Mon estomac est noué dans l’attente gaziantep escort de ce qui va se passer.

Alain lève les yeux. Son regard vitreux rencontre le mien. Il vacille et s’accroche au mur en essayant de se concentrer. Christine, sa femme, mon ex belle-mère suce avidement ma bite, sa main entre ses jambes en train de s’activer sur sa chatte, ma propriété, pas celle d’Alain.

Son visage change d’expression. Il essaie de dire quelque chose mais seul un grognement sort de sa bouche. Il chancèle vers moi et balance son bras dans un mouvement très mou, le poing fermé. Mais lorsqu’il m’approche, je ne bouge pas et tiens la tête de Christine sur ma bite avec ma main gauche. Puis je donne une grande claque dans le visage d’Alain ce qui l’envoie en arrière sur la chaise dans un coin de la pièce.

– Assis toi vieil homme! Dis-je.

Il finit par se relever et essaie de nouveau de balancer son poing dans ma direction. Mais comme il ne tient pas en équilibre, je n’ai pas de mal à le claquer à nouveau pour le renvoyer sur la chaise. Cette fois, il ne bouge plus, ivre, fatigué et vaincu. Il le sait aussi bien que moi, il ne peut pas arrêter ce qui se passe. Alors il tente de se concentrer sur la vue de sa femme me suçant la bite.

– Tout ça c’est de ta faute Alain. Si tu avais porté un peu plus d’attention à ta femme elle ne m’aurait pas imploré de voir ma bite. Dis-je en me penchant en arrière en mettant mes coudes sur le bras du canapé.

Christine continue de me sucer tout en se masturbant. Je lui demande :

– Salope, depuis combien de temps ton mari ne t’a pas touché?

Elle arrête de me sucer, lève la tête et me regarde avec ses grands yeux bruns puis me dit :

– Neuf ans Maître!

Puis elle revient à sa fellation.

– Neuf ans Alain, tu devrais avoir honte de toi. Elle a passé ces derniers mois à réclamer ma queue. Dis-je en me moquant de lui.

– Salope! Crache-t-il en colère.

Mais il n’essaie pas de se lever et de m’attaquer à nouveau. Il sait que c’est inutile dans son état actuel. Et j’espérai presque qu’il essaie demain matin quand il serait sobre car j’étais prêt à lui mettre la pâtée.

Je retourne à Christine et je regarde sa tête monter et descendre sur mon membre épais. A ce moment je me sens fort et je sais que je contrôle tout. Je suis si excité que je dis :

– Suce bien ma bite devant ton mari pathétique affalé dans sa chaise.

Je ne peux pas m’empêcher de lancer des paroles pour humilier Alain.

– Montre à ton mari comment tu as été en manque. Suce moi bien Christine.

Puis pour Alain :

– Tu vois Alain, c’est ce que tu aurais dû faire avec elle et elle n’aurait pas eu besoin de sucer la mienne.

Je me mets à rire de la situation.

– Salaud, va te faire enculer! Dit Alain d’une voix pâteuse, toujours cloué sur sa chaise.

Après cinq minutes de merveilleuse fellation, je soulève Christine et je l’attire vers moi pour un baiser ou nous enroulons nos deux langues. Elle se laisse aller, les yeux vitreux. Je sais qu’elle ne se soucie plus de la présence de son mari. Elle est à moi pour toujours. Je pince ses mamelons qui sont déjà dressés et tout durs. Puis elle se tourne et fait face à Alain. Ensuite elle fait une chose qui me prouve qu’elle est vraiment à moi et qui me prend par surprise. Elle regarde son mari et lui dit :

– Espèce de vieil ivrogne, tu vas me regarder baiser une vraie bite.

Je ne peux en croire mes oreilles et ma bite prend presque 5 centimètres de plus quand elle humilie ainsi son mari. Je décide de renchérir sur l’humiliation d’Alain. Je dis à ma soumise :

– Penche toi et enlève ta culotte salope!

Sa réponse fut comme une musique à mes oreilles. Elle se penche en avant et met ses mains sur l’élastique de sa culotte en disant :

– Oui Maître.

Je vois tressaillir Alain à cette réponse et un autre juron quitte sa bouche.

Christine descend sa petite culotte. Je me lèche les lèvres à la vue de son petit trou du cul bien rasé. Quand la petite culotte arrive aux chevilles, je peux voir qu’elle est trempée du jus de sa chatte. Je me penche derrière elle après avoir fait un clin d’œil à Alain. Puis j’écarte ses fesses autant que possible, j’ouvre ses petites lèvres et j’enfouis mon visage dans son entrejambe. Avec ma langue je localise très vite son clitoris.

giresun escort OOOOHHHH OOOUIiiii, c’est ce que je veux. Crie Christine de joie.

Je mange sa chatte comme je l’ai fait quelques mois plus tôt. Je me régale, appréciant chaque centimètre de son petit clito gonflé qui sort de sa cachette pour m’indiquer le désir de sa propriétaire.

– OHHHHH, OHHHH, n’arrêtez pas, je vais jouir. S’il vous plaît faites-moi jouir devant mon mari. Demande-t-elle, continuant d’humilier son mari.

Puis elle glapit :

– OOOOOOHHHHHH…OOOOOUUUUIIIIIIIII JE JOUIS, Arggggghhh, ouiiiiiiiii…

Elle pousse son cul en arrière, clouant mon visage au canapé pendant qu’elle se perd dans son orgasme et que son jus couvre ma figure.

Je la repousse et je lui dis de se pencher tout en gardant sa chatte ouverte, ce qu’elle fait en posant ses deux mains sur son cul. Je regarde Alain qui semble réfléchir mais qui a encore les yeux d’un ivrogne.

– Voilà comment ta femme aurait aimé que tu t’occupes de sa chatte durant ces dernières années. Elle s’est tournée vers moi et la chatte de ta femme est la chose la plus douce que je n’ai jamais goûté. Lui-dis-je en riant.

Je reporte mon attention sur sa femme et ma pute à laquelle je dis :

– Si tu veux de la bite tu vas devoir venir la chercher. Montre à Alain que tu as envie de queues. Je ne vais pas te baiser, c’est toi qui me baiseras.

J’écarte mes jambes et me rassoit sur le bras du canapé.

Christine se traine sur ses talons, sa culotte emmêlées autour de ses chevilles, les mains toujours sur ses fesses pour les écarter. Elle se rapproche de moi puis frotte son cul contre ma queue, recherchant mon gland avec sa chatte. Finalement et comme d’habitude elle trouve. Elle commence à pousser afin que ma bite écarte ses petites lèvres. Puis elle s’arrête, regarde son mari et sourit :

– Regarde à quel point j’aime sa queue. Dit-elle.

Elle se laisse tomber sur ma bite qui la remplit complétement. Elle laisse échapper un de ses longs gémissements dont je suis familier et qui ne m’ont jamais ennuyé.

Comme une bonne pute, elle me baise. Elle se balance et sa chatte humide coulisse le long de mon membre encore et encore. A chaque fois elle s’empale sur ma bite pour s’assurer que toute la longueur la pénètre bien. Au bout de six ou sept minutes elle jouit. Elle s’assoit sur ma queue, jette la tête en arrière et crie de plaisir. Elle déclare son amour pour mon gros membre.

Elle a prouvé combien elle aime mon sexe et elle a prouvé que son mari ne l’intéresse plus du tout. Je me relève et je la pousse sur le canapé en lui demandant de bien écarter les jambes. Je ne perds pas de temps et j’enfourne ma bite dans sa chatte d’une moiteur impressionnante. Je la ramone avec puissance, m’enterrant profondément en elle. Je regarde par-dessus mon épaule Alain qui est toujours assis sur sa chaise à nous regarder. Puis nous ne faisons plus attention à lui et, les vingt prochaines minutes je culbute sa femme dans toutes les positions possibles.

Il la regarde jouir une troisième et quatrième fois. Et comme elle a permis sa chatte mariée de se faire baiser devant les yeux de son mari, elle ajoute encore à l’humiliation d’Alain en disant, lorsque je lui dis que je vais jouir :

– Remplissez ma chatte mariée de votre sperme Maître, donnez-moi votre foutre chaud.

Je ralentis mes coups de reins quand je sens que ma sève monte dans ma queue. Puis j’éjacule en elle une grosse quantité de sperme avant de sortir ma bite et finir de gicler sur son corps.

Nous prenons une ou deux minutes pour récupérer. Puis je me lève et je marche lentement vers Alain, lui permettant ainsi de regarder ma queue encore mi raide et couverte du jus de sa femme.

– Je vais au lit avec ta femme Alain. A partir d’aujourd’hui je partage son lit. Tu peux prendre le mien ou le canapé comme tu préfères.

Je regarde Christine qui est toujours assise sur le canapé, mon sperme mélangé au jus de sa chatte coulant sur les coussins puis sur le sol. Je rajoute :

– Peut-être que tu préfèreras le lit Alain, il semble que nous ayons un peu Sali le canapé. Désolé.

Je ris et je demande à Christine de me suivre à l’étage. Comme une bonne pute, elle me suit et nous partons en laissant Alain en bas. Nous nous couchons dans le lit du couple pour la première fois. Et alors que nous dérivons lentement vers le sommeil, nous entendons Alain trébucher dans les escaliers et aller dans mon ancienne chambre.

Je suis content de moi. J’ai montré à Alain quelle pute était devenue sa femme. Et à nous deux, nous avons assez d’argent pour lui payer à boire tant qu’il le veut.

A suivre…

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Le Club – Partie 31

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Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d’elles à chaque fois qu’il le désire.

Gwendoline hatay escort Blouse, 18 ans, sans profession, Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, et Savannah Elliott, 26 ans, Médecin urgentiste, trois jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Angel tirait Christine dans le couloir de sa villa. La jeune femme, soumise, résistait à peine à la volonté du maître des lieux en dépit du fait qu’elle était bien consciente du sort funeste qui l’attendait. Derrière eux, le géant Shemar Morgan les suivait à moins de deux mètres.

Le trio arriva dans la chambre d’Angel et ce dernier projeta la soubrette sur le lit. La jeune femme atterrit sur le ventre au dessus des draps en soie. Le souffle coupé, elle tenta de se redresser mais Angel la contraignit à rester à plat ventre.

– Mon cher Morgan, fit-il. Ouvrez donc l’armoire à votre droite.

Le policier interrégional se tourna sur sa droite et ouvrit les deux portes d’une grande armoire en chêne. A l’intérieur, il trouva le parfait attirail du petit sadique avec notamment un grand échantillon de fouets et martinets en cuir. Sans attendre les consignes d’Angel, Morgan s’empara de l’un des martinets dont les lanières en cuirs lui parurent particulièrement coupantes. Il s’approcha alors du couple ; Angel maintenait toujours Christine le ventre plaqué contre le lit. Inconsciemment, la jeune femme tendait les fesses comme une offrande à la punition qui s’annonçait.

– Cette petite salope a osé remettre en cause mon autorité, déclara Angel. Il est temps de lui rappeler où est sa place. Allez, mon cher!

Un sourire mauvais se dessina sur le visage de Morgan et il leva le bras. Quand il le rebattit, les lanières du martinet claquèrent brutalement sur la chair nue des fesses de Christine. Morgan était particulièrement musclé et sa force se répercuta dans le coup qu’il venait de porter. Sous l’effet de la douleur, Christine se libéra un peu de la gangue d’Angel pour pousser un cri de douleur. Morgan ne se formalisa pas de cette réaction et frappa à nouveau la directrice du foyer. Les lanières en cuirs pénétrèrent sa chair, laissant des marques rouges. Au troisième coup, le sang de Christine macula le martinet mais Morgan vit au regard d’Angel qu’il n’était pas satisfait. Au quatrième coup, les cris de Christine se transformèrent en pleurs désespérés et elle se mit à supplier ses tourmenteurs.

– Pitié! Assez! Je ferais tout ce que vous voudrez.

– Mais je n’en doute pas, lui rétorqua Angel. Et quand nous en aurons fini avec toi, tu n’auras même plus l’idée de me désobéir même pour l’autre conne qui te bouffe la chatte.

Angel se déplaça un peu et Morgan comprit qu’il désirait qu’il change de cible. Son coup suivant porta sur les reins de la suppliciée qui réagit comme si elle venait de recevoir une décharge électrique de 10 000 V. Elle se redressa et voulut s’échapper mais Angel pesa de tout son poids sur elle et elle dut s’avouer vaincue. Morgan frappa encore et encore et au fur et à mesure la résistance de la jeune femme s’atténuait.

Finalement Angel parut satisfait mais le prix payé par Christine était exorbitant. Tout l’arrière de son corps était zébré des marques de coups qu’elle avait reçus et les draps étaient maculés de son sang mais aussi de ses larmes et de son urine car elle s’était pissée dessus sous l’effet de la douleur. Angel s’allongea à côté d’elle et se mit à lui caresser la nuque comme il l’aurait fait avec un chien.

– Maintenant tu as parfaitement compris, n’est-ce pas?

Incapable de parler, elle se contenta de hocher la tête en guise d’approbation mais cette réponse ne suffit pas à son tortionnaire. Il lui expédia une claque sur les fesses. La force du coup fut décuplée par le contact sur les chairs à vifs et elle hurla une nouvelle fois.

– Je veux t’entendre, chienne! Tonna-t-il.

– J’ai compris la leçon, maître! Souffla-t-elle entre deux respirations rauques.

– Compris quoi?

– Que vous êtes le maître et que seule votre volonté compte! Je ne dois jamais remettre en cause vos ordres.

– Parfait!

Angel s’allongea alors sur le dos et fixa Morgan qui tenait toujours le martinet. ığdır escort Le policier semblait presque aussi épuisé que la soubrette et l’homme d’affaire comprit qu’il s’était vraiment déchaîné et il en éprouva une grande satisfaction. Cette petite séance avait bien plus eu pour but de tester cet inconnu que de réellement faire payer Christine. Si Angel avait décelé la moindre hésitation chez lui, il aurait immédiatement annulé l’opération et se serait débarrassé de lui.

– Mon cher ami, fit-il. Cette chienne est chaude comme la braise et je pense que cette petite punition a dû vous échauffer vous aussi alors …

Morgan sourit et fit tomber son pantalon sur ses chevilles. L’érection qu’il afficha rassura Angel : Morgan avait bel et bien pris du plaisir à torturer cette jeune femme innocente. Il était bel et bien fait du même bois que les autres membres du Club.

Morgan semblait bien loin de ces considérations : il ne pensait qu’à son plaisir. Il s’allongea sur la jeune femme toujours couchée sur le ventre. La masse imposante du policier vint peser sur les plaies ouvertes de la soubrette qui sentit de nouvelles vagues de douleurs diffuser dans tout son corps déjà affreusement meurtri. Totalement prisonnière, elle ne put cependant pas échapper à ce nouveau supplice imposé par cet inconnu qui se glissa entre ses cuisses. Rompue aux jeux sadiques d’Angel, elle savait que sa seule échappatoire passait pas une docilité totale en dépit des souffrances qu’on lui imposait ; sa résistance conduirait immanquablement à des punitions encore pire. Elle écarta donc les jambes et sentit immédiatement le sexe de Morgan s’insinuer en elle avec une douceur qui la surprit. Cependant, il ne tarda pas à la pistonner et la friction de son corps sur les plaies de Christine la fit hurler de plus belle.

Angel observait cette scène avec un ravissement absolu. Morgan apparaissait comme une recrue idéale pour le Club : sadique et sans aucun remord.

CHAPITRE 2

La Bolivie était bien éloignée de la résidence de David Angel mais si on considérait la villa qui se nichait dans cette région montagneuse de la cordillère des Andes, on lui trouverait de grandes similitudes avec la forteresse que l’homme d’affaire psychopathe s’était bâtie à Lilleland. Il fallait dire que la paranoïa de son propriétaire valait au moins celle d’Angel bien que dans ce cas, elle ne s’attachait pas uniquement à sa petite personne. Cet immense bâtiment entouré d’une véritable muraille blanche de plus de 10 mètres de haut perdu dans un endroit désert avait été construite dans le seul but de protéger une personne : Martina Ivanova, la femme de Thomas Serfati.

Chargée de veiller sur ce lieu, Lorna Watts s’affairait dans la salle de contrôle dans le silence de cette grande maison. Soudain, une alarme l’alerta et elle dut abandonner à contrecœur sa tâche précédente pour se tourner vers les écrans qui transmettaient les informations des capteurs situés dans les environs de la résidence. Rapidement, elle constata avec nervosité que des intrus avaient envahi l’espace de sécurité de la résidence. Les capteurs thermiques dénombrèrent au moins une demi-douzaine de points avant de rendre l’âme les uns après les autres. En professionnelles, elle comprit que les intrus détruisaient les détecteurs capables de fournir des informations aux défenseurs de la villa. Elle se crispa car cela signifiait qu’elle n’avait certainement pas affaire à des amateurs. Elle oublia le système de surveillance extérieur pour se concentrer sur les défenses en se tournant vers une console de commande et y taper un code de sécurité. Un signal lui confirma que son ordre était passé. Elle revint aux écrans des caméras infrarouges situées dans la muraille pour voir apparaître trois silhouettes vêtues de noir prés du mur nord. Elle sourit quand ils voulurent tenter l’ascension en pensant à la surprise qu’elle venait de leur réserver.

CHAPITRE 3

Marie-Pierre vit les trois hommes qu’elle avait lancés à l’assaut de la muraille de la résidence s’écrouler. Elle grimaça en comprenant que cette muraille était piégée en plus d’être élevée.

– Elle est électrifiée, constata son second dubitatif. Mais comment?

Marie-Pierre ne répondit pas à sa question car ce n’était pas le moment. Elle savait seulement qu’un tel système de sécurité avait coûté une véritable fortune.

– Ils ont trouvé la porte d’entrée, annonça son second.

« Enfin une bonne nouvelle. » Pensa-t-elle.

Quand ils arrivèrent devant cette grande porte blindée, ils trouvèrent deux commandos en train de travailler sur le boîtier à code qui en commandait l’ouverture. Marie-Pierre les laissa continuer mais décida de prendre l’initiative de faire sonner l’interphone. Pendant un long moment, son appel resta sans réponse puis finalement l’écran s’alluma pour faire apparaître le visage d’une femme rousse qu’elle reconnut.

– Bonsoir Lorna Watts, fit Marie-Pierre. Cela faisait longtemps.

– Oui, avoua Paula. Depuis que j’ai quitté le réseau en fait. Que voulez-vous ısparta escort Marie-Pierre Pomi?

– Vous le savez bien, je viens récupérer Martina Ivanova.

– Il se trouve que j’ai été chargée de sa garde et il est hors de question que je déçoive celui qui m’a confié cette mission.

– Et moi, il est hors de question que je déçoive celui qui m’a chargé de lui ramener Martina.

– Alors nous avons un problème.

– Ne pouvons-nous pas trouver un terrain d’entente?

Pour toute réponse, Lorna coupa la communication et Marie-Pierre jura. Elle aurait tellement aimé que son opération se passe en douceur mais la seule présence de Lorna Watts consistait un écueil dangereux. Lorna avait fait partie des commandos du réseau pendant des années notamment durant la guerre interne et elle allait être difficile à se circonvenir. Elle se tourna vers les deux hommes qui travaillaient sur le boîtier de commande.

– Ouvrez-moi cette porte, tout de suite! Ordonna-t-elle.

L’impression d’urgence qui l’occupait depuis que ce maudit coup de téléphone la rendait folle mais elle était incapable de se contrôler et elle savait qu’elle ne réussirait à retrouver son calme que quand elle aurait atteint son but : retrouver Martina Ivanova.

CHAPITRE 4

Laroquette se sentait comme un enfant dans un magasin de bonbons. Depuis quelques jours, les résultats du conditionnement de ses petites élèves avaient dépassé toutes ses espérances. Il pouvait désormais choisir au grès de ses envies laquelle de ses étudiantes aurait l’honneur de passer un moment « privilégié » avec lui. Il avait pu goûter à l’antre d’amour si accueillant de Barbara Bava seulement deux nuits après avoir dépucelé la superbe Marlène Lac ; Emeline Forgue n’avait résisté que trois jours supplémentaires et Marina Calvo était tombée la semaine suivante. Il avait aussi eu l’extase de connaître un nouveau dépucelage avec la jeune Marie Hurtis mais il avait gardé le meilleur pour la fin. Il sortait tout juste de la chambre d’Ania Torra avec laquelle il venait de passer une semaine entière à lui faire découvrir tous les plaisirs de la soumission totale. Il avait adoré assister à la métamorphose de cette apprentie artiste en une parfaite petite poupée prête à assouvir tous ses désirs.

Cependant, toutes ces nuits passées avec toutes ces jeunes filles en fleur devenues ses jouets sexuels ne le satisfaisaient pas encore totalement car il manquait encore une pièce à sa collection, la plus tentante, et il comptait bien s’en emparer dès ce soir.

Il entra dans la chambre de Carla-Magdalena Mola et la trouva en plein travail, preuve d’un changement de comportement patent. Elle se trouvait assise à son ordinateur de travail sous la surveillance de Sonia Ordoz, chargée de son tutorat. Cette dernière tourna la tête vers lui et il fut comblé par le regard de peur et de haine qu’elle lui jeta. De toutes ses jeunes esclaves, Sonia était la seule à ne pas être soumise à un conditionnement quelconque ; elle conservait donc encore son libre arbitre et ne cachait pas son animosité envers lui. Il trouvait cette preuve de défi amusante car totalement vaine puisqu’en dépit de cette petite pointe de volonté supplémentaire, Sonia exécutait ses moindres volontés. Il s’approcha des deux jeunes filles en faisant mine de s’intéresser au document sur lequel elles étaient en train de travailler.

– Notre jeune fille rebelle a-t-elle révisé sa copie? Demanda-t-il à l’intention de Sonia.

– Oui, elle…

– Je peux répondre moi-même, s’insurgea Carla-Magdalena en quittant sa chaise.

– Je ne vous ai pas parlé jeune fille, lui rétorqua Laroquette.

Il la fixa droit dans les yeux. Son regard bleu azur se plongea dans celui vert de la jeune fille. L’affrontement dura de longues secondes durant lesquelles, Carla-Magdalena refusa de rendre les armes devant sa volonté et il craignit de ne pas réussir à s’imposer à elle. Puis, ce fut comme un déclic, Carla-Magdalena baissa les yeux pour fixer ses pieds, visiblement honteuse. Laroquette triompha intérieurement : il s’agissait d’une victoire fragile mais d’une victoire tout de même. Il reporta son attention sur Sonia.

– Est-elle toujours aussi insolente? Questionna-t-il.

– Malheureusement, hésita Sonia qui ne savait que trop bien où le pervers directeur voulait en venir.

– C’est plus que regrettable, estima-t-il en jubilant intérieurement. J’ai promis à sa famille d’améliorer son comportement avant la fin de son stage. Or elle doit rentrer dans seulement une semaine. Nous allons devoir recourir à des méthodes plus… radicales.

Carla-Magdalena releva la tête, une expression de surprise sur le visage. Laroquette la fixa de nouveau d’un regard directif et il la vit se contracter de tous ses muscles. Il sut qu’elle était en proie à des sentiments contradictoires : le conditionnement lui intimait d’obéir sans réfléchir allant ainsi à l’encontre de son instinct de survie qui comprenait bien qu’il valait mieux pour de s’éloigner au plus vite de ce monstre. Il la sentait bien plus tangente que toutes ses autres victimes, sa cousine comprise. Elle était bien plus rebelle et résistante au conditionnement et c’était aussi pour cela qu’elle l’excitait tellement, c’était un animal sauvage qu’il fallait dompter et il salivait d’impatience à le faire.

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L’enseignante, Ma Chienne Ch. 03

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Accidental Nudity

Traduction d’un récit de Erlikkhan.

Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.

**********

Katie est assise dans sa chambre. Elle fulmine. Elle ne comprend pas ce que veut sa mère. Après tout, elle a toujours de bonnes notes, elle ne boit pas et ne prend pas de drogue. Et elle ne baise pas à tort et à travers. En vérité, elle n’a couché qu’une seule fois avec un garçon après être sortie avec lui pendant plus d’un an.

La bataille avec sa mère a commencé au moment où Katie a franchi la porte de la maison.

– Bonjour maman! Je viens de rencontrer Carl qui m’a dit qu’il allait faire ses devoirs chez lui. Il m’a demandé de sortir avec lui demain soir. Il est un peu solitaire mais mignon, alors j’ai dit oui.

En fait Carl ne lui avait pas vraiment demandé, c’était plus une affirmation. Quand elle a commencé à hésiter, il a pris son bras et l’a serré tout en la regardant avec ses yeux pénétrants et un peu effrayants. Il lui a dit qu’il viendrait la chercher à huit heures. Elle a hoché la tête tout en sentant un picotement dans son ventre. Aucun homme n’avait jamais été aussi sûr avec elle.

– Non Katie, ce garçon a des problèmes. Je ne peux rien faire en tant que professeure, mais je ne veux pas que tu le voies.

– Non maman, nous ne sommes pas d’accord. Je vais juste sortir avec lui, pas l’épouser. Je suis une grande fille, je peux prendre soin de moi. Je n’ai pas besoin que l’on s’occupe de mes rendez-vous.

– Ce n’est pas sujet à discussion! Je t’interdis de sortir avec lui, c’est définitif!

– Nous verrons ce que papa dira! Crie Katie en courant dans sa chambre et en claquant sa porte.

Katie sait que son père va la soutenir. Et c’est ce qu’il fit. La nuit suivante, Carl arrive tôt et toque à la porte. Comme Katie est encore en train de s’habiller, Karen ouvre et demande au garçon de le suivre dans la cuisine. Elle lui dit :

– Si tu poses la main sur elle, je te le ferais regretter d’une façon que tu ne peux même pas imaginer.

Soudain, la main de Carl jaillit et lui attrape le cou. Il la pousse à travers la cuisine et la plaque contre le mur. Son autre main glisse sous sa robe et s’introduise dans sa culotte. Ses doigts frottent les plis de sa chatte et trouve son clitoris.

– Je ne crois pas Mme O’KEEFE. Tu vas être dans ton lit en pensant à ce que tu aurais pu avoir. Pendant ce temps-là, je plierai Katie en deux et je la sauterai. Puis je me viderai dans son ventre.

Carl lui serre le cou. Elle est obligée de se dresser sur ses orteils. Il enfouit deux doigts dans sa chatte et les fait coulisser rapidement. Elle lutte pour pouvoir parler et lui dire :

– D’accord…Tu as gagné. Je vais prendre une chambre d’hôtel et tu pourras m’avoir toute la journée demain. C’est ce que tu veux n’est-ce pas? Je le ferai si tu laisses Katie tranquille.

Carl retire ses doigts de la chatte humide et il les met dans la bouche de la femme. Quand ils entendent un mouvement dans le salon, le jeune garçon relâche Karen. Il la laisse partir après avoir attrapé un mamelon à travers son chemisier et l’avoir tordu méchamment.

– Vous auriez dû y penser plus tôt Mme O’KEEFE. Pensez-vous que Katie aime le sexe violent? Je me demande si elle va se laisser faire ou si elle va renâcler comme sa mère. Je vous le dirai demain.

Karen tremble, en partie parce qu’elle a été étouffée mais aussi parce que Carl l’a excitée. Malgré ses efforts pour lui résister, son corps a réagi à son contact, sa chatte veut de sa bite. Quand elle entre dans le salon, elle est choquée de voir sa fille vêtue d’une jupe très courte en cuir et d’un haut blanc très serré qui montre ses tétons pointés.

Katie s’est habillée de cette façon en réponse au comportement de sa mère. Elle veut qu’elle sache qu’elle va passer un bon moment. Elle ne veut pas le baiser mais sa mère ne le saura pas. Si le rendez-vous se passe bien, peut-être qu’elle le laissera toucher ses nichons.

A l’école, Katie a l’habitude de tout contrôler. C’est sa façon de surmonter son manque de confiance. Carl est différent des autres garçons avec qui elle était sortie. La façon dont il lui avait donné rendez-vous l’excitait.

Tout de suite, Katie fait comprendre à Carl qu’il l’intéresse. Elle connaît tous les trucs : un effleurement sur le bras, un mordillement des lèvres, un rire enfantin de temps en temps, des regards fréquents et appuyés, une tête posée contre l’épaule et une main innocente sur la cuisse au bon moment. Carl parle peu. Katie trouve sa confiance tranquille un peu intimidante. En vérité elle est excitée d’être avec lui. Et elle est fatiguée de toujours avoir le contrôle.

A minuit, la plupart des couples sont partis de la fête où ils ont été. Katie suggère qu’ils peuvent aller faire un tour près du lac. C’est privé, bien éclairé et sûr. Arrivés dans ce coin discret, les deux jeunes grimpent elazığ escort sur les sièges arrière pour avoir plus d’espace. Katie laisse Carl tripoter ses seins à travers son chemisier. Puis elle le laisse remonter son haut ainsi que son soutien-gorge pour qu’il sente la douce chair de ses seins nus.

Katie ne veut pas paraître une fille facile et elle veut aussi lui faire comprendre qu’elle contrôle la situation. Quand Carl glisse une main entre ses jambes et frotte sa chatte à travers sa culotte, elle recule :

– Non… S’il te plaît Carl, nous ne devons pas… ce n’est que notre premier rendez-vous.

– Katie, ne joue pas les prudes! Moi je ne joue pas.

Carl relève la tête et écrase ses lèvres sur les siennes. La main entre les jambes de la jeune fille écarte la culotte. Deux doigts frottent les petites lèvres puis le clitoris. Katie est prise au dépourvu. Elle ressent un frisson d’excitation à être ainsi malmenée. Son corps répond d’une façon qu’elle ne peut expliquer. Elle écarte les jambes pour lui donner un meilleur accès à sa chatte.

Carl plonge deux doigts dans l’antre chaude. Il pousse la fille afin que sa tête soit contre la porte latérale. Il lui embrasse l’oreille puis. Katie se tortille sur les doigts en train de fouiller son intimité humide. Les lèvres du garçon glissent sur un mamelon et le sucent. Il enfonce ses doigts encore plus profond dans le sexe de Katie.

– Non… Non Carl… Il ne faut pas… Mon Dieu Carl…

Katie sait qu’elle perd le contrôle de la situation. Elle essaie faiblement de repousser le garçon, mais Carl ne bouge pas. Il mordille le mamelon et le tire avec ses dents. Ses doigts pénètrent plus profondément la chatte alors que son pouce frotte le clitoris. Il mord plus fort. Katie crie de douleur. Son corps se raidit juste avant que son ventre n’explose.

La jeune fille est surprise par l’orgasme qui la secoue. Carl vient de lui donner le premier orgasme de sa vie. Elle n’avait jamais joui avec aucun garçon. Au moment où elle récupère, Carl a sa tête entre ses jambes. Elle sent sa langue titiller et lécher sa chatte sensible. Se faire brouter ainsi est aussi une première pour Katie.

– Carl, nous devons arrêter… S’il te plaît… Ohhhhh… Carl, ne…

Il remet deux doigts dans le sexe humide et grignote agressivement son clitoris. Les doigts trouvent l’endroit qui provoque des vagues de plaisir à Katie. Quand le garçon mordille le clito et le tire entre ses dents, Katie a son deuxième orgasme en moins de deux minutes.

Carl lèche les jus qui sortent du sexe de la fille, puis il bouge et l’embrasse sur ses lèvres tout en enfonçant sa langue dans sa bouche. Pour la première fois encore, Katie goûte son propre jus de chatte. Elle devrait éloigner le jeune garçon, mais étrangement elle trouve la situation érotique. Plus que cela, la maîtrise totale de Carl est enivrante.

Carl s’assoit et baisse son pantalon. Sa queue dure et volumineuse jaillit libre. Katie regarde le garçon avec appréhension, en se demandant ce qu’il a en tête. Carl guide sa main vers le membre bien droit. Elle s’assoit et enroule ses doigts autour de la hampe. Elle murmure :

– Carl, je suis une très mauvaise fille. Je ne pense pas que ma mère approuverait.

Elle colle ses lèvres contre les siennes et sa langue entre dans sa bouche. Ils s’embrassent de plus en plus avidement. Carl pose alors sa main sur sa nuque et pousse sa tête vers le bas. Elle essaie de résister mais il est trop fort. Alors Katie décide de le finir avec sa bouche.

– D’accord, mais après nous rentrerons. Je n’arrive pas à croire que je vais vraiment faire ça.

Les lèvres de Katie glissent autour du gland de sa queue. Elle n’a pas beaucoup sucé de bites dans sa vite. Et aucunes n’étaient aussi longue et épaisse que celle de Carl. La sensation de la chair dure remplissant sa bouche et glissant sur sa langue est enivrante. Sucer une bite ne lui avait jamais fait d’effet comme ça. Sa chatte est humide et ses tétons sont raides.

L’inexpérience de Katie par rapport à sa mère est évidente. Carl pince ses tétons sensibles et passa sa main dans ses cheveux tandis qu’il la laisse prendre son rythme sur sa queue. Katie ronronne et se déplace pour qu’il puisse atteindre sa chatte. Carl plonge deux doigts dans la grotte dégoulinante.

Katie n’a jamais été aussi excitée avec une autre personne. Elle est toujours déterminée à ne pas se laisser baiser, mais elle veut un autre orgasme avant de le faire jouir. Elle décide même qu’il pourra jouir dans sa bouche, quelque chose qu’elle n’a jamais laissé faire.

Katie se tortille sur les doigts pour qu’ils s’enfoncent encore plus dans son vagin. Elle les sent bien contre ses parois sensibles. Avec sa main libre, elle atteint son clitoris et se met à le frotter furieusement. Ça prend plusieurs minutes mais ça marche. La pression dans son corps est libérée. Son jus coule de sa chatte. La bite de Carl tombe de sa bouche alors qu’elle crie quand un troisième orgasme erzincan escort secoue son corps.

Carl pose ses doigts englués sur les lèvres de la fille. Katie ouvre la bouche pour qu’il les pousse à l’intérieur. Une fois de plus elle est surprise par le goût de sa chatte. Elle suce les doigts et glousse en regardant Carl :

– Je suis vraiment une vilaine fille ce soir. Je ne sais pas ce qui m’arrive. Je vais te finir avec ma bouche puis nous devrons rentrer à la maison.

Dès que les lèvres se sont de nouveau enroulées autour du sexe gonflé, Carl met ses mains sur la tête de Katie et force sa bite dans la gorge ouverte. La jeune fille est étouffée, elle lutte pour se relever. Mais Carl garde la pression sur sa tête en essayant de la forcer plus profondément. Katie n’a pas d’autre choix que de le laisser pénétrer sa gorge.

– Si j’avais voulu la pipe d’une gamine, je serai sorti avec une de tes copines. Maintenant montre-moi quelle femme es-tu.

Les gémissements et la lutte deviennent plus intenses. Carl a enfin pitié d’elle et il la laisse s’éloigner de sa queue pour respirer. De la salive sort de la bouche de Katie pour couler sur la bite et les couilles de Carl. Le garçon, tenant toujours les cheveux de la fille bien serrés dans sa main, baisse de nouveau sa tête jusqu’à ce que sa bite soit bien fichée dans la gorge féminine.

Katie est trop confuse pour penser. Elle croit qu’elle va s’évanouir. La queue est trop grosse pour tenir dans sa gorge. Malgré sa lutte, la bite va plus loin. La douleur des doigts tirant sur ses cheveux ne l’aide pas. Et pourtant, malgré tout ça, elle le veut. Elle veut qu’il la traite comme ça. Elle l’a toujours voulu.

C’est un de ses fantasmes récurrents. Un homme en noir, portant un masque de ski entre dans la maison quand Katie est seule. Elle essaie de courir, mais il est plus rapide. Il colle son visage contre le mur. Sa jupe et sa culotte sont arrachées. Une grosse bite pénètre sa chatte. Les mains déchirent son chemisier et écrasent ses seins. L’homme tire sur ses cheveux pour ramener sa tête en arrière. Il, mord son cou jusqu’au sang. Au même moment son jus de chatte gicle alors qu’elle imagine le sperme inonder son ventre. Ce fantasme lui donne toujours un orgasme intense.

La queue de Carl est complètement enfouie dans sa bouche et sa gorge. Elle étouffe bruyamment et lutte pour trouver de l’air précieux. Le garçon la laisse respirer brièvement avant de remettre sa bite dans sa gorge, lui tenant la tête jusqu’à ce qu’elle étouffe. Puis, en tirant sur ses cheveux, il lui baise le visage en balançant sa tête de haut en bas. A chaque fois, sa bite tape dans sa gorge.

– Voilà c’est bien Katie. Maintenant je vais te sauter.

Elle est encore éberluée quand il la plaque contre la porte et grimpe entre ses jambes. Plutôt que d’enlever sa culotte, il la tire sur le côté. Ses doigts ouvrent sa chatte. Carl se prépare à fourrer sa bite dans son sexe brûlant. Quand elle réalise ce qui va arriver, Katie panique :

– Non arrête, nous ne pouvons pas… S’il te plaît…

Elle essaie de le repousser mais il ne bouge pas. Elle peut sentir le gland frotter l’entrée de sa chatte. Elle réalise qu’elle va perdre la bataille. Elle réalise aussi qu’elle veut perdre cette bataille. Comme dans son fantasme, elle veut se faire baiser. Elle veut être prise de force. Mais il y a un problème.

– je… je ne prends pas la pilule, as-tu un préservatif?

Pour seule réponse, la main de Carl enserre son cou et plaque sa tête contre la fenêtre. Elle sent le sexe glisser dans son intimité. Il commence à la baiser. Sa chatte n’a jamais été autant remplie. Carl lâche son cou et met ses jambes par-dessus ses épaules. Ses mains écrasent ses seins. Sa bite la martèle encore et encore. Katie ne veut pas qu’il s’arrête.

– Oh mon Dieu… Oh Jésus… ohhhh… oui baise-moi… Mon dieu…

Lâcher prise et se laisser maltraiter est comme un puissant aphrodisiaque. Elle peut sentir la construction d’un autre orgasme dans son ventre. La grosse bite la remplit encore et encore. Carl pince ses tétons si fort que la douleur est atroce. Le plaisir et la douleur se mélangent dans un tourbillon de sensations qui irradient son corps. Elle jette sa tête en arrière et elle crie. De nouveau, du jus jaillit de sa chatte.

Le sexe de Carl gonfle dans le passage étroit. Il s’enfonce profondément dans la chatte et il grogne. Le sperme chaud envahit le ventre de Katie. Carl se retire puis la pénètre de nouveau, remplissant son vagin de sa graine épaisse. La jeune fille, sentant la chaleur de l’éjaculation se répandre en elle crie sous l’effet d’un nouvel orgasme.

Carl retire sa queue de la chatte remplie de sperme. Il remet l’entrejambe de la culotte à sa place pour absorber les différents liquides qui s’échappe de la fille. Il grimpe sur le corps de Katie et il pousse son membre dégoulinant entre ses lèvres. Le goût fort du sperme combiné à son jus remplit la bouche de Katie.

– Nettoie erzurum escort ma bite et suce-la jusqu’à ce qu’elle redevienne bien dure. N’hésite même pas à le faire, je ne veux pas te faire de mal.

Katie, la queue entre ses lèvres, lève les yeux vers lui et hoche la tête. Elle est devenue son esclave, son jouet sexuel. Elle veut qu’il le domine, qu’il l’utilise d’une façon qu’elle n’a jamais connue. Elle est accro à son pouvoir. Tous signes de résistance ont disparu. Katie suce la bite avidement dans sa bouche et elle lèche les jus épais sur la queue.

Carl sent le changement dans le comportement de Katie. Elle est à lui maintenant, elle va faire ce qu’il veut. Il attrape ses cheveux et enfonce sa queue dans sa gorge jusqu’à ce qu’elle étouffe. Il le fait encore et encore jusqu’au moment où il lui tire la tête pour qu’elle le regarde. De la salive coule sur son menton et elle respire difficilement.

– Assieds-toi sur mes genoux Katie, je vais te sodomiser.

– Non… S’il te plaît, pas ça… tout ce que tu veux mais pas ça… S’il te plaît…

– je l’ai dit! OBEIS!

Carl la relève et la plaque contre le siège avant avec sa main sur sa nuque. Il appuie sa tête sur le dossier du siège. De l’autre main, il fourre sa queue à l’intérieur de l’entrejambe dégoulinante de sa petite culotte. Puis il remonte la fente du cul. Quand il est bien lubrifié, il presse le bout de sa bite contre le petit trou serré et il pousse.

Katie crie quand elle sent l’énorme gland percer son petit trou vierge et entrer dans son corps. Il pousse plus profond. La jeune fille pense que ses entrailles vont exploser sous la pression insupportable et la douleur. Des larmes coulent sur son visage alors que Carl pousse encore plus loin. Puis il commence à la baiser. Katie peut à peine respirer.

Lentement et graduellement, elle sent la pression insupportable céder la place à une sensation plus agréable. Elle sent des doigts qui pénètrent sa chatte. Le plaisir revient dans son corps. Elle s’assoit sur la queue et l’enfonce encore plus profondément. Elle bouge son cul sur la queue. Carl remonte ses doigts vers sa bouche. Katie les suce consciencieusement et porte ses propres doigts à son clitoris.

Carl la penche sur le dossier du siège et pilonne son cul. Il attrape ses cheveux et tire sa tête en arrière. Sa queue entre et sort du trou du cul qui s’étire de plus en plus à chaque poussée. Sa main saisit la gorge de Katie et serre. Alors que celle-ci lutte pour avoir un peu d’air, elle est déchirée par un nouvel orgasme. Quelques secondes plus tard, elle sent du sperme chaud inonder son cul.

Carl sort sa bite du cul de Katie et remet la culotte bien en place pour absorber le foutre qui bave. Il remonte son pantalon et va s’asseoir sur le siège du conducteur. Katie est en train de remettre son soutien-gorge et son haut sur ses seins.

– Arrête! Est-ce que je t’ai dit que tu pouvais t’habiller? Je ne me souviens pas te l’avoir dit. Enlève tout, compris?

Katie devrait être furieuse de la façon dont il lui parle, mais son désir de lui plaire est plus fort que tout. C’est comme une dépendance. Elle sait qu’elle fera n’importe quoi pour lui. Carl l’effraie et l’excite en même temps. Elle le regarde et enlève son haut et son soutien-gorge.

– Euhhh… Je suis désolé, je ne pensais pas que… vas-tu me faire du mal?

Carl attrape sa mâchoire et tourne la tête vers la sienne. Il déplace son visage à quelques centimètres du sien. Il serre.

– Pourquoi voudrais-je te faire du mal Katie? Je t’aime bien et on va se voir beaucoup. Pendant le trajet je veux que tu me suces. Et je veux que tu continues à me sucer même quand je me serai garé dans ton allée. Compris?

Katie hoche la tête et fait ce qu’on lui dit. Elle sait que sa mère sera encore debout et qu’elle regardera par la fenêtre. La lumière du porche lui permettra de voir dans la voiture. En vérité, elle est contente que sa mère la voit sucer Carl. Elle glisse ses lèvres sur le membre.

Ils se garent dans l’allée. Carl coupe le moteur et attrape la tête de Katie. Il l’empale de haut en bas sur sa queue, en allant plus rapidement et plus profondément à chaque fois. Elle peine à suivre. Carl enfonce sa bite tout au fond de sa gorge et la tient comme ça jusqu’au moment où elle se débat pour avoir de l’air. Puis il relève sa tête et fait en sorte que son visage soit bien éclairé par la lumière du porche. Il voit les rideaux du salon bouger. Il sait que Mme O’KEEFE regarde.

– Très bien Katie, ça suffit. Maintenant je veux que tu sortes de la voiture. Tu te tiens devant et tu enlèves ta culotte. Puis tu me l’amènes.

Sachant bien que sa mère regarde, Katie se dirige vers l’avant de la voiture, soulève sa jupe et enlève sa culotte imbibée de sperme. Les phares l’aveuglent presque. Elle tend sa culotte à Carl. Il la prend puis il tripote ses seins et pince chaque mamelon. Puis il lui donne son haut. Katie l’enfile sur ses seins nus et disparaît par la porte arrière de la maison.

Carl sort de la voiture, s’appuie sur le capot et attend. Effectivement, quelques minutes plus tard, la porte arrière de la maison s’ouvre. Mme O’KEEFE sort, un couteau de cuisine à la main et du venin dans les yeux. Carl sourit, et lève le bras, la culotte imbibée de sperme au bout de son index.

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De Mari à Esclave Ch. 27

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Babe

Robert arrive prêt de Maitresse Jennifer encadré de Natacha et Lyza.

Maitresse Jennifer ordonne a Robert de se mettre a genoux immédiatement je t’ai laissé bien t’amuser avec mes deux fidèle esclave maintenant tu devras signer se contrat.

Natacha explique le contrat à Robert.

Contrat de soumission et d’asservissement de Robert esclave / 101235

Les chiffres référencés ci-dessus sont attribués au Canada par l’organisme, Corporation des Maitresse mondiales ils constituent le numéro d’identifiant national de l’individu mâle concerné par le présent contrat.

Les présents documents originaux constituant ledit « contrat de soumission et d’asservissement », ont été rédigés à la seule et libre initiative de l’individu mâle concerné, volontaire pour devenir esclave jusqu’à la fin de ses jours.

Ce contrat est édité en un seul et unique exemplaire original, selon un modèle transmis à la demande de l’individu.

Cet exemplaire pourra être détenu par toute Femme intéressée qui aura dès lors qualité de Maîtresse sur l’esclave.

Ce contrat est cessible d’une Femme à une autre, à tout moment et en toute circonstance, sans aucune condition particulière, l’individu mâle concerné ne pourra que s’y résoudre, quoiqu’il puisse lui advenir et lui en coûter.

[B] Article 1 : Objet et règles du contrat [/b]

La raison d’exister d’un esclave ne peut se concevoir qu’à travers l’abnégation totale de son ego et son asservissement le plus rigoureux. Pour quelque motif que ce soit, le mâle volontaire pour être esclave jusqu’à la fin de ses jours ne pourra être libéré ou affranchi, il pourra être prêté, échangé, cédé et, évidemment, être séquestré indéfiniment… chaque instant de son existence n’est que sursis.

La motivation de l’individu mâle concerné étant de devenir l’esclave d’une ou plusieurs Femmes, toute Femme intéressée s’engagera en conséquence à ce qu’il soit astreint de jour comme de nuit à un esclavage absolu et inconditionnel. La finalité d’un esclave étant d’être utilisé sans la moindre indulgence, il devra donc effectuer des corvées de toutes natures, et servir pour n’importe quel usage afin de donner satisfaction, aucune humiliation ne sera susceptible van escort d’être épargnée à l’esclave, bien au contraire. Toute Femme détentrice du présent contrat serait donc non seulement engagée à soumettre et à asservir l’esclave Robert, en procédant cas échéant à son dressage de la manière la plus rude, mais surtout

à abuser de lui sans aucune modération.

[B] Article 2 : Effet, validité et durée du contrat [/b]

Cet engagement de soumission et d’asservissement volontaire prend effet dès l’instant où l’individu mâle concerné appose ses empreintes digitales à la fin du présent contrat, l’esclave s’engage de la sorte librement à ses propres risques et périls. Non seulement le présent contrat engage irrévocablement l’esclave au respect des moindres conditions figurant sur celui-ci, mais les empreintes attestent également de la validité incontestable et incontestée de tout ce document. Dans le respect de l’application de sa demande volontaire initiale, l’esclave mâle volontaire sera donc soumis et asservi indéfiniment, par toute Femme détentrice de ce contrat original ou d’une copie certifiée conforme à celui-ci.

[B]Article 3 : Conditions d’application [/b]

Toute Femme intéressée disposera de droits illimités sur l’esclave volontaire, celui-ci aura non seulement l’obligation de craindre et redouter sa Maîtresse à juste titre, mais également de lui témoigner du respect par son abnégation la plus totale. Ce que pourra penser et ressentir l’esclave n’aura aucune espèce de valeur en présence d’une Maîtresse, l’esclave n’aura donc d’autre alternative que de devoir obéir, se soumettre et, à fortiori, subir à ses dépends le sort qui lui sera réservé. Toute Femme intéressée s’engagera de ce fait à faire appliquer l’intégralité de ce contrat de la manière la plus impitoyable.

L’obéissance et le dévouement de l’esclave seront éprouvés en permanence, il devra par ailleurs s’astreindre au service de sa Maîtresse, ou de toutes autres personnes désignées par elle, dans la plus grande discrétion, il lui sera notamment interdit de solliciter verbalement quoi que ce soit, si ce n’est par nécessité vitale, et devra rendre compte en temps utile.

Il yalova escort ressort donc de ce qui précède que toutes conditions d’existence ou de subsistance de l’esclave Robert ne pourront relever que des seules exigences de sa Maîtresse Jennifer, ou de toutes autres personnes désignées par elle, l’esclave Robert ne pourra donc se vêtir, dormir, boire, manger ou même se soulager, qu’en conformité avec les directives qui lui seront données.

En outre, afin que l’esclave Robert soit sous le contrôle le plus strict de sa Maîtresse Jennifer, il devra supporter un mécanisme de chasteté permanent et inamovible, toute forme de soulagement sexuel lui sera expressément prohibée, à compter de la date d’effet de ce contrat. Ses Maîtresses n’auront donc cesse de lui rappeler qu’il pourrait être frustré jusqu’à la fin de ses jours.

En cas de faute même involontaire, ou de simple réticence présumée de l’esclave, les sanctions se doivent d’être appliquées avec la plus grande sévérité, en dissuasion de toute nouvelle récidive. Aucune circonstance atténuante ne devra être prise en considération. Les châtiments prévus ne peuvent en aucun cas être annulés ou même réduits, ils ne peuvent qu’être alourdis au moment de leur application, notamment en cas de récidive. La décision d’une peine est toujours définitive et sans appel. Maîtresse Jennifer, et toutes autres personnes désignées par elle, ont également la faculté arbitraire de faire séquestrer l’esclave en lieu sûr, afin de le supplicier comme elles voudront et indéfiniment.

Il est notamment exigé de l’esclave Robert…

• qu’il communique, sans délai, une copie du présent contrat à toute Femme intéressée

• qu’il transmettre les coordonnées électroniques de sa Maîtresse, à toute Femme qui lui en ferait la demande

• qu’il obtempère sans moindre réticence à tout examen médical, et au contrôle de son système de chasteté

• qu’il permettre, à toute Maîtresse, de contrôler son asservissement comme bon lui semblera

• qu’il baise ou lèche, sur le champ, les pieds de toute Femme qui lui en intime la demande, en public ou en privé

Il est formellement défendu à l’esclave Robert…

çorlu escort de soutenir le regard d’une Femme

• de mentir ou de dissimuler quoi que ce soit

• d’entreprendre une activité générale quelconque, sans autorisation préalable de Maitresse Jennifer

• de s’alimenter, et en particulier de boire, en dehors des conditions requises

• de s’abstenir de dévotion à l’égard d’une Femme quelle qu’elle soit

[B]Article 4 : Autorité compétente[/b]

L’esclave n’ayant aucune autre alternative que de soumettre à sa Maîtresse, et aucune réticence ne pouvant être tolérée, la seule et unique autorité compétente reconnue pour l’esclave est sa Maîtresse, celle-ci ayant tous les droits, et disposant d’un pouvoir absolu sur son esclave, celui-ci sera donc soumis et asservi par tous les moyens, sans possibilité de rémission.

L’esclave volontaire assume pleinement, et seul, toute responsabilité au regard des lois en vigueur, dans le pays où il se trouve. En aucun cas, l’esclave n’acceptera de dévoiler l’identité de sa Maîtresse, ou de toute autre personne désignée par elle. Dans le contexte d’exploitation de ce contrat, cette clause de confidentialité est particulièrement valable pour toute Maîtresse susceptible de détenir, ou d’avoir pu détenir, les originaux initiaux du présent contrat, ainsi que toute copie ultérieure certifiée conforme aux originaux.

La présente clause de confidentialité s’applique dans les mêmes conditions, pour toute révélation d’information pouvant être faite, et que l’esclave s’engage à ne jamais divulguer, à qui que ce soit, et quelles que soient les circonstances. Il en découle que l’esclave s’interdit de donner quelque indication que ce soit, concernant des personnes ou encore des événements dont il a pu avoir connaissance, même indirecte ment.

Par souci de sécurité, l’esclave n’a pas à connaître l’identité réelle de sa Maîtresse. Le fait qu’elle doit impérativement détenir l’original du présent contrat, ou une copie certifiée conforme, suffit à justifier la parfaite validité de mise en application

de celui-ci.

Ce contrat est établi initialement en un seul et unique exemplaire original le 01/09/2008, à l’initiative de l’esclave volontaire, sous sa seule et entière responsabilité. Toute nouvelle copie datée, et certifiée conforme aux originaux, par l’apposition des empreintes digitales de l’esclave, annulerait et remplacerait tous les exemplaires précédents de ce même contrat.

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C01 – Ange dans le Var 01

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Partie 1 : Première pression

Bruno et Charlotte déambulaient main dans la main à travers la campagne pittoresque du Var. Bruno, avec sa silhouette grande et élancée, marchait d’un pas calme et maître de lui. Les cheveux châtains du vingtenaire, caressés par les rayons du soleil, apportaient une touche de chaleur à son apparence d’ensemble. Ses yeux d’un marron profond irradiaient une intensité tranquille, observant la beauté du paysage environnant.

À ses côtés, Charlotte, de deux ans l’aînée de son époux, une femme au physique quelconque, détonnait avec son allure moins flatteuse. Elle était petite et un peu enveloppée avec des jambes courtes et des hanches larges, ses cheveux blonds en désordre encadrant un visage sans véritable attrait. Son regard, dépourvu de l’éclat des grands yeux azurés, était plutôt terne et dénué de charme. Si Charlotte n’était pas une beauté à couper le souffle, elle compensait cette lacune par une assurance qui frôlait la défiance. Son charisme énigmatique attiraient les regards, bien qu’elle ne puisse rivaliser avec les canons de beauté classiques.

Le décor environnant était d’une splendeur enchanteresse. Les collines ondulantes du Var s’étendaient à perte de vue, couvertes d’un mélange chatoyant de vignobles, de champs de lavande et d’oliveraies. C’était dans ce tableau pittoresque que Bruno et Charlotte se laissaient emporter, s’imprégnant de la magie de cette région si propice à l’évasion. Le garçon était absorbé par la beauté des lieux, capturant chaque instant avec son smartphone. Il filmait les collines verdoyantes et les champs de lavande baignés de doux rayons de soleil. Soudain, un cycliste habillé de façon colorée fila devant eux pour rejoindre la route qui serpentait la colline.

Cependant, l’harmonie fut brutalement interrompue lorsque, de nulle part, une Porsche noire vrombissante jaillit de l’horizon. La voiture filait à toute allure, ne laissant aucune chance au cycliste qui se trouvait sur son chemin. En une fraction de seconde, la Porsche renversa le vélo, provoquant une cascade de métal et de cris de surprise. Bruno, stupéfait par la scène, filmait, incapable de détourner son regard de ce qui se déroulait devant lui. Alors que le cycliste gisait inconscient sur le sol, une grande brune au corps sculptural sortit de la Porsche argentée avec une grâce féline. Vêtue d’une tenue élégante et affichant une assurance naturelle, elle examina rapidement les dégâts causés par l’accident. Son regard se posa sur le cycliste blessé, manifestement toujours en vie mais inconscient.

Cependant, absorbée par la situation urgente, la magnifique femme ne remarqua pas la présence du jeune couple à proximité. Son visage affichait une expression mêlée de préoccupation et de détermination. Elle resta un bref instant, figée devant la scène, puis prit une décision rapide. Sans se retourner ni remarquer Bruno et Charlotte, elle disparut rapidement dans la voiture, s’éloignant à toute vitesse de l’accident qu’elle venait de causer. Le couple, étonné par cette séquence d’événements, échangea un regard interrogateur. Ils réalisèrent alors qu’ils venaient de surprendre une actrice célèbre dans une situation compromettante. Leur esprit s’embrouilla.

– C’était bien Ange Lijonali? demanda Charlotte en se collant à son mari.

– Ben… attends, répondit l’homme en fixant l’écran de son téléphone. Oui c’est elle. Regarde.

Charlotte constata l’identité de la comédienne sur l’image arrêtée. Le couple de vingtenaires rentra chez eux.

***

**

*

La nuit enveloppa le couple dans une atmosphère d’ombres et de secrets. Alors que le monde sombrait dans le silence des stipulations de l’été, l’esprit malade de Charlotte s’activait, alimenté par sa jalousie profonde envers les femmes d’une beauté saisissante. Elle ne pouvait s’empêcher de ressentir une amertume mordante chaque fois qu’elle croisait le regard de ces créatures admirées.

Tandis que Bruno dormait paisiblement, ignorant les pensées sombres qui hantaient l’esprit de son épouse, la revêche se réfugia dans la solitude de la nuit pour élaborer son plan. Elle avait appris que l’actrice, Ange Lijonali, habitait occasionnellement dans la région Varoise. Cette découverte enflamma sa rancune et lui offrait une opportunité de satisfaire ses désirs tordus. Les pages blanches de son carnet de notes se remplissaient de pensées et de projets pervers. Charlotte se laissa emporter par ses fantasmes vengeurs, imaginant chaque détail de son plan diabolique pour faire chanter l’actrice américaine. Elle prévoyait de se jouer des faiblesses de la comédienne, de l’exposer au grand jour et de la piéger dans un chantage inextricable. Les lignes de son visage se déformaient, révélant un sourire pervers qui dansait sur ses lèvres. Charlotte était prête à plonger dans les profondeurs sombres de sa propre cruauté, déterminée à faire payer à Ange Lijonali le prix de sa beauté et de sa renommée. Elle se masturba avec frénésie pour libérer le surplus d’excitation qui urfa escort coulait dans ses veines et qui coula de sa chatte poilue.

Le lendemain matin, dans l’intimité de leur demeure, Charlotte exposa son plan machiavélique à Bruno. Elle détailla chaque étape, révélant les sombres contours de sa volonté de faire chanter la comédienne. Bruno, tiraillé entre son amour pour Charlotte et ses propres doutes moraux, écoutait attentivement, se demandant jusqu’où cela les mènerait. Un peu faible et certainement mois doué intellectuellement que sa femme, il n’en demeurait pas moins un homme. Et approcher de l’icône que représentait Ange Lijonali, facilita sa décision.

Dans l’après-midi, munis d’une détermination froide et d’une confiance feinte, le couple arriva à la propriété luxueuse de la comédienne. Les hauts murs et les portails majestueux témoignaient de la notoriété de l’actrice. Ils furent accueillis par un vigile, contraint de les arrêter dans leur progression. Sous le regard impitoyable de Charlotte, le couple réussit à forcer le garde à appeler sa patronne. L’atmosphère était lourde d’anticipation tandis que l’actrice se faisait attendre. Enfin, le grincement du grand portail résonna, et Ange Lijonali fit son apparition.

Bruno regarda la femme approcher. L’actrice adulée dégageait une présence magnétique. Ange Lijonali possédait un visage qui semblait sculpté par les mains des dieux de la beauté. Sa peau était d’une clarté immaculée, presque irréelle, contrastant magnifiquement avec ses cheveux d’un brun luxuriant qui encadraient gracieusement son visage. Ses yeux, d’un bleu profond et envoûtant, étaient pétillants d’intelligence. Les traits de Ange Lijonali étaient d’une finesse exquise. Son nez droit, finement ciselé, donnait une élégance aristocratique à son visage. Ses lèvres pleines, d’un rose naturel, semblaient prêtes à murmurer des mots envoûtants. Sa silhouette était tout aussi impressionnante. Elle possédait des courbes harmonieuses et une allure gracieuse qui ne pouvait passer inaperçue. Sa taille fine était soulignée par des hanches délicatement arrondies, donnant une touche de féminité à son allure élancée dont la poitrine proéminente accentuait l’ensemble. Ange Lijonali émanait une aura de confiance et d’élégance qui semblait la protéger des tourments du monde. Sa beauté transcendait les canons conventionnels, faisant d’elle une figure magnétique dans l’industrie cinématographique. La renommée et le charme qui l’entouraient se lisaient sur son visage, mais il y avait aussi une lueur de vulnérabilité dans ses prunelles, témoin des batailles intérieures qu’elle avait dû affronter pour atteindre le sommet de sa carrière.

– Laissez-nous s’il-vous plaît, Georges, lança gentiment Ange à son garde dans un français excellent avec un léger accent.

Charlotte était subjuguée par la beauté rayonnante de la comédienne. Sa jalousie s’en embrasa que plus vivement. Devant l’élégante propriété, Charlotte se tenait face à l’actrice célèbre, ses yeux étincelant d’une lueur perverse et calculatrice. Bruno se tenait en retrait, observant attentivement la scène qui se déroulait devant lui, mais il ne pouvait s’empêcher d’être captivé par la beauté magnétique de Ange Lijonali.

– Mme Lijonali, ma chère, nous avons ici une situation délicate, vous ne trouvez pas? Je suis sûre que vous savez pourquoi nous sommes là.

La comédienne, légèrement décontenancée, répondit avec une pointe de méfiance :

– Que voulez-vous exactement?

Charlotte, esquissant un sourire pervers, reprit :

– Oh, ne fais pas l’innocente. Nous avons des informations compromettantes au sujet d’un cycliste qui pourraient nuire à ta réputation si elles venaient à être divulguées. Mais nous sommes prêts à les garder secrètes, bien sûr, moyennant une petite faveur en retour.

Une onde d’angoisse envahit Ange Lijonali, déterminée à protéger sa carrière, demanda d’une voix ferme :

– De quoi parlez-vous?

Charlotte, prenant un air de défi, évoqua un petit film enregistré qui montrait sans équivoque la comédienne laissant pour mort, un cycliste sur le bitume. La jeune femme énuméra ses exigences.

– Tout d’abord, nous avons besoin d’une somme d’argent substantielle, une petite contribution pour nos projets futurs. Disons 200.000 €. Ensuite, j’aimerais que tu organises un dîner dans cette somptueuse propriété, mais sans tes serviteurs, juste toi et nous. Nous pourrions apprécier pleinement ton hospitalité.

Bruno, qui avait écouté silencieusement jusqu’à présent, ne put s’empêcher d’être captivé par la présence charismatique de Ange Lijonali. Il regardait attentivement les expressions qui traversaient le visage de l’actrice, se laissant séduire par son aura magnétique. La comédienne, analysant la situation, fit face à Charlotte avec une détermination renforcée.

– Je ne vais pas me laisser faire, Madame. Vous sous-estimez ma détermination à protéger ce qui m’appartient. Mais si c’est ainsi que vous voulez jouer, sivas escort nous allons voir jusqu’où vous êtes prêt à aller.

Alors que le dialogue se poursuivait, Bruno était pris entre deux feux, partagé entre l’amour qu’il portait à Charlotte et l’attraction grandissante qu’il ressentait envers Ange Lijonali. La tension était palpable, et les conséquences de cette interaction allaient façonner le destin des protagonistes, les entraînant dans un jeu périlleux où les masques allaient tomber et les alliances se redéfinir.

– Voici notre numéro de téléphone. Tu nous appelles avant 20h ce soir pour accepter. Si ce n’est pas le cas, on envoie la vidéo aux médias français et sur les réseaux sociaux.

Sans attendre la réaction de la sculpturale américaine, Charlotte lança le bout de papier avec le numéro et tourna les talons. Lorsque le couple partit, laissant Ange seule dans sa propriété, un mélange d’émotions s’empara de l’actrice. Une légère pointe d’indignation se mêlait à une frustration grandissante. La réalité s’imposait à la grande brune : elle n’avait d’autre choix que de céder aux exigences du couple perfide. La colère se dissipait peu à peu, laissant place à une résignation teintée d’amertume. Une lueur d’angoisse s’allumait dans ses yeux bleus clairs alors qu’elle prenait conscience de l’emprise que Charlotte et Bruno avaient sur elle. Dans un acte contraint, Ange accepta l’inéluctable : elle devait payer la rançon et accueillir ses ravisseurs à sa table, dissimulant sa vulnérabilité derrière un masque de dignité feinte.

– Allo! Allo?

– … Oui, répondit Charlotte avec un calme calculé en s’installant sur le balcon du petit appartement où elle habitait avec son mari.

– C’est Ange Lijonali.

– Oui…

– … Je euh… j’accepte vos conditions. Mais il faut me jurer qu’après cela, on n’en parle plus!

– … rappelez-nous quand tout sera prêt. Jeudi soir sera parfait, lança Charlotte avant de raccrocher.

Bruno s’approcha de sa femme.

– Elle a accepté?

– Oui. Bien sûr… Tu es content mon chéri?

– Oui, mon amour.

Charlotte attira son époux contre elle et dirigea son visage vers sa chatte poilue. Elle écarta ostensiblement ses cuisses épaisses. Bruno lécha sa femme. Terriblement excitée, elle coulait dans la bouche du garçon qui l’amena rapidement à l’orgasme.

***

**

*

Ce soir-là, Charlotte et Bruno pénétrèrent dans la propriété de Ange Lijonali, remarquant immédiatement le silence qui enveloppait les lieux. La demeure était dépourvue de domestiques, créant une atmosphère étrange et intimiste. Leur regard se posa sur une terrasse magnifique surplombant une immense piscine étincelante. Sur la table de la terrasse, une mallette en cuir reposait, contenant les 200 000 euros, le prix de la rançon. Le métal froid et le clic de la serrure rappelaient à Charlotte et Bruno le pouvoir qu’ils détenaient sur Ange. Le couvert était dressé avec soin, prêt à accueillir le repas qui allait sceller leur pacte tordu. Dans cette scène presque irréelle, Ange était vêtue d’une simplicité désarmante. D’un jean et d’un tee-shirt blanc, elle incarnait une décontraction qui contrastait avec la tension palpable dans l’air. Son apparence n’atténuait en rien son charisme naturel. Les traits de son visage, sans artifice, brillaient d’une beauté qui transcende le superficiel.

– Tu nous reçois habillée comme ça alors que nous avons fait un effort! lança Charlotte, acide alors que Bruno comptait l’argent.

La jeune femme un peu forte portait une robe moulante qui ne faisait qu’accentuer ses formes disgracieuses. Bruno portait un pantalon en lin.

– Vous voulez que je me change? demanda la comédienne un peu décontenancée.

– Oui. Je le veux. Tu nous invites et tu ne fais pas d’effort! On veut juste passer une soirée agréable avec l’égérie d’Hollywood.

Ange fit demi-tour pour entrer dans la vaste maison. Bruno referma la mallette qui contenait la somme exacte. Jamais le couple n’avait vu autant d’argent d’un coup. Une sourde excitation montait en eux. Ils se servirent du champagne qui attendait dans un seau à glace.

La grande brune redescendit sur la terrasse, rejoignant Charlotte et Bruno près de la piscine scintillante. Leur regard fut immédiatement captivé par sa présence saisissante. Ange était vêtue d’une robe de soirée noire qui semblait avoir été conçue spécialement pour elle. L’élégante robe au tissu fluide et chatoyant dévoilait avec subtilité ses longues jambes fuselées et soulignait sa poitrine abondante, créant une silhouette qui évoquait les déesses mythiques. La robe glissait gracieusement le long de son corps, caressant chaque courbe avec une grâce incomparable. Alors qu’elle rejoignait le couple sur la terrasse, l’actrice exsudait un charisme magnétique. Elle était une vision de grâce et de beauté, sa présence envahissant l’espace avec une élégance indéniable. Les regards se fixèrent sur elle, hypnotisés par son apparence tekirdağ escort enchanteresse.

Charlotte admira la beauté mais secrètement jalousa la perfection. On s’installa à table et Ange fit le service. Souligné par les bruits de fourchettes et de verre, le silence enveloppait les convives d’un épais malaise. Se voulant bonne hôtesse et croyant assouvir l’envie du couple de côtoyer un soir, une célébrité internationale, Ange fit la conversation :

– Vous faites quoi dans la vie Bruno? sourit-elle avec sa grande bouche aux lèvres charnues.

– J’suis peintre.

– Oh! Vous peignez quoi? s’intéressa la beauté grecque.

– Dans le bâtiment, répondit penaud le garçon qui descendait le champagne comme du champomy.

Un petit silence s’installa pendant que Ange servait le dessert.

– Et vous Charlotte? Vous faites quoi?

– Je suis prothésiste ongulaire.

– Ah… oui… J’aime bien avoir de Lijonalis ongles.

– Moui… je vois ça, murmura la jeune française en lorgnant les longs doigts bagués de diamant. Mais dis-moi. Je plongerais bien dans la piscine!

Se baigner dans la piscine qui scintillait sous le clair de lune ; l’idée sembla surprendre Ange qui afficha une légère crispation. Une lueur d’appréhension traversa ses yeux bleus, trahissant les pensées qui tourbillonnaient dans son esprit. Ange, désireuse de se débarrasser du couple une fois pour toutes, avait espéré qu’ils quitteraient la propriété après avoir obtenu leur rançon. Cependant, l’actrice ne laissa rien transparaître de sa vulnérabilité. Elle tenta de masquer son malaise par un sourire forcé et répondit d’une voix maîtrisée :

– La piscine est disponible, si vous le souhaitez.

Mais dans son regard, une lueur froide et déterminée brûlait, signe qu’elle n’était pas prête à abandonner si facilement. Ange se prépara à un nouveau défi, sachant que la confrontation avec Charlotte et Bruno n’était pas encore terminée.

Devant les deux femmes, Bruno quitta sa chemise et son pantalon en lin. Il plongea directement dans le bassin. Charlotte le suivait et réussit à passer sa robe moulante par-dessus sa tête. Comme son mari, en sous-vêtements, elle entra dans l’eau.

L’actrice observa avec surprise le couple dans la piscine, mais cette surprise fut rapidement accompagnée d’un léger dégoût. Alors qu’ils se déshabillaient pour entrer dans l’eau, Ange ne put s’empêcher de remarquer les sous-vêtements bon marché que Charlotte portait. Les tissus défraîchis et la coupe peu flatteuse ne faisaient rien pour mettre en valeur la silhouette disgracieuse de la jeune femme. Le regard de Ange se posa sur les bourrelets et les fesses molles de Charlotte, et elle ne put s’empêcher de ressentir une pointe de satisfaction en voyant l’absence de grâce et de raffinement dans son apparence. Les défauts de Charlotte étaient soudainement exposés.

– Rejoins-nous dans l’eau pour discuter encore un peu, lança la jeune française en approchant du bord du bassin, les cheveux dégouAngents.

– Euh… mais je ne suis pas en maillot de bain.

– Ben! Nous non plus! Viens, insista Charlotte d’une voix grinçante.

Ange se retrouva face à la demande inattendue. Une vague d’expectative s’empara d’elle, oscillant entre la pudeur qui la retenait et la peur de s’exposer davantage. Cependant, l’actrice comprit qu’elle ne pouvait pas se dérober à ce moment crucial de la soirée. Ce serait certainement la dernière demande avant leur départ.

Malgré son appréhension, Ange prit une profonde inspiration. Elle se dirigea vers le bord de la piscine avec grâce, déterminée à ne pas montrer la moindre faiblesse. Lorsque le moment arriva, elle retira délicatement sa robe de soirée, révélant les sous-vêtements élégants et raffinés qui se trouvaient en dessous. La différence était frappante lorsque comparée aux sous-vêtements bon marché de Charlotte. Les dentelles délicates et les coupes impeccables soulignaient la silhouette parfaite de l’américaine, accentuant son charme naturel. Alors que la comédienne se tenait devant le couple, vêtue de ces sous-vêtements qui évoquaient l’élégance et la sophistication, elle savait que son apparence contrastait avec celle de Charlotte. Sa taille creusait sa silhouette chaloupée par des hanches vigoureuses, des fesses rondes et une paire de seins opulents. Ses longues jambes admirablement galbées se dressaient juste au bord du bassin.

Bruno et Charlotte observèrent attentivement Ange alors qu’elle s’immergeait dans l’eau. Leurs regards étaient empreints d’une curiosité mêlée de fascination. La comédienne nageait jusqu’au bord opposé où le français l’admirait dans un mutisme béat.

– Vous êtes en vacances dans la région, Bruno?

– Euh… non, répondit-il en tremblant.

– ça ne te regarde pas, coupa Charlotte qui arrivait en nageant.

Le contraste des deux femmes frappa le jeune homme qui sentait sa queue gonfler dans son caleçon. Ange Lijonali était à un mètre de lui en sous-vêtements.

– Je trouve que ce n’est pas très agréable finalement…

L’américaine au visage de statue se tourna vers la femme qui n’avait pas terminée sa phrase. Charlotte dégrafa son soutien-gorge et le balança sur le bord de la piscine.

– Ce n’est pas très agréable n’est-ce pas? Tu le retires aussi.

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Alice 02

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Babes

L’ANGE PREND SA COMPENSATION.

Puis Mr Ange rappelle Jean pour lui dire qu’il passera prendre Alice ce soir et choisira ses vêtements pour un séjour chez lui. Jean informe Alice de la demande et lui demande ce qu’elle en pense.

– C’est à toi de décider mon chéri, je suis ta femme !

– Oui! Mais sincèrement, si je fais abstraction de la menace financière, j’ai très envie que tu ailles avec lui, je suis tout excité à l’idée que tu te fasses prendre encore par Ange.

– Je dois avouer que j’en ai aussi très envie.

Le soir, quand Jean rentre du travail, Mr Ange est déjà là. Dans la chambre, il sélectionne soigneusement les vêtements d’Alice, mais pas de sous-vêtements. Il part ensuite chercher ses chaussures et rassemble une partie de son maquillage.

Alice se prépare, elle met une de ses nouvelles tenues : Une mini-jupe évasée, très courte et une chemise moulant ses beaux seins. Jean voit bien qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Il la regarde en l’admirant.

– Mr Ange m’a dit de ne pas mettre de culotte.

– C’est sûrement mieux sans.

– OOH! Mon chéri est un cocu volontaire, alors ?

– Je suis très excité, j’ai hâte que tu sois déjà rentrée.

– Patience, je ne suis pas encore partie.

Il charge le tout dans le coffre de sa voiture avant d’inviter Alice à s’asseoir à l’avant du véhicule à côté de lui. Ils quittent la maison vers vingt heures. Le trajet vers chez Mr Ange semble durer une éternité.

Jean passe le week-end seul, il trouve le temps très long sans son Alice.

Jean est réveillé le lundi matin par une main sur son épaule. Il ouvre les yeux. Alice est à côté de lui, nue.

– Tu es rentré ma chérie! Quelle heure est-il ?

– Dix heures, je t’aime, mon Jean.

– Moi aussi, je t’aime ma chérie.

Elle se trabzon escort met à genoux sur le lit et vient poser sa moule sur les lèvres de son mari, qui sent une odeur forte de sexe.

– J’ai envie, mon chéri, que tu lèches ma moule pleine de sperme de Mr Ange, il m’a prise encore ce matin de bonne heure.

Sans rechigner, Jean lèche la moule de sa femme. Il goûte pour la première fois le mélange de mouille et de sperme. Il trouve ça bon, c’est bandant. Tout lui coule à présent dans la gorge, il se délecte de ce breuvage.

– Suce mon cocu de mari, suce le sperme de celui qui a pris ta femme, suce mon cocu chéri, suce bien, bois, avale.

– MMMMM, SLURP, GLUP.

– Oh si tu savais, si tu savais. 

Elle le libère de son emprise, reste à genoux, prend sa bite dans sa main et lui dit :

– Viens, fais-moi l’amour!

Jean se précipite, il la pénètre.

– Alors, mon chéri! C’est comment aujourd’hui ?

– Large, tu es très large et d’une douceur extrême ?

– C’est normal, il m’a prise une dizaine de fois depuis vendredi soir.

– C’est bon de te baiser dans cet état, j’imagine sa queue dans ton puits d’amour.

– Si tu savais comme j’ai joui avec lui, comme j’aime sa queue. Il m’a rempli de sa queue et de son sperme.

– J’imagine, oui, tu es une vraie salope, maintenant et j’adore!

– Attends, tu n’as pas encore visité mon cul, tu vas voir, viens dans mon cul mon chéri.

Jean se retire, à regret, de sa merveilleuse grotte et pousse son sexe dans l’entrée de ses reins. Il est surpris d’y entrer presque sans forcer. Son autre puits d’amour est ouvert. Il s’y engouffre en entier.

– Tu m’encules toi aussi, mon amour, tu m’encules après mon amant, c’est lui qui m’a dépucelée le cul, avec sa grosse bite tunceli escort qui me fait jouir du cul ?

– Tu m’excites, ma pute chérie, tu m’excites et je vais jouir pour la première fois dans ton cul.

– Oh! Oui, c’est ça, jouis. Tu sais mon Jean, je crois que lui aussi ne peut plus se passer de moi, tu sais ce qu’il m’a dit ?

– NOOOONNNN ?

– Il m’a dit qu’il n’avait jamais baisé une aussi bonne épouse et que dorénavant, je suis aussi sa femme et que je lui appartiens tant qu’il n’a pas retrouvé son argent et qu’il me fera découvrir les vraies choses du sexe. 

– Tu lui as répondu quoi ? 

– Je lui ai dit OUI! Que oui, je suis à lui, que je me donne à lui et que je suis sa femme et que je lui appartiens avec plaisir!Je ne te cache pas, mon chéri, qu’avec Ange, je m’éclate, je n’ai jamais été prise comme il me prend. Il faut dire qu’il a le matériel et qu’il sait y faire. Et qu’il me fait beaucoup plus jouir que toi. C’est très excitant cette situation. Je découvre une autre facette de l’amour physique et j’ai envie de la vivre à fond.

– Jusqu’où ?

– C’est toi qui fixes la limite avec ton remboursement! Pour moi, ce sera sans limites. Je ne sais pas, mais je t’avoue avoir envie de cet homme en permanence. Dès qu’il me prend plus rien ne compte, je suis sa chose, son esclave.

Jean reprend dans les reins de sa femme, son va-et-vient interrompu.

– AARRRFF! Je jouis mon amour, AARFF! Je jouis!

– Jouis, oui, jouis, mon cocu chéri.

Jean n’en peut plus, il s’écroule sur le lit d’avoir trop eu de plaisir et la tête pleine de ce que vient de lui dire Alice. Puis, il va prendre sa douche et part au travail, laissant sa femme dormir sur le lit.

Dans la soirée, ils reparlent de tout ça.

– C’est uşak escort vrai tout ce que tu m’as dit ce matin ?

– Absolument, tant que tu ne peux pas lui retrouver son argent perdu, je suis prête à être à lui.

– Comment ça, à être à lui? Explique ?

– Je ne te cache pas que sincèrement, j’ai très envie de lui, sexuellement et amoureusement.

– Tu ne penses pas que je risque de te perdre ma chérie?

– Non, j’en suis certaine, mais c’est toi qui dois être fort et me faire confiance.

– Je te fais confiance. De toutes les façons, que je ne sois pas d’accord ou pas, c’est le risque de te perdre, que j’ai pris avec ma connerie financière.

Le lendemain Mr Ange appelle Jean au travail :

– Alors Jean! Ça n’avance pas vite la récupération de mon argent? Ce que j’ai reçu est insignifiant, tu devrais te bouger un peu plus.

– Je fais le maximum Mr Ange, mais les marchés sont durs à pénétrer.

– Ouais! Je sais. J’ai ta femme pour me faire patienter, mais si tu tardes trop à récupérer mon fric, ta femme risque d’y prendre goût à ton dédommagement.

– Je sais Mr Ange, j’en suis conscient.

– Tu diras à ta femme que je passe ce soir la prendre, je l’emmène au soleil.

– Déjà? Elle vient à peine de rentrer!

– Elle est à moi tant que je n’ai pas récupéré mon argent. C’est notre deal non?

– Oui, Mr Ange. Je lui fais la commission.

En fin d’après midi, en rentrant du travail, Jean prévient sa femme que Mr Ange vient la chercher ce soir.

– Ouais! Il m’invite dans sa maison de près de Sète au bord de la mer !

Alice a mis une robe légère, se boutonnant sur le devant, elle lui serre ses seins volumineux et la taille, la robe est légèrement évasée à partir de la taille. Ses cuisses sont largement découvertes. Ses seins gonflés prêts à faire craquer les boutons sortent à moitié. On la sait nue en dessous.

Mr Ange arrive une heure après Jean. Alice a déjà préparé ses affaires. Ils boivent un café avant de prendre la route. Alice monte à l’avant avec Ange. Jean les regarde partir le cœur serré.

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Dérapages. 07

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Babes

L’histoire que vous allez lire, à pour sujet principal la domination et le sexe non consenti. Certains passage risque d’être choquant ou trop violent pour certains. Si vous n’aimez pas ce genre de texte, ne lisez pas. Sinon ce serais aussi stupide que d’aller au restaurant, commander un gratin d’aubergine, alors que vous détestez l’aubergine, pour dire ensuite que le cuisinier est mauvais et le plat dégueulasse. Pour tout les autres, bonne lecture, et merci à vous de me lire.

Léo : C’est moi, j’ai quarante-cinq ans. Je suis un ancien soldat des forces spéciales. A l’occasion d’une dispute, j’ai violé ma belle-fille. Pour éviter qu’elle ne porte plainte, j’ai décidé de la briser pour en faire mon esclave sexuelle.

Manon : Dix-huit ans. Ma belle-fille. Blonde aux yeux verts. Elle a un corps de rêve, un visage magnifique. C’est ma victime. Elle était totalement vierge quand je l’ai forcée.

Carla : Trente-neuf ans. Aussi blonde que sa fille. Aussi belle, avec un corps plus pulpeux. C’est donc la mère de Manon. Actuellement elle est partie pour trois mois à Londres, pour superviser le tournage du film qu’elle produit avec ses fonds propre. Je l’aime, mais suis assez frustré au niveau cul avec elle. Ma compagne étant frigide, nous ne faisons vraiment pas souvent l’amour.

Jessica : Jess à vingt ans. C’est ma fille. C’est une magnifique brune. Actuellement elle est en stage pour trois mois dans une zone blanche.

Paul : Quarante-cinq ans comme moi. On se connaît depuis le CP. C’est mon meilleur ami. Il est truand, mais très porté sur le sexe.

Anne : Dix-neuf ans. Rousse pulpeuse, petit amie de ma fille. Un vrai canon, avec tout ce qu’il faut où il faut. Une bombe capable de faire bander un mort.

Hervé : Trente ans, l’adjoint de Carla. Elle lui fait la vie dur au travail. Pour lui comme pour tout ses employés.

Inès : Vingt-sept ans. Jeune avocate qui travaille pour Radiu. Aussi bien dans le droit que dans la prostitution. C’est une belle brune, très bien foutue, malgré ses petits seins.

Nina : Trente-sept ans. Rousse et maman de Anne. Elle a un corps pulpeux magnifique.

On ne laisse pas à Nina le temps de faire quoi que ce soit. On se jette sur la malheureuse comme des morts de faims. On la jette sur le lit et on se jette sur elle. La seule chose que la mère de Anne à le temps de vraiment faire, c’est hurler quand je la viole. La conne à la chatte serrée pour son âge, je la défonce comme un fou. Puis c’est Paul qui prend ma place. Ensuite on la retourne et je l’encule, suivit de nouveau par Paul. Pour finir on lui fais connaître une nouvelle forme de torture, une nouvelle forme de viol, la doublette. Cette nuit-là, Nina a hurlée longtemps.

Je dois dire que le père de Anne et mari de Nina a fait du bon boulot. La chienne nous a obéit au doigt et à l’œil immédiatement. Écartant les cuisses, ouvrant la bouche et tendant les fesses au moindre claquement de doigts. On s’est vraiment bien éclaté avec elle, au-delà de toutes nos espérances. Le lendemain, avec Paul on a passé la journée à baiser, nous gavant de pilules sexe-dur. Notre mini-harem en a pris dans tous ses orifices. Anne, Carla, Manon, Inès et Nina n’ont été que des chattes, des trou-du-cul et des bouches. Nina c’est un peu rebeller quand on lui a fait avoir une relation lesbienne avec sa fille, mais quelques claques l’ont vite remise dans le droit chemin.

Le temps passe vite, j’ai également mis Nina enceinte au bout de deux mois. Ma société marche du feu de dieu. Les cinq putes servent de récompense aux employés en plus de leurs salaires mirobolant. Mais ce système marche, les bénéfices sont au top. Le père de Nina cherche toujours sa femme, je ne l’ai pas encore rencontré mais je compte le faire bientôt. Mes cinq chiennes sont bien enceinte, surtout Carla, Manon et Inès. Nina l’est de deux mois et Anne de six semaines. Il me tarde que les trois premières arrivent à leurs huitième mois de grossesse, que je puisse boire leur lait et les traire. Je vais rajouter une humiliation à la liste déjà longue de ce que je leur inflige.

Puis le retour de ma fille approche. Elle doit revenir dans trois jours. Mon téléphone sonne.

– Allô, papa, c’est Jess.

– Jess ma fille adorée, comment tu vas?

– Très bien, et toi?

– Parfaitement.

– Et Anne?

– Elle se languit de toi, mais elle va bien. Ton amoureuse repart demain pour préparer votre villa, tout c’est super bien passé.

– C’est top, elle va la préparer, mais elle va dormir là-bas?

– Oui, elle veut que ta maison soit nickel pour ton retour. Anne à réussit à ce que Paul aille l’aider.

– Merde, je voulais lui faire la surprise, je rentre avec un jour d’avance, mais si Paul est avec elle…

– Il ne restera que la journée de demain, le soir il rentrera ici. Je vais essayer de m’arranger pour ça.

– C’est super alors, ne leurs dis rien, je ne sais pas si Paul pourra tenir sa langue.

– Je ne pense pas non plus. Je ne le dis à personne, promis.

– Tu arrives à rize escort quelle heure?

– Huit heures du matin, je serais chez Anne et moi à dix heure au maximum.

– OK, je vais me débrouiller pour que Paul ne retourne pas l’aider si il reste des trucs à faire.

– Merci papa, tu es toujours au top.

– Je sais, je sais. Bisous Jess, à dans deux jours.

– Bisous Papa.

J’ai souris et j’ai raccroché. La première chose que j’ai fais ensuite, est d’aller voir Paul.

Jess s’est faites belle. Un maquillage discret, une robe courte et moulante au décolleté plongeant. Jess n’a pas mis de soutien-gorge, juste un petit string. Il faut que cela soit rapide, Jess ne veut pas perdre de temps en déshabillage, d’ailleurs elle mouille abondamment, trempant son petit dessous, rien qu’à l’idée de faire l’amour avec Anne. Elle veut faire tomber Anne d’envie quand elle la verra. Jess se dit que sa petite amie est vraiment la femme de sa vie. La jeune femme ne pourrait pas aimer plus fort. L’attente de ses bagages lui paraît durer une éternité, tout comme le trajet en taxi. Le véhicule la dépose juste devant chez elle. Jess se dépêche de le payer et de se rendre dans sa villa. Elle ouvre doucement la porte d’entrée, la maison est calme. La jeune fille décide de surprendre son amoureuse, espérant qu’elle dorme encore. Après avoir ouvert la porte d’entrée et posée ses valises dans le corridor, Jess va rapidement dans le salon. Il est vide. La jeune femme sourit intérieurement, Anne à encore dut mater une de ses séries jusque à pas d’heure, et elle doit encore dormir. Jess se dit qu’elle va lui offrir un réveil de rêve.

Sans s’en rendre compte, Jess marche vite pour se diriger vers leur chambre. Sa culotte est trempée, trois mois qu’elle n’a pas fait l’amour. La jeune femme pose la main sur la poignée et tout doucement ouvre la porte. Ce qu’elle voit l’horrifie au plus haut point, son visage se transforme en un masque d’horreur. Elle sent les larmes couler sur ses joues. Jess se fige, incapable de faire le moindre geste. La bouche grande ouverte sur un cri qui restera muet. Anne est à quatre pattes, Paul est en train de la baiser. Aux cris de plaisir intense que pousse la jeune femme, Jess comprend immédiatement qu’elle y prend un grand plaisir. Les coups de reins de Paul se font de plus en plus rapide, Jess comprend qu’il ne va pas tarder à jouir. Tel une zombie, elle avance vers le couple, qui lui tournant le dos, ne la voit pas. En titubant, voyant trouble, Jess s’avance lentement, maladroitement. Il lui semble être dans un mauvais rêve. La jeune femme n’a fait que quelques pas, quand elle s’immobilise de nouveau. Anne crie comme elle crie juste avant d’avoir un orgasme. Paul grogne lui aussi de plaisir. La fin est proche. Jess ne sait pas pourquoi elle ne les interrompt pas. Jess pleure de plus belle quand un hurlement orgasmique jaillit de la gorge de Anne. Jamais la jeune fille n’a jouit comme cela avec elle. Paul met un dernier coup de reins, avant de crier lui aussi son plaisir. Se vidant sûrement dans le corps de la rousse. Toujours imbriqués l’un dans l’autre, le couple s’écroule sur le lit. Reprenant leur respiration.

– Anne…

C’est le seul mot qui a put sortir de la gorge de Jess. Le couple se désunit, ils s’agenouillent sur le lit, se retournant vers elle.

– Je suis désolé Jess, c’est fini.

– Pourquoi?

– J’aime trop la bite…

– Mais je t’aime…

– Je t’ai aimée aussi, mais Paul a sut me faire connaître autre chose. Je lui appartiens désormais. C’est lui que j’aime, on va se marier d’ailleurs.

Vaincu, détruite, livide, Jess se retourne, et avec sa démarche de zombie, quitte la chambre. Avant de descendre et de quitter la maison.

Paul rigole quand Anne se met à pleurer comme une malade. La rousse à parfaitement jouée la comédie, la drogue qu’elle a prise l’ayant pas mal aidée.

– Bien jouée ma belle.

– Salaud.

– Allez, ne t’en fais pas, tu la reverra bientôt ta dulcinée, tu pourras tout lui raconter.

– Elle ne me croira jamais!

Anne est persuadée que ses bourreaux veulent l’éloignée elle et sa mère de Jess.

– Je pense que si, allez, remets toi en position, j’ai envie de ton cul. Après on ira cherche ta mère et les autres putains au sous-sol.

Jess monte dans sa voiture, qui est restée ici. La jeune femme à pris les clés juste avant de quitter la villa. Complètement détruite, Jess pose sa tête sur le volant, pleurant à grands sanglots. La jeunette reste ainsi une bonne demi-heure, avant de reprendre un peu contenance. Elle met le contact, démarre et se rend au seul endroit possible, chez son père, lui seule pourra un peu la réconforter de l’enfer qui vient de s’abatte sur elle. Jess ne pense pas un seul instant qu’elle va tomber de Charybde en Scylla.

Quand j’entends une voiture remonter l’allée, je jette un coup d’œil par la fenêtre. Mon sexe durcit immédiatement quand je reconnais le véhicule de ma fille. Mon plan à fonctionné. Quand sakarya escort on sonne à la porte, je vais ouvrir. Il n’est que dix heures trente, la journée s’annonce magique. Je joue mon rôle à la perfection. Je prends mon air le plus étonné.

– Jess, tu es déjà là?

Son visage est défait, on dirait une morte-vivante, elle sanglote, ses larmes ravinent ses joues.

– Entre vite.

A peine ai-je refermé la porte, que me prend dans ses bras, se collant à moi. Je sens la chaleur de son corps, la dureté de ses seins. J’espère qu’elle ne sent pas ma bandaison. Ma fille pose sa tête dans le creux de mon épaule, la mouillant de ses larmes, de sa bave. Je la serre à mon tour, posant mes mains à plats dans son dos, les faisant aller de haut en bas, dans un geste de réconfort.

– Mon cœur, il t’arrive quoi?

– C’est Anne…

Mon enfant parle difficilement, entre deux geignements de tristesses. Jess se tait quelques secondes puis reprends.

– Elle couche avec Paul, ils sont ensemble…

– Mon dieu…

– C’est horrible papa, je veux mourir.

Moi je savoure cet instant, dans quelques minutes elle regrettera ce moment.

– Chut mon bébé, ne dis pas ça.

– Si papa, c’est l’amour de ma vie, je ne peux pas vivre sans elle.

– Cela va peut-être s’arranger.

– Ils… Ils vont se marier…

Je la laisse pleurer quelques instants, continuant de lui masser doucement le dos. On ne dis plus rien, je la réconforte simplement. On reste ainsi quelques minutes.

Puis mes mains descendent plus bas, d’abord dans le creux de ses reins, mais Jess ne remarque encore rien. Je suis juste au dessus de ses fesses, je les effleurent, devine leurs fermetés. Je me prépare, le moment dont je rêve depuis des années va enfin arriver, je vais violer ma fille. Je remonte mes mais pour me concentrer de nouveau sur son dos, tandis que Jess pleure de plus en plus fort dans le creux de mon épaule. Je remonte ma main droite, pour lui caresser doucement les cheveux, tandis que ma main gauche continue de lui caresser le dos. Je reste quelques minutes comme cela.

Je décide enfin qu’il est temps de passer à la phase suivante. Ma main qui est dans son dos descend sur ses fesses, elles sont hyper ferme. J’en savoure la texture.

– Papa!?

Je ne répond pas, je remonte sa jupe, saisissant une de ses fesses que je malaxe. Sa peau est vraiment douce. J’arrête de caresses ses cheveux, tandis que Jess tente de s’éloigner de moi. Je lui saisis le menton, tourne sa tête vers moi. Je colle mes lèvres aux sienne. Jess les gardent close, ma fille tente de se débattre, mais je suis trop fort pour elle. J’essaie d’enfoncer ma langue dans sa bouche, mais elle refuse ce baiser incestueux. Je lui pince méchamment une fesse, Jess crie de douleur, j’en profite pour enfoncer ma langue dans sa bouche. Je la repousse quand j’en ai marre de cette pelle forcée, elle me regarde horrifiée.

– Papa, tu fais quoi?

Pour toutes réponse, je frappe fort à la tempe, Jess s’écroule évanouit. Je vais pouvoir profiter de ce laps de temps pour la préparer, je ne vais pas la toucher, je la veux réveiller pour ça. Je la prends dans mes bras et la monte à l’étage, je vais m’occuper de ma fille dans ma propre chambre. Je la couche sur le lit, sur le ventre. J’ai installé au quatre pieds du lit, des menottes, j’attache les poignets et les chevilles de Jess. Elle se retrouve immobilisée en croix, je fais les réglages à sa taille, Jess ne pourra pas faire le moindre geste. Je remonte le bas de sa courte robe sur ses reins. Son petit cul bombé m’excite. Je lui retire son string, la mettant cul nu. Je n’ai plus qu’à attendre qu’elle se réveille. J’en profite pour vérifier son vagin, je ne me suis pas trompé, elle est encore vierge. Je manque m’éjaculer dessus en voyant son hymen. Le meilleur sera pour la fin, je déflorerais son ventre en dernier. J’installe un bâillon dans la bouche de ma fille, je veux profiter de son cul sans l’entendre hurler, du moins au début.

Je n’ai pas frappé trop fort, juste ce qu’il faut pour l’assommer. Jess, reste dans les vapes environs vingt minutes. Je suis nu, ma bite bandée comme jamais. Quand elle commence à bouger, je monte sur le lit, je me couche sur ma fille, mon pieu dur contre la petite étoile plissée qui garde le chemin de l’entrée encore jamais visité de ses reins. Mais finalement, je me dis que c’est une mauvaise idée, qu’il vaut mieux qu’elle soit consciente de tout ce qui va lui arriver. Alors je me redresse et j’attends qu’elle soit de retour parmi nous.

Je suis agenouillé à côté de Jess, attendant qu’elle se réveille. Je l’ai également bâillonnée, je veux me consacrer sur son viol anal. La jeune femme essaie de bouger, mais les chaînes la maintienne complètement immobile. Au dernier moment, je décide de lui libérer les jambes, ça peut-être sympa.

Avant qu’elle ne réalise quoi que ce soit, elle sent ses deux mains s’emparer de ses fesses, une dans chaque main, petits morceaux samsun escort de pâte à pain dérisoires dans chacune de mes immenses paumes. D’une traction sauvage, je les écartent violemment en les séparant comme si je voulait les arracher l’une de l’autre, Jess sent alors son trou à caca s’étirer. Elle crie, mais le bâillon empêche de comprendre quoique ce soit.

– Tu as un sacré trou du cul! Et tu es vierge par-là, c’est sûr!

Jess ne comprends rien à la grossièreté de mes paroles, mais elle sent l’horreur imminente. Cela ne peut être que un cauchemar, elle va se réveiller, son père ne peut lui faire cela. Je crache alors sur son “trou du cul”, qui se retrouve recouvert de mes glaires tièdes et gluantes, et immédiatement après, mon corps tout entier se rapproche pour se coller a celui de ma fille dans une étreinte malsaine. Simultanément, elle sent quelque chose appuyer sur son trou du cul fermé, une espèce de grosse boule dure, à la fois étrangement brûlante et toute humide. Mon corps velu s’arrime au sien, et elle à l’impression d’être minuscule sous moi, avec toujours cette boule pesante sur son trou à caca, son “anus”, comme elle l’avait apprit dans les livres quand elle était enfant. C’est maintenant mon visage qui s’approche doucement de celui de mon enfant, ma langue qui sort de ma bouche pour lui lécher le visage, comme si la jeune femme n’était que ma friandise. Mon haleine fétide empestée d’alcool lui donne des haut-le-cœur, mais elle les réprime de peur d’abord d’être battue, ensuite de s’étouffer car Jess est bâillonnée. Et toujours cette pression au milieu de ses petites fesses, et, en penchant sa tête de côté, elle comprend enfin ce qui appuie sur son anus. Ma “queue” surplombée d’une boule turgescente appuie frénétiquement au centre de ses petites fesses, Jess n’arrive pas à concevoir qu’un morceau de chair puisse être dur à ce point. Jess, prisonnière des bras de son propre père, ma queue frappant à la porte de son corps, sent maintenant que l’irréversible va se produire de manière imminente. La jeune femme comprend qu’elle ne rêve pas, alors Jess tente de se débattre, mais je suis trop lourd, elle n’y arrive pas. Ma fille me supplie, en vain, car je ne comprend rien à ses borborygmes.

Je prends alors une profonde inspiration, je la serre fort contre moi. Comme si je voulais que nos corps fusionnent, l’instant d’après ma queue se met à appuyer follement sur son anus. Une douleur inconnue irradie alors instantanément au centre et sur le pourtour de la petite étoile plissée qui garde le chemin de ses reins, provoquant une ruade réflexe de son corps, bien vite entravée par mes bras puissants qui l’emprisonnent. Je la serre alors encore plus fort et, une fois bien calé, pousse encore plus avant. Jess commence à avoir du mal à respirer, et la jeune fille panique car la douleur infligée à son trou du cul devient insoutenable.

« Mais qu’espère-t-il en forçant ainsi sur cette partie sale de son corps? Que veut-il? Que veut-il de moi? Je me sens encore toute innocente, toute fragile, et il est si dur! Je ne peux rien faire, absolument rien faire. » Voilà ce que pense ma fille au moment où j’essaie de forcer son rectum vierge. En fait elle se retrouve complètement impuissante, prise dans mes filets, terriblement vulnérable, comme offerte.

“Ah putain ce que t’es serrée!”, je lui souffle cette phrase à l’oreille, mi-furieux, mi-ravi.

J’ai à peine fini ma phrase que je me mets à pousser à nouveau avec toujours plus de violence. Je force tant et si bien que, là où avant il n’y avait rien, elle sent maintenant qu’une toute petite percée se fait jour, à contrecœur, imposée par ma fureur. Toute à sa surprise, Jess ne l’a pas noté avant mais elle ressent désormais nettement des petits, des tout petits picotements très chauds, ça monte, ça lui fait maintenant comme une grosse brûlure, là, sur le bord de l’anus, ça commence à la brûler atrocement, ça la brûle, ça la brûle! Elle a comme envie de prendre “ça” et de tout jeter, de tout plaquer mais Jess en est incapable, elle a le cul en train de se faire planter par sa queue, dans sa position, il est impensable de pouvoir s’en débarrasser, surtout avec les poignets attachés. Je continue de plus belle mon opération de forage dans le trou du cul de ma fille de vingt ans. La douleur devient atroce, elle sent maintenant comme plein de petites déchirures partout, partout, une sensation horrible, comme si on avait pris une lame de rasoir, une petite lame et qu’on avait incisé en fait, comme si on avait coupé à vif volontairement son trou du cul sur le pourtour pour l’élargir afin que ça rentre.

Un cri irrépressible, bien que étouffé, monte alors du plus profond de ses entrailles :

“Aïïïïeeeee! Aaaaaaaaaarghhh! Iiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaïïïeee…”

Le bâillon de tissu s’imbibe tellement, que Jess commence à étouffer, elle bave de honte, de rage, de douleur dans le tissu, mais j’en ai cure et je continue ma progression dans son petit anus encore vierge. Je lui arrache son bâillon de la bouche, pour le remplacer par ma main sur sa bouche. Je veux sentir ses larmes, le souffle de ses hurlements.

– Tais-toi petite salope, tais-toi où je dis à Anne que tu m’as allumé! Elle va en penser quoi ta copine? Surtout si je lui dis que c’est de ta faute? Tu vas passer pour quoi? Alors ta gueule!

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Manon en Enfer 14

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Anal

VISITE EN CLIENTELE 2

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Toujours accroupie Manon caresse et embrasse la queue de Jean puis la lèche tout en caressant ses cuisses ou triturant ses bourses. Ensuite elle joue à suçoter et aspirer le gland ce qui énerve son partenaire car son corps tressaille pendant qu’elle fait ça.

Essayant d’enfourner le maximum du pénis qui est assez long Manon commence une fellation. Elle donne un maximum d’amplitude aux aller-retour de sa bouche sur le membre tout en serrant au maximum les lèvres. Suivant son inspiration les va-et-vient de sa bouche passent de lents à rapides et vice-versa.

Au bout de quelques minutes elle arrête de sucer, abandonne la verge et lève la tête.

– ça vous plait monsieur –

– oui, tu suces très bien –

Elle reprend la pipe faisant tourner sa bouche autour de la queue en se tordant le cou.

Trop excité Jean ne cherche pas à se retenir ni à faire durer le supplice infligé à son membre qui agité de soubresauts envoie des giclées de sperme au fond de la gorge de Manon qui boit le liquide et continue à sucer.

Jean la repousse.

– allonges toi sur le lit –

Manon obéit, se couche sur le dos et écarte les jambes. Jean s’allonge sur elle, sa queue bute contre le ventre de Manon avant de trouver l’orifice et de s’enfoncer dans la chatte.

Manon passe ses bras autour du cou de l’homme et pose ses lèvres sur les siennes, rapidement leurs langues se trouvent et se livrent une lutte acharnée dans un baiser qui dure un moment.

Pendant qu’elle caresse le dos et les fesses de Jean celui-ci malaxe ses seins et martyrise les tétons, le pénis est toujours immobile planté dans la chatte de Manon.

Elle relève ses jambes et les replie écartant au maximum les cuisses pendant que Jean commence à donner des coups de reins pour faire aller-et-venir la verge dans la ventre de sa partenaire.

Au bout d’un moment Manon allonge ses jambes et les bras toujours autour du cou de Jean elle accompagne les coups de reins avec des mouvements du bassin.

A son grand regret l’accouplement prend fin quand elle sent la queue tressaillir dans sa chatte et le sperme inonder son vagin qui commençait à être bien mouillé car elle prenait de plaisir dans une étreinte normale pour un couple.

L’homme se retire et s’allonge à côté d’elle.

Elle est consciente qu’étant une prostituée c’est à elle de prendre l’initiative, normalement elle n’est là que pour donner du plaisir à ce qu’elle peut appeler un client même si elle n’est pas payée pour ses prestations sexuelles.

A genoux entre les jambes de Jean elle se sert de ses deux mains pour caresser en même temps le ventre et les cuisses ou le sexe de son partenaire. Puis elle insiste sur es testicules et la queue.

Soulevant la verge molle elle lèche suce et gobe les testicules de l’homme. Ensuite pendant qu’elle embrasse et lèche son ventre et ses cuisses elle le masturbe.

Elle n’a pas besoin de s’activer longtemps, le membre est de nouveau en érection. Manon se penche et lui fait une fellation mais cela ne dure pas très longtemps car Jean la repousse.

Jean mersin escort demande à Manon se positionner à genoux, obéissante elle prend la pose demandée, met ses bras à plat sur le lit et pose sa tête dessus, enfin elle creuse les reins. A genoux derrière elle il enfonce sa queue dans la chatte de Manon puis donne des coups de reins de plus en plus violents pendant qu’elle triture les testicules de son partenaire.

Il prend son temps cessant de bouger pour éviter la jouissance. Les aller-retour de la verge dans la chatte de Manon durent un bon moment et elle mouille de plus en plus.

Jean se recule, son membre sort de la chatte puis Manon sent la queue se déplacer entre ses fesses. Avec une main elle la positionne puis jean exerce une poussée avec le poids de son corps, Manon sent nettement le membre pénétrer dans son anus et aussi pendant qu’il se fraie un passage dans son cul en repoussant les chairs.

Il recommence à donner des coups de reins d’abord lents puis de plus en plus rapides quand il sent que son pénis coulisse de plus en plus librement dans le cul de Manon.

De nouveau elle mouille d’autant plus que Jean s’est mis à caresser sa chatte puis s’en prend au clitoris une chose qu’elle ne devrait pas accepter si elle respectait son métier.

Quand le corps de Manon se met à frétiller sous l’effet du plaisir il arrête de bouger et se met à masturber frénétiquement le clitoris et ce qu’elle redoutait arrive. Elle est agitée par des spasmes, des jets de cyprine s’échappent de son vagin pendant qu’elle jouit arrosant la main de Jean et les draps du lit.

Satisfait il recommence à lui défoncer le cul violemment et rapidement sa verge s’agite et envoie des giclées de sperme dans le fondement de Manon.

Il se retire et s’allonge sur le lit.

Manon attend un peu puis en bonne putain qu’elle est devenue elle se remet au travail afin de continuer à donner du plaisir à son client.

A genoux elle caresse doucement le torse et ensuite le ventre de Jean. Sa main passe sur les cuisses pour finir sur la queue molle et rétrécie qu’elle caresse puis masturbe d’abord doucement avant d’accélérer progressivement.

Jean caresse les fesses, les cuisses et l’entre-jambes de Manon. Elle continue la masturbation patiemment jusqu’à ce qu’il bande de nouveau correctement.

Elle se penche et lèche la verge puis suçote et aspire le gland avant de faire une fellation qu’elle fait durer bien que l’érection du pénis soit parfaite maintenant.

Jean est toujours allongé sur le dos quand elle cesse de sucer la queue. Elle se met à genoux sur lui, les jambes de chaque côté du corps de son partenaire.

Sans presque chercher le pénis pénètre dans sa chatte quand elle se baisse. Elle donne des coups de reins de plus en plus rapides sachant que l’étreinte risque de durer un bon moment.

Après avoir bien œuvrée Manon en sueur et bien émoustillée soulève ses fesses, la verge sort de sa chatte. Avec une main elle la positionne contre son anus et laisse descendre son corps. Le membre s’enfonce facilement dans son fondement et muğla escort y disparaît entièrement.

Elle fait bouger son corps pour faire aller et venir la queue dans son cul pendant un bon moment pendant que l’homme caresse ses seins et martyrise les tétons.

De temps en temps il l’attire vers lui et l’embrasse.

Les coups de reins qu’elle donne ont le même effet sur elle que sur Jean, emportée par le plaisir qui devient trop intense dans son ventre elle jouit et arrête de bouger.

Rapidement une fois calmée elle recommence à donner du plaisir à son client, les va-et-vient de son cul sur la queue de l’homme durent encore un moment avant qu’elle ne sente son membre s’agiter et la semence couler dans son corps.

Elle se retire et laisse Jean aller dans la salle de bain. Il en sort et se rhabille pendant qu’elle reste à le regarder faire.

Jean sort une enveloppe de sa poche et la tend à Manon, honteuse de ce qu’elle est devenue aux yeux des hommes elle la prend. Elle pense: “le salaire de la déchéance”.

– il ne fallait pas monsieur –

– si, une putain de ta qualité est rare et mérite d’être récompensée –

Jean sort de la chambre, avant qu’il ne parte Manon, qui toujours nue l’a suivi dans le couloir pour être hors de la caméra, lui dit:

– monsieur, s’il-vous-plait ne dites pas à monsieur Bernard que j’ai eu des orgasmes, il ne serait pas content et me punirait –

– pourquoi te punir, c’est normal qu’une femme jouisse en faisant l’amour –

– je ne dois pas prendre de plaisir mais juste en donner aux personnes à qui il offre mon corps et mes services –

– je ne comprends pas ça, je suis content de t’avoir donné du plaisir. rassures toi je ne dirais rien –

-merci monsieur –

– ne me remercie pas, je ne comprends pas comment une femme telle que toi est tombée aussi bas –

– ne cherchez pas monsieur, c’est personnel et je préfère garder ça pour moi, gardez en tête que vous avez passé un bon moment avec une prostituée car c’est ça que je suis –

Jean quitte l’hôtel après avoir caressé sa joue et l’avoir embrassée sur les lèvres.

Manon va dans la salle de bain se laver puis se rhabille.

Obéissante elle récupère et éteint la mini caméra que Bernard le directeur commercial avait posée dans un endroit assez discret. Elle pense: il va beaucoup s’exciter et ensuite se donner un bon moment de plaisir avec sa femme après avoir visionné l’enregistrement.

Jean a regagné son bureau. Manon est sortie de l’hôtel, elle attend longtemps et patiemment Bernard en faisant les cent pas sur le trottoir tout en regardant les vitrines des magasins.

Enfin il arrive et stoppe sa voiture à côté de Manon qui s’installe sur le siège passager avant.

– tu n’oublies rien –

– non monsieur, pourquoi –

– retires ta veste et relève ta jupe, comportes toi comme la putain que tu es –

Manon obéit puis Bernard démarre et c’est le silence dans l’habitacle pendant le parcours.

A un moment le directeur commercial engage la voiture dans un chemin forestier puis stoppe.

– tu vas faire nevşehir escort ton boulot avec moi –

– oui monsieur mais ça va être difficile de vous faire correctement l’amour dans l’auto -.

– tu me fais juste une pipe, ton cul doit être contaminé après ce que tu as fait cet après-midi et ça me dégoûterait de passer derrière un autre –

Manon déboutonne le pantalon de Bernard et en farfouillant dans le caleçon en extrait difficilement sa queue qui est bien gonflée et raide, il semble avoir une grosse envie. Sans quitter son siège elle caresse le membre puis se penche.

Après avoir embrassé et léché le pénis elle suçote et aspire le gland mais y renonce vite car il est trop excité et cela l’énerve. Elle enfourne le maximum de la grosse queue dans sa bouche puis commence une fellation en accélérant progressivement les aller-retour de sa bouche sur le membre.

Il ne faut pas longtemps avant qu’elle n’arrive au résultat espéré. Bernard maintient la tête de Manon avec ses deux mains et appuie dessus pour que sa queue entre le plus possible dans sa bouche pendant qu’il déverse par saccades une grande quantité de sperme dans sa gorge.

Manon a du mal à avaler ne pouvant pas se dégager partiellement du membre qui emplit sa cavité buccale. Enfin Bernard libère la tête de Manon, elle peut terminer son travail puis sucer et lécher pour nettoyer la verge.

Bernard rajuste sa tenue et reprends la route.

– la putain tu as bien travaillé aujourd’hui, exceptionnellement tu peux me demander une faveur –

Comme elle n’a qu’une idée en tête Manon saute sur l’occasion.

– monsieur je vous remercie, mon souhait est que vous arrêtiez de me prostituer –

– la putain je t’ai dit une faveur pas la lune –

– s’il vous plait monsieur faites preuve de bonté à mon égard cela fait presque deux ans que je me prostitue pour vous –

– la putain tu m’énerves, je ne veux plus t’entendre ni te voir. Tu vas sortir de l’auto et tu as le choix soit tu rentres à pieds, soit tu fais du stop et tu t’arranges pour te faire sauter –

– vous n’aller pas me laisser sur le bord de la route seule –

– je vais te tester et voir comment tu te débrouilles, je vais rester dans les parages et te suivre –

– on est encore loin de la ville –

– une quinzaine de kilomètres, si tu veux les faire en marchant avec tes talons hauts libre à toi –

– c’est trop loin, je ne vais pas pouvoir –

– sers toi de ton cul, il y a toujours une solution pour une putain comme toi –

La voiture s’arrête à la sortie d’un village qu’ils viennent de traverser et Manon descend.

Bernard démarre la laissant là seule et apeurée. Manon ne réfléchit pas longtemps et décide de faire du stop, rentrer à pieds ce n’est pas envisageable.

Elle lève le pouce mais fait signe aux voitures de continuer leur route quand elle a affaire à des couples ou des familles, malheureusement pour elle quand c’est un homme seul il évite de s’arrêter méfiant.

Enfin un poids lourd stoppe, Manon s’approche de la portière pendant que le chauffeur baisse sa vitre.

– où allez vous –

Manon indique sa destination.

– c’est bon vous pouvez monter, je vais faire un petit détour –

Elle galère pour ouvrir la portière côté gauche et pour monter car la cabine du camion est assez haute. Une fois la portière refermée elle se conforme aux consignes que Lucien lui a données.

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